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mardi 19 janvier 2016

Baisse de la natalité, conséquence des attentats terroristes et de la... "protection" de Hollande

La faute aux attentats terroristes ?

Baisse sensible
 des naissances en France

  
Cette chute se serait accentuée en octobre et en novembre, neuf mois après les attentats de janvier. Et ce sentiment d'insécurité devrait persister en 2016 (malgré la "protection" que Hollande promet à toutes et tous), sous l'effet de "l'état d'urgence économique et sociale" instauré par Hollande et que Valls veut prolonger.

L'exception française en matière de fécondité serait-elle menacée ?
Avec près de deux enfants par femme, la fécondité française se porte plutôt bien, notamment quand on la compare avec celle de nos voisins européens. Mais le plus inquiétant, c'est que les causes officielles énoncées par les media diffuseurs des éléments de langage du pouvoir ne sont que très partiellement recevables.

La baisse atteint environ 10% de naissances 

La fécondité, tributaire des attentats terroristes... "Les jeunes femmes qui ont été choquées par les événements du début d'année ont sans doute renoncé ou reporté l'idée d'une grossesse", raconte Jean-Loup Durousset, patron de Natecia, la deuxième plus grosse maternité privée de France. Cette dernière a enregistré, pour sa part, 400 naissances de moins que l'année dernière, soit une baisse de 10%. 
"En Alsace aussi, on est à 10% de baisse dans le secteur privé, 7% dans le public [davantage fréquenté par la population immigrée]
Même chose en PACA, que son ex-président socialiste, Michel Vauzelle, se flattait de classer "première région musulmane de France"
En Rhône-Alpes, certains établissements connaissent des baisses de 15%, et l'évolution peut être catastrophique", poursuit Jean-Loup Durousset. 
François Hollande n'a-t-il pas annoncé vendredi 13 novembre 2015 qu'il décrétait l'état d'urgence sur l'ensemble du territoire. Prochain bilan, lors de la canicule d'août... 

Une nouvelle baisse attendue en août 2016.

Naturellement, les professionnels envisagent une nouvelle chute des naissances en août et septembre 2016, neuf mois après le départ de l'état d'urgence. C'est pourquoi ils ont décidé d'alerter le ministère de la Santé sur cette situation, lui demandant de songer à une compensation de cette baisse d'activités.
Valls va-t-il exiger plus de fermeté des pères et Hollande sortir son plan B en faveur de la gestation pour autrui ?

Le chômage dégage du temps, à défaut de libérer les esprits
Ce climat anxiogène entretenu par les commémorations gouvernementales à répétition n'est pas la seule cause de cette baisse. C'est la faute des patrons et de l'échec du CICE !  Les couples en âge de procréer que les uns accusent de paresse hormonale et les autres d'abus des interruptions volontaires de grossesse - les IVG (gratuites depuis le 31 mars 2013) ont augmenté de 4,5% en 2013 -seraient aussi soumis aux effets de la crise économique. 

ll faut d'ailleurs attendre maintenant qu'opère la magie du plan (d'urgence !) de Hollande pour l'emploi. Reste, quand même, que le climat n'est pas porteur du tout. "Dans les échanges qu'on a au quotidien avec nos patientes, elles nous disent 'je ne le sens pas' ou 'je ne vais pas mettre au monde un enfant dans ce contexte-là', c'est très clair", confie notamment Emmanuel Bolzinger, gynécologue obstétricien.

Et la diminution des allocations familiales, est-elle un stimulus ?


Les allocations familiales en baisse pour 500.000 foyers.
Adoptée en octobre 2014, la réforme des allocations familiales a produit ses premiers effets. Environ un ménage concerné sur dix a vu le montant de ses allocations familiales baisser ou disparaître. En effet, depuis août, les allocations familiales sont désormais calculées en fonction des revenus des parents et suivent un nouveau barème.

La modulation au détriment des bons salaires de droite ou de bobos de gauche remplace l’universalité et l'équité. Certains foyers n'ont plus droit à aucune aide solidaire de leurs concitoyens pour les aider à faire le choix d'un enfant. Jusqu’à présent, le principe était clair : si l’impôt sur le revenu est progressif pour favoriser la redistribution, en matière d’allocations familiales, c’était l’universalité qui prévalait. Quels que soient ses revenus, un foyer modeste ou fortuné recevait le même montant: c'est ce qu'on appelait une politique nataliste, sans discrimination. 

Ce  nouvel attentat socialiste de masse
(contre environ 3 millions de familles) contre les familles moyennes fait suite à l’abaissement du quotient familial et à la diminution (voire la suppression) de la prime de naissance et du complément de garde.

Or, une revalorisation des allocations familiales était promises tous les 1er janvier, en lien avec l'inflation. Mais, pour commencer, l'augmentation prévue au 1er avril 2015 n'a pas eu lieu, pour une bonne raison, le gel de la majorité des prestations sociales...
De quoi débloquer les ardeurs des seuls couples irresponsables.
Les familles et les classes moyennes dans le viseur de Marisol Touraine peuvent se tourner vers les salles de shoot...

2 commentaires:

  1. Baisse de la natalité..................ben voyons, elle est belle la grosse ficelle!

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  2. C'est quoi la ficelle? On peut profiter de vos lumières?

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