300 interpellations, dont probablement des étudiants...
La nuit des universités à Paris s’est achevée dans la violence
Des heurts ont éclaté dans la nuit du mardi 17 au mercredi 18 mars entre des étudiants qui s’en sont pris à la police. Un groupe de jeunes s'est déplacé à travers la capitale jusqu'à Barbès, en provoquant des dégâts avec des jets de bouteilles sur son parcours.
La révolution, ça s’arrose ! Le sol de plusieurs rues était jonché de bris de verre, et les vitrines d'un supermarché et de deux agences bancaires ont été brisées.
Des CRS en tenue anti-émeute ont dû charger des groupes de jeunes dans le quartier de Montmartre (XVIIIe arrondissement), fief du socialiste Vaillant.
Manifestation spontanée
Un étudiant a expliqué que parmi les nombreux étudiants - plusieurs milliers, selon lui... - réunis dans la soirée sur le site de l’Université Paris VII, dans le XIIIe arrondissement pour une "nuit des universités" organisée dans le cadre de la mobilisation des enseignants-chercheurs, une partie avait décidé de manifester « spontanément » dans les rues de la capitale. Les enseignants-chercheurs avaient spontanément regagné leurs foyers.
Quatre interpellations
Après avoir brièvement bloqué la circulation près de Châtelet, ce groupe d’extrémistes bien sous tous rapports s'est rendu dans les quartiers de Barbès et de Montmartre, où il a été encadré par les forces de l’ordre, visées par des jets de bouteilles, a indiqué un étudiant sous le couvert de l'anonymat ! Inutile aussi de lui demander sa carte d’étudiant."
A partir de 22 h 30, une partie de ceux qu’a priori on qualifie d’étudiants participant activement à la nuit des Universités a décidé d'un déplacement du centre de Paris vers le quartier de Barbès. Des dégradations ont été commises entraînant quatre interpellations" selon la préfecture de police. "Des vitrines ont été notamment étoilées par des jets de bouteilles" a-t-on souligné.
La nuit des universités à Paris s’est achevée dans la violence
Des heurts ont éclaté dans la nuit du mardi 17 au mercredi 18 mars entre des étudiants qui s’en sont pris à la police. Un groupe de jeunes s'est déplacé à travers la capitale jusqu'à Barbès, en provoquant des dégâts avec des jets de bouteilles sur son parcours.
La révolution, ça s’arrose ! Le sol de plusieurs rues était jonché de bris de verre, et les vitrines d'un supermarché et de deux agences bancaires ont été brisées.
Des CRS en tenue anti-émeute ont dû charger des groupes de jeunes dans le quartier de Montmartre (XVIIIe arrondissement), fief du socialiste Vaillant.
Manifestation spontanée
Un étudiant a expliqué que parmi les nombreux étudiants - plusieurs milliers, selon lui... - réunis dans la soirée sur le site de l’Université Paris VII, dans le XIIIe arrondissement pour une "nuit des universités" organisée dans le cadre de la mobilisation des enseignants-chercheurs, une partie avait décidé de manifester « spontanément » dans les rues de la capitale. Les enseignants-chercheurs avaient spontanément regagné leurs foyers.
Quatre interpellations
Après avoir brièvement bloqué la circulation près de Châtelet, ce groupe d’extrémistes bien sous tous rapports s'est rendu dans les quartiers de Barbès et de Montmartre, où il a été encadré par les forces de l’ordre, visées par des jets de bouteilles, a indiqué un étudiant sous le couvert de l'anonymat ! Inutile aussi de lui demander sa carte d’étudiant."
A partir de 22 h 30, une partie de ceux qu’a priori on qualifie d’étudiants participant activement à la nuit des Universités a décidé d'un déplacement du centre de Paris vers le quartier de Barbès. Des dégradations ont été commises entraînant quatre interpellations" selon la préfecture de police. "Des vitrines ont été notamment étoilées par des jets de bouteilles" a-t-on souligné.
Sciences-Po occupé
Dans l'après-midi, chemin faisant cahin-caha, l'Institut d'études politiques (IEP) de Paris, ou Sciences-Po Paris, avait été occupé « spontanément » au passage et une partie de la soirée par quelque 200 étudiants d'universités franciliennes voulant dénoncer les inégalités dans l'enseignement supérieur, selon un étudiant proche du syndicat Sud-Etudiant, lui-même proche du Che-Besancenot, proche de Drücker qui l’hébergea « spontanément » sur le service public. Michel est l’ami public de tout le monde…
49 personnes feront l'objet de procédure judiciaire
Les policiers ont interpellé environ 300 personnes sur 500 manifestants environ, au moment de la dispersion de la manifestation place de la Nation.
Dans l'après-midi, chemin faisant cahin-caha, l'Institut d'études politiques (IEP) de Paris, ou Sciences-Po Paris, avait été occupé « spontanément » au passage et une partie de la soirée par quelque 200 étudiants d'universités franciliennes voulant dénoncer les inégalités dans l'enseignement supérieur, selon un étudiant proche du syndicat Sud-Etudiant, lui-même proche du Che-Besancenot, proche de Drücker qui l’hébergea « spontanément » sur le service public. Michel est l’ami public de tout le monde…
49 personnes feront l'objet de procédure judiciaire
Les policiers ont interpellé environ 300 personnes sur 500 manifestants environ, au moment de la dispersion de la manifestation place de la Nation.
Que de spontanéité !
Une centaine d'entre eux, particulièrement violents, étaient munis de bâtons, de barres de fer et commençaient à lancer des projectiles sur les barrages de policiers, selon la Préfecture de Police.
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