Sarkozy recevra les syndicats quand son plan de relance pourra être évalué
La journée d’action interprofessionnelle du jeudi 19 mars en France a rassemblé plus de manifestants que de grévistes.
Les manifestations "ont montré l'importance de l'inquiétude d'un certain nombre de salariés face à la crise mondiale", a estimé le Président de la République.
Et "Elles ont montré que cette inquiétude n'avait pas régressé en un mois et demi depuis la dernière manifestation", a-t-il ajouté. Mais le secteur privé était davantage sur la réserve et l’angoisse que le secteur public qui a versé dans le folklore et l’excès.
Une grève nationale ne peut pas fournir une réponse à une crise internationale, déclare Nicolas Sarkozy.
Au lendemain d'une nouvelle journée de mobilisation syndicale, Nicolas Sarkozy a estimé que la moindre participation aux grèves, qui a été relevée, était la preuve que la plupart des salariés n'envisagent pas ce mode d'action comme une bonne réponse à la crise. "Nombreux sont les salariés qui pensent que face à une crise internationale, une grève nationale ne peut pas fournir une réponse", a-t-il observé.
Un salarié "peut manifester une inquiétude, il peut manifester une angoisse, il peut manifester une colère, mais elle ne porte pas sur les réponses à la crise", a-t-il ajouté.
Pas de nouveau plan chaque semaine
"Mon rôle n'est pas de commenter un jour les inquiétudes, un autre les manifestations et un troisième les sondages. Mon rôle, c'est de prendre des décisions, d'obtenir des résultats", a insisté le chef de l'Etat.
Au lendemain d'une nouvelle journée de mobilisation syndicale, Nicolas Sarkozy a estimé que la moindre participation aux grèves, qui a été relevée, était la preuve que la plupart des salariés n'envisagent pas ce mode d'action comme une bonne réponse à la crise. "Nombreux sont les salariés qui pensent que face à une crise internationale, une grève nationale ne peut pas fournir une réponse", a-t-il observé.
Un salarié "peut manifester une inquiétude, il peut manifester une angoisse, il peut manifester une colère, mais elle ne porte pas sur les réponses à la crise", a-t-il ajouté.
Pas de nouveau plan chaque semaine
Nicolas Sarkozy a souligné qu'il lui semblait "imprudent" ou "difficile" de revoir son plan de relance comme le lui demandent les syndicats, alors que nombre de mesures ne sont pas "encore entrées en vigueur."
"Avant l'été, on évaluera, on complétera, on modifiera, on rajoutera s'il le faut", a-t-il dit.
De leur côté, les huit syndicats à l'origine des grèves et manifestations ont décidé de reporter au 30 mars leur décision sur les suites à donner au mouvement social, concédant ainsi leur partage du point de vue présidentiel.
Rendez-vous des acteurs sociaux avant l’été
Le président français a annoncé son intention d'attendre la prise d’effet du plan de relance gouvernemental, à partir d’avril et mai, avant dévaluer avec les partenaires sociaux les mesures sociales décidées face à la crise économique et s'est dit prêt à les compléter "s'il le faut".
"Je proposerai aux syndicats d'évaluer l'impact de toutes ces mesures avant l'été pour voir ce qu'on peut corriger, ce qu'on doit compléter et ce qu'on peut ajouter", a-t-il dit lors d'une conférence de presse de clôture d'un sommet européen à Bruxelles.
"Avant l'été, on évaluera, on complétera, on modifiera, on rajoutera s'il le faut", a-t-il dit.
Rendez-vous des acteurs sociaux avant l’été
Le président français a annoncé son intention d'attendre la prise d’effet du plan de relance gouvernemental, à partir d’avril et mai, avant dévaluer avec les partenaires sociaux les mesures sociales décidées face à la crise économique et s'est dit prêt à les compléter "s'il le faut".
"Je proposerai aux syndicats d'évaluer l'impact de toutes ces mesures avant l'été pour voir ce qu'on peut corriger, ce qu'on doit compléter et ce qu'on peut ajouter", a-t-il dit lors d'une conférence de presse de clôture d'un sommet européen à Bruxelles.
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