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mardi 25 février 2020

Le lapsus révélateur d'une députée de la majorité accablant LREM

Avec la société civile, Macron n'a pas fait une bonne affaire

Faute de mieux, elle était vice-présidente de l'Assemblée au temps de Rugy

«Grand bond en arrière» sur les retraites : le lapsus d'une députée LREM régale l'opposition
Comme Griveaux, elle ne se prend pas pour la queue d'une cerise

Macron a-t-il été bien inspiré en allant la débaucher chez Mersen, ex-Carbone Lorraine (développé par le Groupe Pechiney), groupe international opérant dans le domaine des spécialités électriques et des matériaux avancés et dont les principaux actionnaires sont la BPI (banque publique d'investissement, regroupant Oséo - qui finance les PME françaises pour l'emploi et la croissance -, CDC Entreprises, le FSI et FSI Régions) et Ardian ( )?

A 45 ans, la prétentieuse ex-RH déraille toujours

Sa parole publique a déjà perdu tout crédit le 25 février 2020, quand son manque d'objectivité face à la pandémie du coronavirus (Covid-19), la fait rejeter de ses concitoyens.

Cette députée
, membre de la commission des finances, s'était déjà distinguée en affirmant que les enseignants bénéficieraient de certaines concessions faites par le gouvernement en faveur des Gilets Jaunes, notamment avec la défiscalisation des heures supplémentaires jusqu’à 5.000 € par an. Certains "stylos rouges", des professeurs en colère, ont dû l'informer qu’ils travaillent déjà beaucoup plus d’heures que le maximum réglementaire, 35 heures par semaine, indépendamment de la rémunération, en incluant les cours, la préparation avant et après les leçons et les corrections d’examens.

Cette fois, a
lors que les députés n'ont pas de temps à perdre dans l'étude des milliers d’amendements déposés sur le projet à trous de réforme Macron des retraites, les élus LREM s'y perdent et leur discours dénotent une grande inadaptation au travail parlementaire.

Dernière abandonnée au bord du chemin: Cendra Motin.
Alors que la députée LREM de l’Isère et rapporteure du projet de loi organique pour la réforme s’exprimait au micro de l’hémicycle, Cendra Motin a fait un lapsus qui donne le fond de sa pensée sur ce projet mal ficelé : "Aujourd’hui, qui accepterait, s’il connaissait le régime universel, de revenir en arrière ? Eh bien nous, nous vous proposons un grand bond en arrière, plutôt que de regarder sans arrêt dans le rétroviseur comme vous le faites", a-t-elle conclu, applaudie par les PlayMobil de son camp, sous le regard effaré de l'opposition qui ne cesse de dénoncer leur instinct grégaire et leur nature soumise.

Elle confirme que le mouvement En Marche! fait un "grand bond en arrière"
 
Des mots immédiatement repris par des députés qui suivent les débats avec un esprit alerte, comme Pierre Dharréville, député PCF des Bouches-du-Rhône, comme Sébastien Jumel, député PCF de Seine-Maritime, ci-dessus.
.@pdharreville (PCF) : "Je veux confirmer à notre collègue Cendra Motin que c'est un grand bond en arrière qui nous est proposé avec cette réforme, comme elle vient de le dire: c'est un lapsus révélateur."#DirectAN #Retraites 

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