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mardi 18 décembre 2012

Torreton vs Depardieu: le socialisme rend-il odieux ?

Libération accueille une charge "minable" de Torreton contre Depardieu

Première rupture de "contrat de génération" 

L'acteur Philippe Torreton signe une tribune à charge contre Gérard Depardieu excédé d'être taxé sur sa réussite. 
Le comédien "vertueux" porté par la gauche condamne l'exil fiscal de son aîné en Belgique, estimant que ses "sorties de route vont toujours dans le même fossé: celui du 'je pense qu'à ma gueule'".

Sous le titre narquois: "Alors Gérard, t'as les boules ?", nargue Philippe Torreton - un homme qui a un sens relatif de l'honneur et n'existe guère que par ses prises de positions politiques -  qui raille l'acteur des "Valseuses": il aurait pris"la mouche pour un petit mot" anodin, selon lui, "minable" - prononcé pour blesser, par un Premier ministre respectueux des opinions, Jean-Marc Ayrault.
  
Et le courtisan socialiste d'exhiber son vécu personnel depuis les années-collège jusqu'aux années Hollande, considérant que le monstre sacré "en appelle au respect, comme le fayot dans la cour de récré..." Torreton aurait en effet risqué un bourre-pif derrière les latrines que la distance lui évitera peut-être aujourd'hui. 

Torreton, acteur morveux protégé du président, mordille les mollets du géant du cinéma français

"Mais Gérard, tu pensais qu'on allait approuver ? (...) Tu pensais que des pétitions de soutien de Français au RSA allaient fleurir un peu partout sur la Toile ? ", persifle le théatreux, César du meilleur acteur, il y a déjà  16 ans, en 1997, pour "Capitaine Conan". 

Ce militant socialiste serait-il incapable de marquer la distance entre la réalité de sa triste condition et la fiction de son héros brutal, dont le cri de ralliement, à la fin de la première guerre mondiale, était : "Crève-les tous ! Pas de prisonniers !" Le genre humain a-t-il évolué en un siècle ? 

A noter que Roger Vercel, auteur du Capitaine Conan, a été récompensé du prix Goncourt en 1934, bien que (ou parce qu') il avait publié un article violemment antisémite, le 16 octobre 1940 malheureusement pour lui et Bertrand Tavernier, le metteur en scène de l'adaptation au cinéma, exhumé des archives du journal Ouest-Eclair (futur Ouest-France) en 2011, au risque de salir cette référence des deux socialistes. 
Le donneur de leçons, Tavernier et le comité du prix Goncourt savent-ils seulement que ce Vercel fut mis à la retraite d'office par arrêté du Ministre de l'Education Nationale (19 septembre 1945) pour avoir collaboré à la propagande ennemie



Charge de roquets ou jalousie de médiocres ?

Une teinture grotesque
et  baveuse,
comme lui 
On a vraiment envie d'être tutoyé par Torreton...

"Le problème, Gérard, c'est que tes sorties de route vont toujours dans le même fossé: celui du 'je pense qu'à ma gueule', celui du fric, des copains dictateurs, du pet foireux et de la miction aérienne, celui des saillies ultralibérales...", accuse l'ex-conseiller de Paris, qui s'était engagé auprès de Bertrand Delanoë (PS) mais fut le second élu le plus absent, et qui, à 48 ans, est d'ores et déjà nostalgique de son activité génito-urinaire d'antan.

Le cabot est allé relire "Cyrano de Bergerac" (ou son dictionnaire de citations !) pour éblouir et se trouver une caution supérieure: "On n'abdique pas l'honneur d'être une cible". L'ex-conseiller municipal est aussi un ex de la Comédie-Française (1990-1999) ajoute la bassesse à la provocation, interpellant Gérard Depardieu : "Tu t'en souviens ? Tu devrais... En ce temps-là, tu apprenais ton texte..."

L'arrogant donne envie de prendre le parti de Depardieu quoi qu'il fasse encore
"On va se démerder sans toi pour faire de ce pays un territoire où l'on peut encore, malgré la crise, (...) faire des films [sans risques, puisque subventionnés, mais pourtant accessibles à un  prix bien peu populaire aux familles les plus défavorisées] et monter des spectacles grâce à des subventions obtenues en prélevant l'impôt" [et entretenir des intermittents comme les TZR de l'Education nationale], considère Philippe Torreton.
Lien PaSiDupes, peu admiratif de Depardieu :  "Les simagrées de Depardieu sont une insulte aux mal-logés "

Ségolène Royal aurait aimé pouvoir
quitter le Poitou-Charentes
Et de conclure, toujours en écho à Cyrano: "Un pays que tu quittes au moment où l'on a besoin de toutes les forces, en plein siège d'Arras, sous les yeux des cadets médusés... Adieu".

Torreton a bien mérité une prochaine direction de théâtre, à la dimension de ses immenses qualités humaines et de sa sujétion idéologique et politique. 


5 commentaires:

  1. Qui est Philippe Torreton pour oser se payer aussi "minablement" le Monstre Depardieu ? Un petit frustré qui lui envie sa carrière colossale ? Un mal-b**sé de plus qui mélange les sujets et brandit du "théâtre pour les nuls" sans que rien ne lui soit jamais demandé ? Un pseudo-puriste qui ne s'abaisse pas à la production cinématographique parce qu'elle génère trop de cash ? Ca sent grandement le règlement de compte de compte perso... pas très élégant ça... Je ne comprends pas que l'on puisse se prétendre artiste avec cette étroitesse d'esprit et ce degré caractériel de politisation. Philippe Torreton, un artiste "engagé" nous répondra-t-on ? Engagé dans la propagande et la médiocrité qui méprise les principes de l'Europe et de libre circulation, qui méprise les opinions divergentes des siennes et qui pue l'autosatisfaction de la pensée unique... Stop les leçons de morales de la part de ces gens là, qu'il fasse son job et qu'il foute la paix aux autres ! Dieu sait que je suis pas fan de Depardieu, mais ce mec a raison, qu'il parte pour les excellentes raisons qu'on lui prêtent ou d'autres qui n'auraient rien à voir, qu'il parte et fasse profiter un autre état de ses richesses, c'est tout ce que la France mérite à ce stade et c'est un signe très fort qu'aucun des guignols du gouvernement ne devrait négliger... Mais Torreton ne craint pas de ridiculiser davantage notre pays avec son communisme dégradant et hors de la réalité.
    Accessoirement si le libertinage de DSK (sur lequel Môssieur Torreton oublie de s'exprimer...) est un talent ou un charme comme on l'a lourdement entendu, il est très inapproprié de mélanger les questions fiscales de Depardieu avec son mode de vie... C'est un autre procès et si l'on s'interdit de juger la partouze de DSK, pourquoi parler des pets de Depardieu... C'est PATHETIQUE, c'est d'un niveau lamentable et c'est promu par... Liberation...
    Plus que d'accord avec Le Parisien Liberal : Torreton nous insulte...

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  2. Bravo et entièrement en accord avec vos propos.
    Emprunter des arguments piochés dans les textes des autres, est digne d'un perroquet, pour qui se prend ce Torreton ou plutôt torretort, est-il un parangon de vertu.
    Mais quelle outrecuidence, la marque des gens de son espèce, des mots inutiles qui n'apportent rien que la discorde mais aucune créativité quelle qu'elle soit, juste un socialiste parmi les autres.

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  3. Torreton, un petit comédien en mal de reconnaissance contraint de faire de la politique pour exister médiatiquement... un minable quoi !

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  4. Le lèche-cul de service. Mais qui connaît ce Torreton? Nous qui vivons de l'autre coté de l'Atlantique, sommes ignares. Il espère sans doute acquérir une quelque notoriété internationale? Ou il souhaite plaire au régime?
    La jalousie est une vilaine bête.
    Je ne juge pas Dépardieu, parce que il vit en Europe. Cette Europe sans frontière, du libre échange et de la libre circulation, cette Europe du "Nous sommes tous européens', si voulue, accélérée et BACLEE par le couple Khol-Mitterrand. Si on va en Belgique pauvres, sans emploi et misérables, c'est du libre échange, mais on y va avec son pognon on est minable? Allez caguer, masse d'hypocrites.

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