Le défi de l’opposition est relevé et la promesse tenue
Le président Nicolas Sarkozy s’est rendu mercredi 18 après-midi en banlieue parisienne, à Gagny (Seine-Saint-Denis), à la suite de l’expédition punitive dans un lycée menée par une bande le 10 mars, a annoncé l'Elysée.
L'intrusion d'une vingtaine de personnes encagoulées et armées de barres de fer, de bâtons et de couteaux avait fait douze blessés légers au lycée Jean-Baptiste Clément. Trois jeunes de 15 à 19 ans ont été mis en examen pour cette intrusion.
France-Info avait consacré sa matinée à annoncer la visite toutes les 7 minutes. Marianne et la gauche en concluront-ils que la visite à risque était médiatisée et que la radio publique est soumise ? Il faudrait avoir de l’aplomb et ne jamais écouter France Info, France Inter ou RFI pour se livrer à ce procès d’intention.
Le président Nicolas Sarkozy s’est rendu mercredi 18 après-midi en banlieue parisienne, à Gagny (Seine-Saint-Denis), à la suite de l’expédition punitive dans un lycée menée par une bande le 10 mars, a annoncé l'Elysée.
L'intrusion d'une vingtaine de personnes encagoulées et armées de barres de fer, de bâtons et de couteaux avait fait douze blessés légers au lycée Jean-Baptiste Clément. Trois jeunes de 15 à 19 ans ont été mis en examen pour cette intrusion.
France-Info avait consacré sa matinée à annoncer la visite toutes les 7 minutes. Marianne et la gauche en concluront-ils que la visite à risque était médiatisée et que la radio publique est soumise ? Il faudrait avoir de l’aplomb et ne jamais écouter France Info, France Inter ou RFI pour se livrer à ce procès d’intention.
D’ailleurs, supporter le militantisme de France Info est déjà un pensum en soi qu’on ne souhaite à personne plus d’un quart d’heure par jour. Les présentateurs (et –trices) sont tellement investis dans leur mission de désinformation qu’ils sont complètement stressés, comme s’ils étaient sur le front des guerres et des conflits sociaux, comme si de leur engagement dépendaient leurs vies, ou leurs carrières, plus certainement. Ils vous lâchent leurs infos au réveil à la façon de grenades au Chemin des Dames dont les déflagrations en rafales vous tiennent tapis au fond des draps. Il faut donc une grosse expérience du front pour savoir saisir l’accalmie de la plage météo et réussir à bondir hors de la tranchée du lit, à l’abri du feu nourri ennemi.
La grève des journalistes du service public le 19 mars aura au moins permis de faire la différence avec les autres radios qui sont plus respectueuses de leurs auditeurs. Mais ne vous avisez pas de vous brancher sur France Info, au volant à l’heure de la digestion, car la soporifique présentatrice de service, qui est arrivée au bout du rouleau, milite encore avec constance et opiniâtreté, mais sans aucune modération ni respect, et sur le ton appuyé d’une voix pâteuse, embrouillée et ménopausée, ou gavée de gros gris. Si vous n’y prenez garde, Sophie Auvigne vous conduira directement au fossé. Bref, il n’est pas d’autre issue que de changer de longueur d’onde.
Nul ne pouvait ignorer où se trouverait le président et à quelle heure
Nous savions aussi qu’il était accompagné de tous les ministres qui plaisent aux foules conservatrices qui bloquent les réformes: la ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, à qui il avait demandé un "plan d'action contre les bandes organisées" après cette attaque, et des ministres de la Justice, Rachida Dati, et de l'Education nationale, Xavier Darcos.
Ainsi, le Président Sarkozy devait se rendre à 16h00 au commissariat de police de Gagny où il prononça une allocution sur le thème de la lutte contre les bandes organisées, après s'être fait présenter l'Unité territoriale de quartier.
Auparavant, il participa à une réunion de travail à huis clos à la préfecture de police de Paris en présence des directeurs généraux de la police et de la gendarmerie et des préfets, des procureurs généraux et des recteurs d'Ile-de-France.
Nul ne pouvait ignorer où se trouverait le président et à quelle heure
Nous savions aussi qu’il était accompagné de tous les ministres qui plaisent aux foules conservatrices qui bloquent les réformes: la ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, à qui il avait demandé un "plan d'action contre les bandes organisées" après cette attaque, et des ministres de la Justice, Rachida Dati, et de l'Education nationale, Xavier Darcos.
Ainsi, le Président Sarkozy devait se rendre à 16h00 au commissariat de police de Gagny où il prononça une allocution sur le thème de la lutte contre les bandes organisées, après s'être fait présenter l'Unité territoriale de quartier.
Auparavant, il participa à une réunion de travail à huis clos à la préfecture de police de Paris en présence des directeurs généraux de la police et de la gendarmerie et des préfets, des procureurs généraux et des recteurs d'Ile-de-France.
France Info n'a pas réussi à provoquer de rassemblement hostile, mais ce n'est pas faute d'avoir essayé.
France Info, les chaînes publiques ; toute cette gauchitude à longueur de journée, toute cette désinformation, tous ces mensonges, ces phrases ou mots sortis de leur contexte... les incitations à la haine, à la violence...
RépondreSupprimerQuand allons-nous, nous aussi nous révolter et tous ensemble refuser de payer une redevance ?
Mary
C'est quoi la "promesse tenue" ????
RépondreSupprimerjf.