Sept Français sur dix approuvent les effets de la ‘rupture’
Près de trois Français sur quatre reconnaissent l'existence d'une "rupture" politique depuis l'arrivée de Nicolas Sarkozy à la tête de l'Etat et six sur dix estiment que les réformes menées vont "plutôt dans le bon sens", selon un sondage publié vendredi dans "Le Figaro".
Près de trois Français sur quatre reconnaissent l'existence d'une "rupture" politique depuis l'arrivée de Nicolas Sarkozy à la tête de l'Etat et six sur dix estiment que les réformes menées vont "plutôt dans le bon sens", selon un sondage publié vendredi dans "Le Figaro".
A la question "Diriez-vous que le terme de 'rupture' correspond à l'action de Nicolas Sarkozy depuis son élection", 24% des sondés répondent "tout à fait" et 46% "plutôt", soit un total de 70%. De quoi relativiser l’intérêt des attaques incessantes de la gauche.
Mieux, ils sont 57% à estimer que les réformes entreprises depuis mai 2007 vont "plutôt dans le bon sens".
Mieux, ils sont 57% à estimer que les réformes entreprises depuis mai 2007 vont "plutôt dans le bon sens".
Par ailleurs, à la différence de la gauche qui peine à suivre, le rythme de ces réformes est qualifié de "juste comme il faut" par 50% des personnes interrogées. Près d'une sur trois (32%) le jugent cependant "trop rapide". Tous les goûts sont dans la nature et les résidents des maisons de retraites peuvent s’exprimer…
Paradoxalement, 60% des sondés ne sont pas convaincus par le Premier ministre quand il déclare: "Avec Nicolas Sarkozy, nous allons réformer, réformer et encore réformer". Savoir quelle était la question.
Paradoxalement, 60% des sondés ne sont pas convaincus par le Premier ministre quand il déclare: "Avec Nicolas Sarkozy, nous allons réformer, réformer et encore réformer". Savoir quelle était la question.
Enfin, la gauche et la droite peuvent revendiquer à parts égales le "meilleur opposant à Nicolas Sarkozy du mois", un titre remporté à égalité par la socialiste Marie-sEGOlène Royal (Allez comprendre, car elle est éteinte ou en phase d’écriture, comme promis tant de fois ?) et l'ancien Premier ministre UMP, Dominique de Villepin, avec 14% des voix exprimées. Ils sont suivis par le président du Modem François Bayrou (13%, bien que l’ombre de ce qu’il fut, et par le futur ex-Premier Premier secrétaire du Parti socialiste François Hollande (11%)
Source : sondage de l'institut OpinionWay pour "Le Figaro" et LCI, les 2 et 3 octobre 2007 auprès de 103 individus.
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