POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

vendredi 28 février 2020

Incendie à Strasbourg : deux personnes en garde à vue

La piste criminelle désormais "privilégiée"

L
es enquêteurs privilégient clairement la piste criminelle



Ils écartent la thèse de l'accident dans l'incendie d'immeuble qui a fait cinq morts et sept blessés à Strasbourg dans la nuit de mercredi à jeudi, même si la garde à vue des deux suspects interpellés peu après a été levée.
"Une seconde expertise privilégie la piste criminelle", a déclaré "une source (innommable?) proche du dossier" , alors que le Parquet a annoncé que les deux hommes ont été remis en liberté vendredi 28 février "faute d'indices graves ou concordants suffisants justifiant en l'état leur défèrement".
Faut-il comprendre qu'ils appartienne à une communauté totémisée par les groupes de pression de gauche (radicale)?

Le Parquet  précise que l'enquête sera confiée à deux juges d'instruction qui seront saisis d'une information judiciaire ouverte contre X pour «destructions» et «dégradations volontaires des biens d'autrui par l'effet d'un incendie» ayant "entraîné la mort de 5 personnes", des qualifications "criminelles", mais un "mode opératoire" des juges  qui  laissant présager un rapport d'experts psychiatriques suggérant un...déséquilibre ! 

Le représentant du ministère de la Justice avait commencé par envisager "l'hypothèse d'une simple défaillance électrique," selon les premières observations. La presse locale lui avait fait écho, alors qu'il est de notoriété publique que l'immeuble  connaît une activité souterraine que le préfet aurait dû contrôler... 

"Aucun désordre électrique (n'a) été mis en évidence à ce stade," a fini par Parquet de Strasbourg  le  admettre par les investigations des experts, avait fait valoir le Parquet. L'enquête, confiée dans un premier temps à la Sûreté départementale, associe désormais la Police judiciaire de Strasbourg "en raison de la complexité des investigations à mener", avait ajouté la magistrate en termes qui n'accrédite aucune volonté de transparence.

Que sait-on des gardés à vue ? Rien !

On saura que le sinistre a mobilisé 48 sapeurs-pompiers et 23 engins. Seules traces du drame sur la façade de l'immeuble jeudi au petit matin: des traînées noires au niveau du troisième étage, autour de fenêtres grandes ouvertes. 
Sur place, la journaliste Caroline Arnold révèle que les "deux hommes" interpellés vers 1h30 du matin, tout près de l'immeuble "seraient connus des services de police. Ils ont été "placés en garde à vue pour vérifications", précise-t-elle.
Des habitants auraient signalé des problèmes sur un boîtier électrique de l'immeuble, ajoute-t-elle. "Alors, incendie accidentel ou d'origine criminelle ? Impossible pour l'heure de le dire", conclut la journaliste. 

On ne saura rien des incendiaires, leur âge, leur genre et encore moins leur origine...
En revanche, si les familles attendent toujours les informations qui comptent pour elles, la Justice ne renseigne pas les Français et cultive le flou. Trois hommes et deux femmes ont péri dans l'incendie qui s'est déclenché vers 01h00 jeudi dans un immeuble des années 70 du quartier de la gare de Strasbourg, et sept autres personnes ont été hospitalisées en "urgence relative". Selon la procureure, les cinq corps sans vie ont été découverts "à l'intérieur (de l'immeuble) et principalement dans la cage d'escalier" par les sapeurs-pompiers.

Les personnes décédées sont un homme de 30 ans, un autre âgé d'une trentaine d'années et un troisième de 45 ans ainsi qu'une femme de 25 ans et une autre d'environ 70 ans, avait indiqué dans un premier temps le directeur de cabinet de la préfecture de la Région Grand Est, Dominique Schuffenecker. Mais le Parquet avait souligné que les victimes étaient encore en cours d'identification formelle à l'Institut médico-légal de Strasbourg, comme si elles n'étaient i connues ni des services de police, ni de ceux du ministère des Affaires étrangères. Comme les individus aux mains de la justice?
Parmi les sept blessés hospitalisés, dont la vie n'est pas en danger, figure une femme enceinte.

Le nom du gestionnaire des copropriétés de cet immeuble nous importe peu, mais il sest livré. Yves Reutenauer a évoqué jeudi la présence de "trafics" dans l'immeuble, qui abrite essentiellement des studios et des deux-pièces en location et où un système de vidéosurveillance avait été installé.
<br>

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):