Nathalie Loiseau, tĂȘte de liste LREM, lance une nouvelle boule puante stigmatisante
La premiÚre de cordée LREM aux élections européennes a encore dévissé
La liste LREM en marche !... |
Loiseau confesse n'avoir jamais Ă©tĂ© nulle part Ă sa place : pas plus adaptĂ©e Ă la tĂȘte de liste et au parlement europĂ©en qu'au gouvernement, elle ne l'a Ă©tĂ© Ă la direction de l'ENA... Elle est est revenue sur son expĂ©rience malheureuse Ă l'Ecole nationale d'administration pour accuser le "conservatisme" de la haute administration.

Lourde de multiples handicaps et complexes, la quinqua a Ă©talĂ© ses souffrances sur France Culture lundi 29 avril. "Je n'ai pas Ă©tĂ© accueillie avec des fleurs en n'Ă©tant pas ancienne Ă©lĂšve de l'ENA, femme et moins de 50 ans", s'est plainte Nathalie Loiseau, tĂȘte de liste tout aussi inappropriĂ©e. "J'avais l'impression d'ĂȘtre une romanichelle quand je suis arrivĂ©e Ă la tĂȘte de l'ENA", a-t-elle lĂąchĂ©, bien qu'ancienne diplomate qui "a fait carriĂšre sous la droite" comme le rappelle LibĂ©ration, mais dĂ©barquĂ©e du Quai d'Orsay par Fabius, bien connu pour sa tolĂ©rance politique. Dans cette chasse aux sorciĂšres - elle Ă©tait seule femme au conseil de direction - le perspicace Hollande avait tentĂ© de rattraper le coup en la parachutant sur l'ENA...
Le choix de ce terme dans la bouche fétide de la cheffe de file LREM aux Européennes a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux
Le mot à connotation souvent péjorative désigne une personne appartenant à un peuple tsigane.
Le sang de LĂ©onarda n'a dĂ» faire qu'un tour : rappelez-vous l'affaire politique que Hollande n'avait pas su gĂ©rer - Ă quelques mois, dĂ©jĂ , de scrutins municipaux et europĂ©ens - lors de l'expulsion vers le Kosovo, le 9 octobre 2013, d'une famille immigrĂ©e rom dont une fille mineure, Leonarda Dibrani, a Ă©tĂ© interpellĂ©e Ă l'occasion d'une sortie scolaire. Le "capitaine de pĂ©dalo" avait annoncĂ© qu'il autorisait la jeune mineure Ă poursuivre ses Ă©tudes en France, mais sans sa famille...Les internautes peuvent ajouter cette sortie Ă la liste dĂ©jĂ longue des bourdes dont elle a le secret Ă chacune de ses prestations. On retiendra ainsi sa participation Ă une liste Ă©tudiante d'extrĂȘme droite alors qu'elle prĂ©parait le concours de l'ENA Ă Science-Po, ainsi que sa banalisation de l'homophobie dans une bande-dessinĂ©e sur l'Europe qu'elle a cosignĂ©, mais aussi son dĂ©sir de mettre des claques Ă l'un de ses rivaux, Nicolas Dupont-Aignan...
Et de conclure : "cela ne m'a pas empĂȘchĂ© d'avancer"
Parce qu'à Sciences Po elle a échoué au concours d'entrée à l'ENA, elle se flatte d'avoir "dirigé une classe prépa égalité des chances": exemple d'utilisation des compétences ? Et elle insiste : "j'ai fait entrer une poignée d'élÚves tous les ans dans les écoles de service public. J'ai pu réformer le concours d'entrée, j'ai pu réformer la scolarité, j'ai pu réformer le contact des élÚves de l'ENA avec la vraie vie." Mais elle n'a juste pas su gérer l'ENA qui est lourdement endettée. Lien PaSiDupes
Nathalie Loiseau se plaint encore de n'avoir pas été portée par une "volonté politique forte au niveau du gouvernement" quand elle était directrice de l'ENA. "On a multiplié les missions qu'on m'a confiées et on a baissé le budget tous les ans," raconte-t-elle pour expliquer l'endettement de l'école entre 2012 et 2017.
Alors que Macron veut supprimer l'ENA en l'état, Nathalie Loiseau assure à France Culture qu' "il était temps qu'un chef d'Etat puisse dire ce qu'il pense de l'administration et dire comment la réformer"... Jeudi 25 avril, lors de sa conférence de presse, Macron a en effet confirmé son intention de supprimer l'Ecole nationale d'administration et Natahlie Loiseau s'était déjà dite "soulagée qu'on donne un coup de pied dans la fourmiliÚre", sur Radio J.
Lien PaSiDupes
"Notre systÚme scolaire et universitaire n'est plus un ascenseur social, c'est un entonnoir, a-t-elle souligné sur France Culture. Est-ce qu'il doit y avoir dÚs 25 ans l'aristocratie d'un cÎté, le tiers état de l'autre, je ne le crois pas," a-t-elle commenté, sous l'emprise de la pensée dominante marxisante.
LREM confirme sa déconnexion des préoccupations des Français.
"Ce n'est pas une histoire qui ne concerne que l'ENA, a estimĂ© la tĂȘte de liste de la majoritĂ© prĂ©sidentielle. Si vous prenez Polytechnique, l'Ecole normale supĂ©rieure, toutes ces Ă©coles de l'excellence et de la mĂ©ritocratie française, l'excellence n'est pas un gros mot, la mĂ©ritocratie non plus, mais il ne faut pas se dire qu'on est au point d'arrivĂ©e quand parfois on est au point de dĂ©part."
A quand la prochaine boulette de la victime de Hollande et Macron ?
LREM confirme sa déconnexion des préoccupations des Français.
"Ce n'est pas une histoire qui ne concerne que l'ENA, a estimĂ© la tĂȘte de liste de la majoritĂ© prĂ©sidentielle. Si vous prenez Polytechnique, l'Ecole normale supĂ©rieure, toutes ces Ă©coles de l'excellence et de la mĂ©ritocratie française, l'excellence n'est pas un gros mot, la mĂ©ritocratie non plus, mais il ne faut pas se dire qu'on est au point d'arrivĂ©e quand parfois on est au point de dĂ©part."
A quand la prochaine boulette de la victime de Hollande et Macron ?