Les irresponsables ne sont jamais responsables de rien
Les indé-
pendan-
tistes insurgés jouent avec le feu, mais mainte-
nant les
incen
diaires appellent les pompiers.
Les indé-
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tistes insurgés jouent avec le feu, mais mainte-
nant les
incen
diaires appellent les pompiers.
Tandis que des insurgés de l’UGTG dénonçent un déploiement excessif de forces de l’ordre, le maire de Pointe-à-Pitre, Jacques Bangou, a estimé que sa ville, livrée dans la nuit de lundi à mardi aux "exactions" des insurgés mis sur orbite par le LKP, avait été "abandonnée par la force publique".
"Les habitants ont vu les rues, les véhicules, les poubelles, les entreprises, les magasins livrés à des exactions commises par quelques bandes de jeunes", dont des adolescents de 12-13 ans, a-t-il déclaré mardi à des journalistes.
La tentative de blocus de Pointe-à-Pitre ne fait pas de doute.
Ainsi, un barrage de trois voitures en feu, gardé par une quinzaine de personnes, barrait l'accès à la rocade autour de Pointe-à-Pitre depuis Gosier.
"Les habitants ont vu les rues, les véhicules, les poubelles, les entreprises, les magasins livrés à des exactions commises par quelques bandes de jeunes", dont des adolescents de 12-13 ans, a-t-il déclaré mardi à des journalistes.
La tentative de blocus de Pointe-à-Pitre ne fait pas de doute.
Ainsi, un barrage de trois voitures en feu, gardé par une quinzaine de personnes, barrait l'accès à la rocade autour de Pointe-à-Pitre depuis Gosier.
Peu après 11 heures 30 heure locale (16 heures 30 à Paris), il était ainsi impossible de relier Gosier à Pointe-à-Pitre.
A Chauvel, un quartier populaire des Abymes, limitrophe de Pointe-à-Pitre, la carcasse d'une voiture était en feu peu après 10 heures (heure locale), selon un photographe. Une vingtaine de jeunes s'employaient à couper des arbres avec des machettes pour édifier un barrage, toujours selon la même source.
Des propos très peu en cohérence d’un jour sur l’autre
Le maire est impuissant.
Jacquou-le-Croquant déplore aujourd’hui qu'au moins six véhicules, ainsi que trois magasins ont été brûlés, sans que le police ou les gendarmes n’interviennent… "C'est un sentiment d'impuissance de ne plus appartenir à un Etat de droit, le sentiment de ne pas être en sécurité, d'avoir été abandonnée par la force publique", a jugé M. Bangou, sans rire. Le maire de Pointe-à-Pitre aurait-il subitement viré du côté de la légalité ?
Jacquou Bangou fait le jacques
D’abord, il a hérité son écharpe de papa, Henri Bangou, qui régna après quarante-deux ans sur la ville. Ensuite, si le fils se dit Divers Gauche, Bangou, le patriarche (86 ans), avait créé le Parti progressiste démocratique guadeloupéen (PPDG) en 1992 en quittant bruyamment le …Parti communiste. Enfin, nul besoin d’être « béké » pour créer une dynastie locale.
Jacquou, le nouveau maire (58 ans), vice-président du Conseil Général, président du conseil d'administration du CHU, s’est distingué dès son premier conseil municipal lorsqu’il a proposé la nomination d'Harry Durimel au SICTOM en tant que représentant de la ville. Une proposition qui a provoqué un tollé dans l'opposition, menée par son …beau-frère, Me Georges Brédent (avocat de 54 ans) et ex-communiste, qui y a vu un retour d'ascenseur. Rappelons que lors du second tour des municipales trois listes étaient concurrentes, celle conduite par Jacques Bangou, celle de Georges Brédent et celle conduite par Harry Durimel, la cinquantaine bien verte, porte-parole des Verts. Jacques Bangou a assuré qu'il n'y avait en aucun cas de retour d'ascenseur.
Selon ce maire DVG ( !) est un observateur passif d’émeute. "On gère cela comme si on avait le temps", avec "une rencontre" à l'Elysée "dans deux jours", jeudi. "Hier soir, j'ai passé toute ma nuit avec toute la population à observer la ville être mise à feu et à sang", a-t-il insisté, s'inquiétant de ce qui allait se passer dans la nuit de mardi à mercredi. Peut-être Monsieur le Maire de la première ville de Guadeloupe aura-t-il compris qu’il est élu pour gérer…
Des journalistes de métropole ont fait le rapprochement entre les exactions en Guadeloupe et des scènes vues à Villiers-le-Bel (Val d'Oise) au lendemain des émeutes qui ont marqué en novembre 2007 cette ville de la banlieue parisienne : dans les deux cas, de multiples barrages incendiés et des carcasses fumants de voitures carbonisées dans toutes les principales avenues. Comme si les clips et videos parisiens avaient été exploités aux Antilles à des fins de formation des jeunes à l’insurrection.
Pourvu que les barrages soient dégagés à temps pour permettre au grand frère blanc, Olivier Besancenot, de circuler vendredi.Sinon, il pourrait toujours s'indigner...
Des indépendantistes « responsables mais pas coupables »
Des propos très peu en cohérence d’un jour sur l’autre
Le maire est impuissant.
Jacquou-le-Croquant déplore aujourd’hui qu'au moins six véhicules, ainsi que trois magasins ont été brûlés, sans que le police ou les gendarmes n’interviennent… "C'est un sentiment d'impuissance de ne plus appartenir à un Etat de droit, le sentiment de ne pas être en sécurité, d'avoir été abandonnée par la force publique", a jugé M. Bangou, sans rire. Le maire de Pointe-à-Pitre aurait-il subitement viré du côté de la légalité ?
Jacquou Bangou fait le jacques
Selon ce maire DVG ( !) est un observateur passif d’émeute.
Des indépendantistes « responsables mais pas coupables »
Tandis que LKP, le collectif qui conduit la grève générale, avait prévu une conférence de presse, Bangou déclarait : "Cette situation était prévisible, je blâme les politiques du gouvernement qui nous ont conduit là!" Bangou, serein, ne craint pas la manipulation politicienne, puisqu’il est membre de LKP… A noter en outre qu’il n’appelle pas au calme pour autant…
Une réunion des autorités aéroportuaires avec les compagnies aériennes et un représentant de la préfecture a permis de "faire le constat que les obligations en matière de sécurité et de sûreté sont assurées", selon un communiqué du service.
Enfin, rien n’indique que les insurgés soient motivés par une quelconque déstabilisation politique... Tout porte à croire au contraire que les revendications sociales sont les seuls moteurs du vandalisme et des violences en Guadeloupe, comme le montrent les photos :
Enfin, rien n’indique que les insurgés soient motivés par une quelconque déstabilisation politique... Tout porte à croire au contraire que les revendications sociales sont les seuls moteurs du vandalisme et des violences en Guadeloupe, comme le montrent les photos :
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