Rachida Dati fait retirer une photo de sa fille sur le site de Gala
Rachida Dat, une maman fière de son bébé, mais imprudente ?
Mardi, à l'Assemblée Nationale, la garde des Sceaux était toute fière de montrer une photo de sa fille sur son blackberry à ses collègues de l'ump, dont la ministre de la Santé Roselyne Bachelot. Mais Rachida Dati n'avait pas prévu que la scène, qui se déroulait dans l'hémicycle, était épiée par de gros zooms voyeurs.
Quelques heures plus tard, le site internet de Gala publiait l'image agrandie de la petite Zohra. Alertée, Rachida Dati dépêcha son avocat, Me Kiejman, lequel décrocha son téléphone, fit le tour des rédactions people et promit le procès du siècle si le cliché était publié. Devant la menace juridique, Gala obtempéra et retira ladite photo.
Dati se défend d'avoir exposé sa vie privée
Depuis sa sortie de maternité, Rachida Dati refuse de poser pour la presse caniveau et entend protéger sa fille de la curiosité publique. Dans un entretien accordé au Journal du dimanche, le 7 mars dernier, la ministre de la Justice assurait n'avoir "jamais" exposé sa vie privée. "Et je ne vais pas commencer à le faire. Je préfère ne pas imaginer ce qu'on dirait si je le faisais", précisait-elle. "Je n'ai jamais entretenu de suspense sur le père de mon enfant, comme je l'ai lu ici et là dans la presse. Et je voudrais donc que l'on respecte le père de ma fille, ma fille et moi-même. En ce moment, je suis suivie en permanence par un paparazzi à moto. C'est insupportable."
La presse solidaire, celle qui a pignon sur rue, constate sans honte que « cette fois, les paparazzis n'ont eu qu'à se pencher du balcon de l'Assemblée Nationale... », comme s’il était convenable, et acceptable également par la presse dite de qualité, qu’un photographe plonge en plein Parlement dans les sacs à main et les fouille. La liberté de la presse s’étend-elle également à la lecture des documents des ministres aux bancs du gouvernement.
La loi française est-elle protectrice de la vie privée des personnes
On le dit. Et ce serait l'affaire de chacun.
Johnny Hallyday a, quant à lui, choisi d'exposer ses filles Jade et Joy en une de Paris Match du 5 mars, prélude d'un reportage de 8 pages.
L'hebdomadaire people s'est, en revanche, passé du consentement de Désirdavenir Royal pour afficher la photo de la meneuse de revue du Zénith au bras d'un homme présenté comme son compagnon. Encore reste-t-on encore dans le monde du spectacle.
Gala finance-il L’amère Royal ?
On prétend que c'est Pierre Bergé qui entretient la dame, mais ses rentrées d'argent sont multiples et le magazine vient encore de lui offrir quelques voyages et escapades qui seront sans doute l'occasion de faire tinter bientôt le tiroir caisse à nouveau.
Rachida Dat, une maman fière de son bébé, mais imprudente ?
Mardi, à l'Assemblée Nationale, la garde des Sceaux était toute fière de montrer une photo de sa fille sur son blackberry à ses collègues de l'ump, dont la ministre de la Santé Roselyne Bachelot. Mais Rachida Dati n'avait pas prévu que la scène, qui se déroulait dans l'hémicycle, était épiée par de gros zooms voyeurs.
Quelques heures plus tard, le site internet de Gala publiait l'image agrandie de la petite Zohra. Alertée, Rachida Dati dépêcha son avocat, Me Kiejman, lequel décrocha son téléphone, fit le tour des rédactions people et promit le procès du siècle si le cliché était publié. Devant la menace juridique, Gala obtempéra et retira ladite photo.
Dati se défend d'avoir exposé sa vie privée
Depuis sa sortie de maternité, Rachida Dati refuse de poser pour la presse caniveau et entend protéger sa fille de la curiosité publique. Dans un entretien accordé au Journal du dimanche, le 7 mars dernier, la ministre de la Justice assurait n'avoir "jamais" exposé sa vie privée. "Et je ne vais pas commencer à le faire. Je préfère ne pas imaginer ce qu'on dirait si je le faisais", précisait-elle. "Je n'ai jamais entretenu de suspense sur le père de mon enfant, comme je l'ai lu ici et là dans la presse. Et je voudrais donc que l'on respecte le père de ma fille, ma fille et moi-même. En ce moment, je suis suivie en permanence par un paparazzi à moto. C'est insupportable."
La presse solidaire, celle qui a pignon sur rue, constate sans honte que « cette fois, les paparazzis n'ont eu qu'à se pencher du balcon de l'Assemblée Nationale... », comme s’il était convenable, et acceptable également par la presse dite de qualité, qu’un photographe plonge en plein Parlement dans les sacs à main et les fouille. La liberté de la presse s’étend-elle également à la lecture des documents des ministres aux bancs du gouvernement.
La loi française est-elle protectrice de la vie privée des personnes
On le dit. Et ce serait l'affaire de chacun.
Johnny Hallyday a, quant à lui, choisi d'exposer ses filles Jade et Joy en une de Paris Match du 5 mars, prélude d'un reportage de 8 pages.
L'hebdomadaire people s'est, en revanche, passé du consentement de Désirdavenir Royal pour afficher la photo de la meneuse de revue du Zénith au bras d'un homme présenté comme son compagnon. Encore reste-t-on encore dans le monde du spectacle.
Gala finance-il L’amère Royal ?
On prétend que c'est Pierre Bergé qui entretient la dame, mais ses rentrées d'argent sont multiples et le magazine vient encore de lui offrir quelques voyages et escapades qui seront sans doute l'occasion de faire tinter bientôt le tiroir caisse à nouveau.
Sa Cynique Majesté Royal a fait un peu plus parler d’elle en déposant plainte pour violation de sa vie privée. Paris Match avait été condamné à lui verser 8.000 euros de dommages et intérêts lors d'une précédente affaire de photos volées.
Les cours baisent?
Elle en voulait 50000... La "belle devanture" de sa pub ne serait-elle plus qu'une "belle tête de gondole"? Ding ! fait encore le tiroir caisse. Pour combien de temps encore?
Les cours baisent?
Elle en voulait 50000... La "belle devanture" de sa pub ne serait-elle plus qu'une "belle tête de gondole"? Ding ! fait encore le tiroir caisse. Pour combien de temps encore?
Son dernier compagnon en date pourrait aussi bien porter plainte contre elle pour instrumentalisation de leur
Mais Madame Dati s’est faite détrousser, non pas dans la rue, mais dans un palais de la République. La presse n’a donc le respect d’aucun temple, fusse-t-il le temple du Peuple.
Si d'ordinaire je trouve piquant les interventions ici, je me pose tout de même une question : qu'en aurait-il été si Mme. Dati avait porté plainte pour des photos "détroussées" dans la rue ? Qu'auriez-vous dit, ou non ?
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