Que Frêche soit candidat à l'Elysée règlerait la question !
Tous le pantalon sur les chevilles pour Frêche
Le député PS Pierre Moscovici a défait la ceinture
Mosco a souligné mercredi 24 que la mise à l'écart des 59 socialistes figurant sur les listes de Georges Frêche en Languedoc-Roussillon était "une mesure conservatoire, temporaire" et qu'après les élections régionales, viendrait le temps de "la réconciliation". Les préférences de Moscovici ne sont un secret pour personne: lire PaSiDupes (lien)
Mardi soir, lors du bureau national qui a placé hors parti les 59 candidats socialistes pro-Frêche, "j'ai plaidé plutôt pour la modération, à titre personnel", a pris soin de faire savoir le Pierrot Moscovici sur France Info.
"Ce que je voulais, moi, c'est qu'on tire les conséquences du geste qui a consisté à mettre Hélène Mandroux tête de liste et donc qu'on considère que ceux qui sont colistiers de Georges Frêche se mettent en dehors du parti pour quelques mois. Mais j'insistais beaucoup pour qu'il y ait ensuite, après les élections, une réconciliation", a-t-il expliqué.
"J'ai été entendu [de Frêche ?], c'est-à-dire qu'on prend une mesure conservatoire et temporaire", a-t-il ajouté, estimant qu'"il faut maintenant jouer l'apaisement".
"Il faut que sur le terrain se déroule une campagne, qu'on voit qui d'Hélène Mandroux ou Georges Frêche convainc les socialistes et puis, après les élections, on fera le point calmement, sereinement", a conclu le vertueux pacificateur. Avant la désignation du candidat socialiste, en tout état de cause...
Le député PS Pierre Moscovici a défait la ceinture
Mosco a souligné mercredi 24 que la mise à l'écart des 59 socialistes figurant sur les listes de Georges Frêche en Languedoc-Roussillon était "une mesure conservatoire, temporaire" et qu'après les élections régionales, viendrait le temps de "la réconciliation". Les préférences de Moscovici ne sont un secret pour personne: lire PaSiDupes (lien)
Mardi soir, lors du bureau national qui a placé hors parti les 59 candidats socialistes pro-Frêche, "j'ai plaidé plutôt pour la modération, à titre personnel", a pris soin de faire savoir le Pierrot Moscovici sur France Info.
"Ce que je voulais, moi, c'est qu'on tire les conséquences du geste qui a consisté à mettre Hélène Mandroux tête de liste et donc qu'on considère que ceux qui sont colistiers de Georges Frêche se mettent en dehors du parti pour quelques mois. Mais j'insistais beaucoup pour qu'il y ait ensuite, après les élections, une réconciliation", a-t-il expliqué.
"J'ai été entendu [de Frêche ?], c'est-à-dire qu'on prend une mesure conservatoire et temporaire", a-t-il ajouté, estimant qu'"il faut maintenant jouer l'apaisement".
"Il faut que sur le terrain se déroule une campagne, qu'on voit qui d'Hélène Mandroux ou Georges Frêche convainc les socialistes et puis, après les élections, on fera le point calmement, sereinement", a conclu le vertueux pacificateur. Avant la désignation du candidat socialiste, en tout état de cause...
Moscovici réclame juste un peu de douceur préliminaire ...
Moscovici se mettra volontiers sur la ligne de départ socialiste dans la course à l'Elysée.
Sa mansuétude à l'égard de l'antisémite du Languedor-Roussillon s'explique par son cruel manque de soutien à la réalisation de ses ambitions. En vendant son âme (?) à Frêche, il gagne du même coup les supports du Dijonnais Rebsamen et du lyonnais Collomb.
Au panier de la ménagère Moscovici, il manquait la saucisse de Lyon et la moutarde de Dijon. Il fournit le cornichon ...
En gros, " on les vire mais s'ils gagnent les élections, on les réembauche"! Pas sûr que ceux qui se seront fait "mettre de côté" comme des malpropres marchent dans la combine à moins qu'ils n'aient aucun honneur. Mais c'est vrai que pour beaucoup de politiques, ce mot c'est du vieux français...
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