La journaliste du groupe Canal+ a-t-elle encore gagné en liberté ?
Grand bien leur fasse ?
Grand bien leur fasse ?
On est tenté de dire que cette relation les regarde, mais nous sommes supposés faire confiance à une journaliste à qui la déontologie professionnelle impose l'objectivité. (Voir le sondage PaSiDupes en colonne de droite) Comment cette perle réussit-elle à concilier impartialité et impertinence ? Comme elle l'avoue, Audrey Pulvar est bridée: «Je dois faire attention à tout ce que je dis » !
Chacun a observé qu'Audrey Pulvar (ci-contre) est en effet visiblement gênée aux entournures, mais notre indulgence aura mis son ambiguïté manifeste sur le compte d'une nécessaire adaptation à i>télé, depuis qu'elle a quitté France 3 l'été dernier. Or, dans le même temps, Arnaud Montebourg, qui faisait de la surenchère avec Désirdavenir Royal, s'est révélé peu tendre envers son camarade-gérant de L'Espoir à gauche que voulut lui reprendre.
Sa liaison la lie
Bien qu'elle assure que "sur i-télé, j'ai une vraie latitude", Audrey Pulvar insiste plus que de raison: « il y a une liberté de ton et d'espace qui fait que je ne regrette pas du tout France 3 ». A y mettre tant d'insistance, la concubine Montebourde est-elle crédible dans la mesure où désormais elle ne peut plus recevoir sereinement Sa Cynique Majesté Royal sur i>télé et que les ennemis de son ami sont ses ennemis ?
D'ailleurs, cette image d'intégrité dont se pare la journaliste est difficile à passer. Ne s'est-elle pas chargée de deux handicaps lourds en matière de neutralité: Canal + d'une part et le PS, d'autre part, sont deux raisons qui la rendent suspecte de sympathies incompatibles avec l'exercice de sa profession, puisque le PS est à n'en pas douter dans l'opposition et que Canal+ a été voulu par François Mitterrand dès 1982. En choisissant Canal+ dont l'insolence est le fonds de commerce, Mme Pulvar confirmait son orientation politique et elle n'avait donc pas besoin de partager la vie de Nono Montebourg, un homme marié, pour que ses préférences la discrédite en tant que journaliste libre.
Audrey Pulvar se défend de deux allégeances
Elle en fait tellement comme admiratrice de la liberté de ton de ses confrères que son malaise transpire, depuis qu'elle a perdu la sienne. D'Aphatie, elle déclare: « Il a fait ce que tout journaliste rêve de faire: il a créé quelque chose, un ton, un rendez vous. Evidemment, l'interview politique et la pugnacité existai[en]t avant lui, mais il se passe quelque chose avec Aphatie qui ne se passe pas ailleurs. » Si ce n'est pas de la nostalgie... Elle poursuit dans le registre de l'amertume: « C'est ce qui fait la personnalité de son rendez-vous, comme chez Elkabbach et Demorand qui eux aussi font des choses que l'on ne voit pas ailleurs. »
Madame Pulvar-Montebourg doit choisir
En ces temps « nauséabonds » de campagne des régionales, la position du couple devient intenable. Certes, à partir de l'instant où la candidature d'un socialiste de la diversité est jugée « positive » par le CRAN parce qu'il est Malien de Villiers-le-Bel d'origine et bien qu'en délicatesse avec la justice, tout devient possible et, du caniveau, le n'importe quoi peut se déverser à l'égoût.
La dignité de ses aînées
L'exemple vient d'en-haut
Il fut un temps où des journalistes tiraient les conséquences de leurs préférences amoureuses.
Madame Dominique Strauss-Kahn est aussi une journaliste, Anne Sinclair, née à New York d'un industriel et de Micheline Nanette Rosenberg.
Bien que très respectée pour son émission politique Sept sur sept dans les années 1980-1990, entre autres. Elle fut directrice adjointe de l'information sur TF1, puis directrice générale de TF1 Entreprise.
Or, lorsqu'en 1997, DSK fut nommé ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, elle décida d'arrêter la présentation des émissions politiques et devint directrice générale de e-TF1, la filiale internet du groupe, puis vice-présidente.
Mme Pulvar-Peillon préservera-t-elle l'honneur de la profession ?
Bizarre, que la gauche vertueuse ne s'applique pas à elle-même les règles qu'elle édicte pour les autres, à la veille d'un scrutin dont l'enjeu est, selon elle, national.
La conspiration du silence de la gauche est tout à son honneur...
Bien que très respectée pour son émission politique Sept sur sept dans les années 1980-1990, entre autres. Elle fut directrice adjointe de l'information sur TF1, puis directrice générale de TF1 Entreprise.
Or, lorsqu'en 1997, DSK fut nommé ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, elle décida d'arrêter la présentation des émissions politiques et devint directrice générale de e-TF1, la filiale internet du groupe, puis vice-présidente.
Mme Pulvar-Peillon préservera-t-elle l'honneur de la profession ?
Bizarre, que la gauche vertueuse ne s'applique pas à elle-même les règles qu'elle édicte pour les autres, à la veille d'un scrutin dont l'enjeu est, selon elle, national.
La conspiration du silence de la gauche est tout à son honneur...
Devise de la Gauche : "Fait ce que je te dis mais pas ce que je fais" !
RépondreSupprimerLa Gauche championne de France de la "muselière". Quand a Pulvar elle a toujours été une journaliste engagée dans ses questions politiques. Jamais de neutralité quand ce n'était pas le contenu c'était le ton de sa question, alors avec ou sans le Montebourg....
Je ne savais pas qu'elle était avec montebougre mais j'avais bien remarqué par son rictus parfois haineux durant les infos son appartenance au clan de gauche
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