Les salariés "ne veulent pas des défilés, des banderoles, des slogans", estime -depuis 2012- le secrétaire d'Etat aux relations avec le Parlement.
Il y a "trop d'organisations syndicales en France", a dénoncé le secrétaire d'Etat aux relations avec le Parlement du gouvernement de Manuel Valls, lors de l'émission "Questions d'Info" LCP-France Info-Le Monde-AFP, le mercredi 20 janvier, alors que Manuel Valls venait de recevoir les partenaires sociaux, le lundi 11 janvier, pour évoquer les futures mesures du plan d'urgence pour l'emploi promis par François Hollande, que celui-ci a exposé le 18 janvier devant le Conseil économique, social et environnemental (Cese) et qui suscite déjà le scepticisme de certains.
Dernière du gouvernement socio-libéral de Hollande: trop de syndicats nuit à la défense des travailleurs. "Le mouvement social et syndical français est aussi affaibli par cela, ce qui fait qu'il a une représentation largement moins grande que dans d'autres pays". "La multiplication des organisations syndicales aboutit bien souvent à un affaiblissement du dialogue social", a développé Jean-Marie Le Guen.
Et Jean-Marie Le Guen dénonce aussi "des postures de blocage"
Interrogé sur le veto opposé par les syndicats CGT, SUD et FO de la Fnac à l'accord sur le travail dominical, le stalinien Jean-Marie Le Guen a répondu, : "il y aura des élections à la Fnac".
Mieux que les syndicats, le sous-ministre représente tous les salariés. "Je pense que les salariés, à la fois pour eux-mêmes, mais aussi pour la création d'emplois, comprennent et connaissent l'importance de la dynamique de l'ouverture d'un certain nombre de magasins le dimanche, notamment dans les zones touristiques. Donc, je pense que ceux qui sont des bloquants seront marginalisés, a-t-il menacé: du goulag ?
D'ailleurs ils perdent les élections", a-t-il raillé, parce que le docteur Le Guen, frappé de la maladie d'Alzheimer, pense probablement que, depuis trois ans, le PS a gagné une élection. "Ceux qui sont sur des postures de blocage vont à la défaite sociale". Et "quand ils ont une posture nationale de blocage, par exemple la CGT, on voit bien qu'au plan local, très souvent, ils signent des accords. Car la réalité, c'est que les salariés, ils ne veulent pas des défilés, des banderoles, des slogans, ils veulent que ça avance", a également déclaré le secrétaire d'Etat s'exprimant depuis Paris.
Mieux que les syndicats, le sous-ministre représente tous les salariés. "Je pense que les salariés, à la fois pour eux-mêmes, mais aussi pour la création d'emplois, comprennent et connaissent l'importance de la dynamique de l'ouverture d'un certain nombre de magasins le dimanche, notamment dans les zones touristiques. Donc, je pense que ceux qui sont des bloquants seront marginalisés, a-t-il menacé: du goulag ?
D'ailleurs ils perdent les élections", a-t-il raillé, parce que le docteur Le Guen, frappé de la maladie d'Alzheimer, pense probablement que, depuis trois ans, le PS a gagné une élection. "Ceux qui sont sur des postures de blocage vont à la défaite sociale". Et "quand ils ont une posture nationale de blocage, par exemple la CGT, on voit bien qu'au plan local, très souvent, ils signent des accords. Car la réalité, c'est que les salariés, ils ne veulent pas des défilés, des banderoles, des slogans, ils veulent que ça avance", a également déclaré le secrétaire d'Etat s'exprimant depuis Paris.
Le Guen a enfin stigmatisé une gauche de la gauche "anti-hollandaise primaire"
Il accuse ses alliés de donner "sans arrêt des leçons à tout le monde" et à l'exécutif en particulier, mais qui est "incapable de se faire entendre par les Français". Cette gauche, "entre 2007 et 2012, s'est vraiment crispée sur un retour à un discours super simpliste, reconnaît-il: les salariés contre les patrons, etc. Ce discours-là, ça ne correspond plus à la réalité économique et sociale du pays, fait-il valoir désormais depuis les ors du pouvoirs. Je ne dis pas qu'il n'y a pas de conflit d'intérêts, je dis que l'exaltation des conflits d'intérêts entre patronat et salariat ne correspond plus à rien".
Que reste-t-il de la social-démocratie?
Encore une commémoration en perspective...
Il accuse ses alliés de donner "sans arrêt des leçons à tout le monde" et à l'exécutif en particulier, mais qui est "incapable de se faire entendre par les Français". Cette gauche, "entre 2007 et 2012, s'est vraiment crispée sur un retour à un discours super simpliste, reconnaît-il: les salariés contre les patrons, etc. Ce discours-là, ça ne correspond plus à la réalité économique et sociale du pays, fait-il valoir désormais depuis les ors du pouvoirs. Je ne dis pas qu'il n'y a pas de conflit d'intérêts, je dis que l'exaltation des conflits d'intérêts entre patronat et salariat ne correspond plus à rien".
Que reste-t-il de la social-démocratie?
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