Il ose le dit : «"Il ne s'agit pas du tout d'un appel à la haine raciale" !
Alors qu’un accord d'augmentation de 200 euros des bas salaires, signé dans la nuit de mercredi 4 au jeudi 5 mars, ne l’avait pas été par les représentants du MEDEF, le maître LKP ("collectif contre l'exploitation") de l’île avait alors affirmé à propos des entrepreneurs qui n’accepteraient pas l'humiliation de ses pressions, que: "nous n'arrêterons pas et je l'ai dit ce soir au préfet.
"Nous sommes très fermes sur cette question-là. Nous ne laisserons pas une bande de békés rétablir l'esclavage."
Alors qu’un accord d'augmentation de 200 euros des bas salaires, signé dans la nuit de mercredi 4 au jeudi 5 mars, ne l’avait pas été par les représentants du MEDEF, le maître LKP ("collectif contre l'exploitation") de l’île avait alors affirmé à propos des entrepreneurs qui n’accepteraient pas l'humiliation de ses pressions, que: "nous n'arrêterons pas et je l'ai dit ce soir au préfet.
"Nous sommes très fermes sur cette question-là. Nous ne laisserons pas une bande de békés rétablir l'esclavage."
Il évoquait ainsi les descendants des colons blancs accusés de continuer à contrôler l'économie des Antilles françaises. En bonne démocratie révolutionnaire, "il faut qu'ils appliquent l'accord : nous demandons son extension sur le plan juridique mais, sur le terrain, nous n'arrêterons pas tant qu'ils n'appliqueront pas l'accord, singulièrement dans l'hôtellerie."
Le grand chef révolutionnaire s’était nettement placé au-dessus des lois de la République: "Soit ils appliqueront l'accord, soit ils quitteront la Guadeloupe."
Domota a été explicite: il recommande le boycottage et plus si affinités : " Hors de question, aujourd'hui, d'aller faire des courses dans des entreprises qui exploitent des Guadeloupéens, dans les entreprises qui ne donnent pas 200 euros à leurs salariés. (...) Nous demandons aux Guadeloupéens de ne pas aller dans ces entreprises-là, de ne pas aller à Match, Carrefour, Cora, de ne pas faire de courses dans les entreprises qui n'appliquent pas l'accord." Ce sont bien des attaques directes contre des cibles nommément désignées.
Quand Elie Domota, le matamore LKP, menace et dit: «Nous ne laisserons pas une bande de békés rétablir l'esclavage », ce n’est ni de la haine, ni du racisme, car haine et racisme, ça ne marche que dans l’autre sens !
Néanmoins, après l'ouverture d'une enquête judiciaire pour incitation à la haine raciale visant ses propos contres certains chefs d'entreprise de Guadeloupe, le courageux meneur de casseurs a osé nier ses propos racistes. "Il ne s'agit pas du tout d'un appel à la haine raciale", a-t-il assuré sur i-Télé et France info, dénonçant une "volonté affichée de faire taire le peuple guadeloupéen."
Il s'exprimait sur Télé-Guadeloupe (lien LeMonde), mais attendons-nous à ce que les témoins se rétractent, que plus personne ne soit plus bien sûr d’avoir entendu quoi que ce fût et il y a même fort à parier que l’enregistrement à disparu ou a été endommagé, pour permettre à la justice de statuer…
De l'indépendantiste corse Yvan Colonna aux autonomistes guadeloupéens, la technique de défense consiste à créer du désordre et à semer le doute, mais surtout à ne jamais rien avouer.
Le grand chef révolutionnaire s’était nettement placé au-dessus des lois de la République: "Soit ils appliqueront l'accord, soit ils quitteront la Guadeloupe."
Domota a été explicite: il recommande le boycottage et plus si affinités : " Hors de question, aujourd'hui, d'aller faire des courses dans des entreprises qui exploitent des Guadeloupéens, dans les entreprises qui ne donnent pas 200 euros à leurs salariés. (...) Nous demandons aux Guadeloupéens de ne pas aller dans ces entreprises-là, de ne pas aller à Match, Carrefour, Cora, de ne pas faire de courses dans les entreprises qui n'appliquent pas l'accord." Ce sont bien des attaques directes contre des cibles nommément désignées.
Quand Elie Domota, le matamore LKP, menace et dit: «Nous ne laisserons pas une bande de békés rétablir l'esclavage », ce n’est ni de la haine, ni du racisme, car haine et racisme, ça ne marche que dans l’autre sens !
Néanmoins, après l'ouverture d'une enquête judiciaire pour incitation à la haine raciale visant ses propos contres certains chefs d'entreprise de Guadeloupe, le courageux meneur de casseurs a osé nier ses propos racistes. "Il ne s'agit pas du tout d'un appel à la haine raciale", a-t-il assuré sur i-Télé et France info, dénonçant une "volonté affichée de faire taire le peuple guadeloupéen."
Il s'exprimait sur Télé-Guadeloupe (lien LeMonde), mais attendons-nous à ce que les témoins se rétractent, que plus personne ne soit plus bien sûr d’avoir entendu quoi que ce fût et il y a même fort à parier que l’enregistrement à disparu ou a été endommagé, pour permettre à la justice de statuer…
De l'indépendantiste corse Yvan Colonna aux autonomistes guadeloupéens, la technique de défense consiste à créer du désordre et à semer le doute, mais surtout à ne jamais rien avouer.
Le révolutionnaire Domota sort le grand jeu et a précisé qu'il demanderait qu'un éventuel procès soit radiotélévisé, afin que "le monde entier" puisse constater ce qui se passe en Guadeloupe. Domota se croit le centre du monde, lequel en a déjà assez vu de ses exactions et condamne toute forme de violence.
Le parquet de Pointe-à-Pitre a annoncé samedi avoir ouvert une enquête judiciaire, non seulement pour provocation à la haine raciale mais aussi pour tentative d'extorsion de signature, contre Elie Domota, le meneur des casseurs de la grève générale dans l'île, soumise pendant 44 jours à l’intimidation et la menace. Il n'est pas étonnant que que Domota tente de chasser les Blancs de l’île, puisqu'il est dans sa logique et celle de la chanson, "La Guadeloupe, c’est à nous ; ce n’est pas à vous ", les « békés, c’est-à-dire les blancs, sujets de haine ancestrale, parce que certains descendants étaient esclavagistes lorsque la pratique était répandue, et qu’ils sont aujourd’hui parmi les plus riches. Or, un tiers de la richesse en Guadeloupe n’est plus aujourd’hui détenue par des Blancs, mais bien par des Noirs. Domota grossit le trait et ne craint pas l’amalgame, s’ils servent la lutte des classes et la haine raciale.
D’une île l’autre…
Le parquet de Pointe-à-Pitre a annoncé samedi avoir ouvert une enquête judiciaire, non seulement pour provocation à la haine raciale mais aussi pour tentative d'extorsion de signature, contre Elie Domota, le meneur des casseurs de la grève générale dans l'île, soumise pendant 44 jours à l’intimidation et la menace. Il n'est pas étonnant que que Domota tente de chasser les Blancs de l’île, puisqu'il est dans sa logique et celle de la chanson, "La Guadeloupe, c’est à nous ; ce n’est pas à vous ", les « békés, c’est-à-dire les blancs, sujets de haine ancestrale, parce que certains descendants étaient esclavagistes lorsque la pratique était répandue, et qu’ils sont aujourd’hui parmi les plus riches. Or, un tiers de la richesse en Guadeloupe n’est plus aujourd’hui détenue par des Blancs, mais bien par des Noirs. Domota grossit le trait et ne craint pas l’amalgame, s’ils servent la lutte des classes et la haine raciale.
D’une île l’autre…
Nous ne sommes pas en Corse, mais nous sommes dans un département également tenu sous la menace par des indépendantistes.
L'enquête du parquet a été ouverte pour "provocation à la discrimination, à la haine et à la violence contre des personnes ou des catégories de personnes en raison de leur origine ou en raison de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion, visant notamment et spécifiquement les personnes désignées par le vocable Béké et les entreprises que ces personnes dirigent".
"L'état de droit sera appliqué, nous sommes dans une République, nous sommes dans une démocratie", a répondu dimanche Henri Guaino, conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, sur radio J, s’il lui est permis de s’exprimer, sans que Domotase sente humilié...
"Toute incitation à la violence, à la haine raciale et tout usage de la force et de la brutalité dans une République comme la nôtre est inacceptable", a-t-il ajouté.
Henri Guaino a cependant nuancé son propos en envisageant qu’il ait pu y avoir eu "de part et d'autre" des propos "qui ne sont pas dignes d'une République comme la nôtre et qui s'apparentent à une approche raciale des problèmes".
Le préfet de Guadeloupe, Nicolas Desforges, et le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, se sont aussi inquiétés des déclarations d'Elie Domota.
Frédéric Lefebvre a ainsi dénoncé les "opérations d'intimidation" menées par "des sortes de tontons macoutes du LKP en Guadeloupe", une allusion (déjà établie par PaSiDupes- cf. libellé) à la milice paramilitaire créée par un ancien dictateur de Haïti au début des années 1960.
La Guadeloupe attend des sous des Blancs métropolitains…
"Toute incitation à la violence, à la haine raciale et tout usage de la force et de la brutalité dans une République comme la nôtre est inacceptable", a-t-il ajouté.
Henri Guaino a cependant nuancé son propos en envisageant qu’il ait pu y avoir eu "de part et d'autre" des propos "qui ne sont pas dignes d'une République comme la nôtre et qui s'apparentent à une approche raciale des problèmes".
Le préfet de Guadeloupe, Nicolas Desforges, et le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, se sont aussi inquiétés des déclarations d'Elie Domota.
Frédéric Lefebvre a ainsi dénoncé les "opérations d'intimidation" menées par "des sortes de tontons macoutes du LKP en Guadeloupe", une allusion (déjà établie par PaSiDupes- cf. libellé) à la milice paramilitaire créée par un ancien dictateur de Haïti au début des années 1960.
La Guadeloupe attend des sous des Blancs métropolitains…
Le maire DVG du chef lieu du département, Jacques Bangou, chez lequel Sa Cynique Majesté Royal s’était faite héberger, a annoncé jeudi 5 qu'il avait demandé que sa ville, victime de plusieurs nuits d'émeutes et de pillages, bénéficie du statut de "ville sinistrée"… Pour ceux dont le cerveau marche à la couleur de peau, Bangou, maire de Pointe-à-Pitre, est plus noir qu’Obama. Autrement dit, le pouvoir est à vrai dire mieux partagé que ne le prétend la propagande .
Les entreprises guadeloupéennes, victimes de LKP et pénalisées par quarante-quatre jours de grève générale, bénéficieront d'un moratoire sur le paiement de leurs prélèvements fiscaux et de leurs charges sociales, a également annoncé le trésorier-payeur général de la Guadeloupe, Bernard Cressot.
Question : Puisque les métropolitains, comme Jego, ne comprennent rien à la situation locale, LKP laissera-t-il une bande de culs-blancs rétablir l'économie guadeloupéenne ?
Question : Puisque les métropolitains, comme Jego, ne comprennent rien à la situation locale, LKP laissera-t-il une bande de culs-blancs rétablir l'économie guadeloupéenne ?
Domota : Yes we Canne à Sucre, mais faut nous donner les Terres, nous Planter les Cannes et les couper quand elles sont mûres ! On n'est pas des Esclaves quand même ... seulement des Fonktionnaires de l'Anpe désireux d'entreprendre avec le Capital et le Travail des Autres !
RépondreSupprimer"Nous ne laisserons pas une bande de Bekes retablir l'esclavage"
RépondreSupprimerCette phrase ne renferme aucun propos raciste ni d'incitation a la violence, elle est simple, ecrite au futur et renforcee de la negation "ne". La mechancete rend l'homme aveugle.Cette phrase est conforme au pacte international relatif aux droits civils et politiques adopte par l'assemblee generale dans sa resolution 2200 A (XXI) du 16 Decembre 1966, Entree en vigueur: le 23 Mars 1976 dans la 3eme partie dans son article 8 les alineas 1 et 2 qui stupilent:
1)Nul ne sera tenu en esclavage: l'esclavage et la traite des l'esclaves, sous toutes leurs formes sont interdits.2) Nul ne sera tenu en servitude.
Et plus loin dans l'article 19 les alineas 1 et 2 stipulent:
1) Nul ne peut etre inquiete pour ses opinions. 2) Toute personne a droit a la liberte d'expression: ce droit comprend la liberte de rechercher, de recevoir et de repandre les informations et des idees de toute espece. sans consideration de frontieres, sous une forme orale, ecrite, imprimee ou artistique ou par tout autre moyen de son choix.
Ce recours a la justice est une tentative desesperee qui nous rappelle le regne des tontons macoutes, ces ripoux de Duvalier pere et fils a l'epoque de la dictature sanguinaire en Haiti. Cette demarche est bourbiee d'intimidations et d'iregularites.
Aujourd'hui, les oppresseurs voulent se faire passer a la place des victimes et tentent de jeter tout le monde dans la confusion. Il est absurbe et revoltant qu'une minorite inconsciente s'accroche aux vieilles mentalitees: "tout pour lui et rien pour la grande majorite qui constitue la force motrice de la production locale et de la metropole. Nous savons qu'elle controle l'appareil judiciaire tel que ca a ete avant la grande revolution a Saint-Domingue mais, elle se trompe grandement. Cette minorite n'a pas d'arguments convaincants pour gagner ce proces insignifiant.
Plus de 200 ans apres les consequences nefastes de l'esclavage et environ 60 ans apres la declaration universelle des droits de l'homme, ces gens la veulent toujours appliquer les memes pratiques abitraires et audacieuses de la metropole. Nous sommes curieux, nous aimerions savoir les objectifs reels de cette reticence. he! voulez-vous conduire Mr Elie Domota au fort de joue, cet odieu enfer ou l'on a torture et assassine Toussaint Louverture le precurseur de la liberte des noirs? ou voulez-vous l'expulser vers l'Afrique du Sud comme on avait fait a Jean Bertrand Aristide le president constitutionel de la Republique d'Haiti pour avoir ose revendiquer la restitution de la dette de l'independance d'haiti?
Malgre les actes d'intimidations ce peuple conscientise et mobilise ne va pas se soumettre devant l'arrogance de quelques petits colons qui veulent toujours perpetuer le statu quo. Les oppresseurs doivent se ressaisir pour ne pas inciter la colere des oprimes. Cette phrase, cette declaration du leader du LKP M. Elie Domota est le reflet d'une realite plus que parfaite vieille de plusieur centenaires que seul les inconscients peuvent ignorer.
Les revandications du peuple sont legitimes et sa concretisation sera justice pour la majorite. Vox populi vox Dei.
Pour le Collectif des militants Sans Frontiere:
Vauze R Declasse, Journaliste,
Bachelier en Justice Criminelle