Hamon n'a qu'un mot passe-partout: « nauséabond »
L'équipe de campagne de la candidate PS aux Régionales en Languedoc-Roussillon, Hélène Mandroux, a saisi mercredi 17 février la commission nationale des sondages après la publication d'une enquête d'opinion qui la crédite de 6% des voix au premier tour du scrutin.
"J'ai saisi cette commission mercredi", a declaré jeudi, Paul Alliès, le porte-parole de Mandroux, une proche de Martine Aubry et maître Brochen. Ce professeur de droit -toujours en activité à 65 ans- a avancé plusieurs motifs a priori pour contester "le bien-fondé" du sondage réalisé par OpinionWay et publié mercredi par Le Figaro.
Le PS refuse de voir la réalité en face
En premier lieu et selon le porte-parole de la candidate officielle du PS, ce sondage qui dérange a été réalisé à une période où était mise en doute l'aptitude du PS à déposer ses listes et à proposer un projet. Les discussions venaient en effet d'être interrompues avec Europe Ecologie, a expliqué P. Alliès. La tentative d'union dès le premier tour avait par conséquent échoué.
Alliès, depuis 2009, président de la Convention pour la 6ème République, s'est en deuxième lieu étonné des étiquettes politiques attribuées à Hélène Mandroux et à Georges Frêche, le président DVG sortant de la Région, donné largement en tête du premier tour et vainqueur du second.
Ainsi, H. Mandroux, tête de liste alternative à celle de Frêche, est-elle estampillée « Direction nationale du PS », tandis que l'affreux Jojo Frêche est qualifié de "divers gauche". Pourtant, selon P. Alliès, des personnes -anonymes- interrogées ont assuré (et pourquoi pas !) que l'enquêteur leur avait présenté G. Frêche comme "candidat socialiste, communiste et divers gauche". Sans compter le FN, mais on ne s'en vante pas...
Il y aurait donc des "irrégularités" entre "le questionnement et la publication des résultats", selon Alliès qui n'a pas d'autres preuves que des anonymes. Pendant plusieurs années l'un des dirigeants locaux de la pro-palestinienne LCR (Ligue Communiste Révolutionnaire, recyclée en NPA) jusqu'à la fin des années 80, avant de rejoindre le PS, Alliès fait en outre remarquer qu'OpinionWay précise dans Le Figaro avoir réalisé son étude auprès "d'un échantillon représentatif de 1.007 personnes inscrites sur les listes électorales ...en Poitou-Charentes" et non en Languedoc-Roussillon.
Le sondage est "sujet à caution", a conclu Alliès, conseiller régional (PS) du Languedoc-Roussillon depuis 2004 (élu sur la liste de Georges Frêche). Ce proche du seigneur antisémite et xénophobe de Languedoc-Roussillon a manifestement rebondi sur la polémique concernant OpinionWay et les soupçons qui pèsent sur l'institut d'"une connivence avec l'Elysée".
A l'en croire maintenant, l'Elysée aurait intérêt à voir gagner Frêche, ce maître à penser de Désirdavenir Royal ... A noter que Paul Alliès a été le fondateur d’un Master professionnel sur les « Métiers du journalisme » à l’Université de Montpellier I de 1999 à 2007. Comment dès lors s'étonner que les journalistes qui y furent ré-éduqués sous la direction de ce trotskiste pro-palestinien du PS aient plus de dispositions pour la désinformation et l'impertinence que pour l'objectivité ?
L'équipe de campagne de la candidate PS aux Régionales en Languedoc-Roussillon, Hélène Mandroux, a saisi mercredi 17 février la commission nationale des sondages après la publication d'une enquête d'opinion qui la crédite de 6% des voix au premier tour du scrutin.
"J'ai saisi cette commission mercredi", a declaré jeudi, Paul Alliès, le porte-parole de Mandroux, une proche de Martine Aubry et maître Brochen. Ce professeur de droit -toujours en activité à 65 ans- a avancé plusieurs motifs a priori pour contester "le bien-fondé" du sondage réalisé par OpinionWay et publié mercredi par Le Figaro.
Le PS refuse de voir la réalité en face
En premier lieu et selon le porte-parole de la candidate officielle du PS, ce sondage qui dérange a été réalisé à une période où était mise en doute l'aptitude du PS à déposer ses listes et à proposer un projet. Les discussions venaient en effet d'être interrompues avec Europe Ecologie, a expliqué P. Alliès. La tentative d'union dès le premier tour avait par conséquent échoué.
Alliès, depuis 2009, président de la Convention pour la 6ème République, s'est en deuxième lieu étonné des étiquettes politiques attribuées à Hélène Mandroux et à Georges Frêche, le président DVG sortant de la Région, donné largement en tête du premier tour et vainqueur du second.
Ainsi, H. Mandroux, tête de liste alternative à celle de Frêche, est-elle estampillée « Direction nationale du PS », tandis que l'affreux Jojo Frêche est qualifié de "divers gauche". Pourtant, selon P. Alliès, des personnes -anonymes- interrogées ont assuré (et pourquoi pas !) que l'enquêteur leur avait présenté G. Frêche comme "candidat socialiste, communiste et divers gauche". Sans compter le FN, mais on ne s'en vante pas...
Il y aurait donc des "irrégularités" entre "le questionnement et la publication des résultats", selon Alliès qui n'a pas d'autres preuves que des anonymes. Pendant plusieurs années l'un des dirigeants locaux de la pro-palestinienne LCR (Ligue Communiste Révolutionnaire, recyclée en NPA) jusqu'à la fin des années 80, avant de rejoindre le PS, Alliès fait en outre remarquer qu'OpinionWay précise dans Le Figaro avoir réalisé son étude auprès "d'un échantillon représentatif de 1.007 personnes inscrites sur les listes électorales ...en Poitou-Charentes" et non en Languedoc-Roussillon.
Le sondage est "sujet à caution", a conclu Alliès, conseiller régional (PS) du Languedoc-Roussillon depuis 2004 (élu sur la liste de Georges Frêche). Ce proche du seigneur antisémite et xénophobe de Languedoc-Roussillon a manifestement rebondi sur la polémique concernant OpinionWay et les soupçons qui pèsent sur l'institut d'"une connivence avec l'Elysée".
A l'en croire maintenant, l'Elysée aurait intérêt à voir gagner Frêche, ce maître à penser de Désirdavenir Royal ... A noter que Paul Alliès a été le fondateur d’un Master professionnel sur les « Métiers du journalisme » à l’Université de Montpellier I de 1999 à 2007. Comment dès lors s'étonner que les journalistes qui y furent ré-éduqués sous la direction de ce trotskiste pro-palestinien du PS aient plus de dispositions pour la désinformation et l'impertinence que pour l'objectivité ?
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