Le ministre de l'Intérieur lance un défi aux casseurs infiltrés parmi les Gilets jaunes de l'Acte XXIII
Castaner communique sa psychose aux media alignés
Le temps pris par Macron à énoncer ses mesures pourrait conduire à un deuxième "16 mars", lequel fut marqué par des scènes de casse révolutionnaire et de pillage anti-capitaliste de commerces, en particulier sur l'avenue des Champs-Elysées à Paris et que Christophe Castaner redoute, communiquant sa fébrilité (70 interpellations auront déjà eu lieu à 11 heures en région et le journaliste Antoine Besson, CNews, indiquera qu'il a été contrôlé et a dû présenter sa carte de presse, parce que casqué...).
D'autant que le fuitage des mesures présidentielles indique qu'il n'a l'intention de satisfaire ni les plus démunis, ni les retraités qui se voient discriminés: il ré-indexerait à la marge les petites pensions de retraites qu'il a lui--même désindexées du coût de la vie. "Les casseurs seront à nouveau au rendez-vous : Toulouse, Montpellier, Bordeaux et tout particulièrement à Paris", a-t-il prévenu, visiblement tendu.
Plus de 60.000 policiers (5 escadrons de CRS) et gendarmes, des militaires, seront mobilisés, pour 15.000 manifestants attendus, dans toute la France, dont 5.000, rien qu'à Paris où il attend jusqu'à 15.000 personnes. Des estimations qui permettront d'assurer que le mouvement s'essoufflent...
Les rassemblements seront interdites aux abords de Notre-Dame de Paris "pour des raisons de sécurité" après l'incendie à la cathédrale, a annoncé jeudi la préfecture de police. L'interdiction sera en vigueur toute la journée de samedi, dans un périmètre qui comprend essentiellement l'île de la Cité, sur laquelle se dresse la cathédrale, et ses abords immédiats sur la rive gauche de Paris, a expliqué la préfecture par communiqué.
Quant au frêle préfet de police, il montre également les muscles.
Venu de Bordeaux qui a enregistré des manifestations très radicales non maîtrisées, Didier Lallement a affirmé que les projets de rassemblement de Gilets jaunes aux abords de Notre-Dame relèvent de la "pure provocation".
Le préfet Lallement a annoncé l'interdiction de deux manifestations, dont le trajet initial prévoyait un départ depuis le secteur de Bercy, dans l'Est de la capitale pour rejoindre les Halles ou la place de l'Etoile. Comme chaque samedi depuis plusieurs semaines, les Champs-Elysées et les abords du palais de l'Elysée seront également interdits à la manifestation.
Préfecture de police✔@prefpolice#NotreDame | Suite à l'incendie survenu à la Cathédrale Notre-Dame de Paris, la @prefpolice a pris un arrêté instaurant un périmètre de sécurité dans lequel la circulation des personnes et des véhicules est interdite.
Davantage de précisions : http://bit.ly/2GkAPn3127
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<br>La communication anxiogène du gouvernement exploite l'incendie à la cathédrale Notre-Dame de Paris.

Par ailleurs, les manifestations non déclarées ont également été interdites samedi par arrêtés préfectoraux dans les centres-villes de Nantes (PS, Loire-Atlantique), Rouen (PS, Seine-Maritime) et de Caen (LR, Calvados), ainsi qu'au niveau d'un rond-point à Saint-Etienne-du-Rouvray (PCF, Seine-Maritime).
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