Le démystificateur stigmatise "l'antisarkozysme obsessionnel" du PS
Attention, le PS a lancé sa campagne des Européennes!
Ils n'étaient pas 1.500 au Zénith...
La maîtresse nageuse du grand bassin a dû rassurer: le PS est en ordre de marche nage.
Après des bousculades et des malaises au plongeoir, ils ont piqué une tête dans la campagne des Européennes samedi avec l'attribution chaotique mais définitive des lignes d’eau.
Cette eau est tellement limpide qu’Aubry, la maîtresse nageuse du PS a préféré chausser les palmes de l’anti-sarkozysme primaire plutôt que de s’étendre sur la planche instable des Européennes dans le bouillon agité du grand bassin socialiste. Elle a battu violemment des pieds pour ne pas boire la tasse.
Tout ce qui est excessif est insignifiant
Cette eau est tellement limpide qu’Aubry, la maîtresse nageuse du PS a préféré chausser les palmes de l’anti-sarkozysme primaire plutôt que de s’étendre sur la planche instable des Européennes dans le bouillon agité du grand bassin socialiste. Elle a battu violemment des pieds pour ne pas boire la tasse.
Tout ce qui est excessif est insignifiant
Déjà les critiques internes refont surface sur l'angle d'attaque choisi par la direction du parti pour s'en prendre à Nicolas Sarkozy et au gouvernement.
Le député PS Manuel Valls voit dans le réquisitoire du PS sur les libertés publiques un "danger" de "l'antisarkozysme obsessionnel", dans une tribune publiée samedi sur son blog. Le PS a publié la semaine dernière un "livre noir" qui, sous le titre "La France en liberté surveillée, la République en danger", dresse une caricature des "atteintes aux libertés publiques" depuis l'arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy. "Bien entendu, nos critiques à l'égard de l'exercice du pouvoir par le président de la République doivent être inflexibles (...) Mais faut-il pour autant parler de mouvement historique de régression des droits et d'étouffement systématique de tous les contre-pouvoirs ? Ma réponse est non. Faut-il voir dans ces évolutions la manoeuvre réfléchie et diabolique d'un Bonaparte en Ray-ban ? Ma réponse est encore non", s’écrie le député de l'Essonne.
Le député PS Manuel Valls voit dans le réquisitoire du PS sur les libertés publiques un "danger" de "l'antisarkozysme obsessionnel", dans une tribune publiée samedi sur son blog. Le PS a publié la semaine dernière un "livre noir" qui, sous le titre "La France en liberté surveillée, la République en danger", dresse une caricature des "atteintes aux libertés publiques" depuis l'arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy. "Bien entendu, nos critiques à l'égard de l'exercice du pouvoir par le président de la République doivent être inflexibles (...) Mais faut-il pour autant parler de mouvement historique de régression des droits et d'étouffement systématique de tous les contre-pouvoirs ? Ma réponse est non. Faut-il voir dans ces évolutions la manoeuvre réfléchie et diabolique d'un Bonaparte en Ray-ban ? Ma réponse est encore non", s’écrie le député de l'Essonne.
Je t’aime, moi non plus
Ce livre noir illustre, selon lui, "de manière exemplaire les difficultés de l'opposition à trouver le ton juste". "Déboussolés par nos défaites consécutives aux élections nationales, certains responsables de notre parti cherchent encore leur cap entre le gauchisme infantile et l'antisarkozysme obsessionnel." Des noms !
"Du gauchisme, ce livre retient la vision complotiste et paranoïaque de l'histoire. Faire de Sarkozy un démiurge capable d'ébranler, à lui seul, les institutions républicaines et les droits fondamentaux, c'est témoigner d'une répulsion qui confine à la fascination. En noircissant son portrait à l'excès, il grandit le personnage et donne le sentiment d'une réaction hystérique de la faiblesse devant la manifestation de la force."
Manu valse entre obsession et banalisation
"Du gauchisme, ce livre retient la vision complotiste et paranoïaque de l'histoire. Faire de Sarkozy un démiurge capable d'ébranler, à lui seul, les institutions républicaines et les droits fondamentaux, c'est témoigner d'une répulsion qui confine à la fascination. En noircissant son portrait à l'excès, il grandit le personnage et donne le sentiment d'une réaction hystérique de la faiblesse devant la manifestation de la force."
Manu valse entre obsession et banalisation
L’opposition se trompe de cible
"À notre époque, les libertés individuelles sont menacées, hélas, par des dangers beaucoup plus pernicieux (...) Clin d'oeil au Printemps des peuples de 1848, le Printemps des libertés" organisé dimanche au Zénith est une occasion ratée ."
Pour Valls, le « Printemps des libertés" pourrait tourner à l’automne d’une carrière socialiste.
Sanseverino dédiera-t-il à Manu sa chanson "Mal ô mains" dans laquelle on peut entendre le saxophone ténor jouer un court extrait de la musique du dessin animé Popeye. Peut-être alors, la chanson "Il se la pète"…
"À notre époque, les libertés individuelles sont menacées, hélas, par des dangers beaucoup plus pernicieux (...) Clin d'oeil au Printemps des peuples de 1848, le Printemps des libertés" organisé dimanche au Zénith est une occasion ratée ."
Pour Valls, le « Printemps des libertés" pourrait tourner à l’automne d’une carrière socialiste.
Sanseverino dédiera-t-il à Manu sa chanson "Mal ô mains" dans laquelle on peut entendre le saxophone ténor jouer un court extrait de la musique du dessin animé Popeye. Peut-être alors, la chanson "Il se la pète"…
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