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mercredi 26 février 2020

GriveauxGate : Branco se trahit dans une video, selon Paris Match 

Paris Match aurait mis à nu la "face sombre" de "l'étrange avocat"...

Le magazine people du groupe Lagardère se vante d'avoir mené l'enquête


la "face sombre" de "l'étrange avocat"...

à partir d'un monologue filmé de dix-sept minutes, posté le 27 juillet 2019, où Juan Branco s’en prenait directement à Benjamin Griveaux. Paris Match en saurait plus long que la police!  

Les journalistes d'investigation de Match, Sophie des Déserts, Emilie Lanez et François de Labarre disent avoir percé à jour Juan Branco, l'avocat qui "se pose" en meilleur opposant du "système". La vidéo "éclaire sur la haine que porte Juan Branco envers Benjamin Griveaux", assurent-ils en préambule, conditionnant le lecteur en faveur de l'ancien candidat LREM à la mairie de Paris, avant de produire ll moindre début de preuve. 
A l’époque de sa publication, avant qu'il ne la mette en non répertoriée sur You Tube, des dizaines de milliers de personnes l’avaient vue et même commentée.

"La mise en scène est bien sûr extrêmement choisie," commente le choeur des trois journalistes. "Juan Branco se filme face caméra, le visage dans la pénombre. La voix est lasse, loin de la verve qu’on lui connaît": le jeune homme n'a rien pour lui... Il détaille d’abord les attaques dont "il affirme" être la cible. Ainsi, il revient sur les dégradations "commises" sur le ministère du secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre Benjamin Griveaux, le 5 janvier 2019, lors du huitième samedi de contestation des gilets jaunes à Paris. Les caméras de surveillance du ministère de la rue de Grenelle avaient identifié Branco sur les lieux et, dans la foulee,  un signalement avait été opéré par une députée En Marche! auprès du Procureur de la république.

Le voir nu (lui aussi), "dans sa laideur"

"Dès début janvier, il y a eu cette offensive concertée (…) Une tentative de m’attribuer l’attaque au fenwick d’un couard et d’un lâche, un certain Benjamin Griveaux sur lequel j’avais enquêté et face auquel (...) je m’étais trouvé lorsque son ministère avait vu sa porte (être) défoncée au fenwick par des manifestants qui réclamaient à ce porte-parole du gouvernement de la France le droit à être écoutés, et refusé qu’il puisse au nom de notre pays insulter ceux qui tentaient de s’exprimer.

Plus loin, dans la même vidéo, il déclare : "La Macronie n’attend qu’une chose, de tout rafler lors des municipales. J’ai volontairement laissé fuiter l’idée qu’une candidature pourrait intervenir et que l’enfant chéri de la Macronie, un certain Benjamin Griveaux, pourrait de ce fait chuter. Car il ne s’agirait pas tant de vaincre que de l’écraser en lui renvoyant sa morgue, son mépris, son incompétence et son inanité. En le forçant à une confrontation qui, au-delà des petits jeux oligarchiques, auxquels se prête avec tant d’entrain Anne Hidalgo, forcerait à le voir nu, dans sa laideur."

Alors, les "diaboliques" de Paris Match ont-ils rempli leur contrat ou vous ont-ils mené(e) en bateau ?

Trois euros jetés par la fenêtre: la haine est avant tout celle de Paris Match qui ne démontre rien mais déverse son fiel.

Le piège, c'est de se laisser tromper sur la marchandise.





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