Indigence des propos racoleurs d’une observatrice extérieure
La gauche cherche à tout bloquer partout
Et ça n'a encore pas manqué. A défaut d'idée, le premier secrétaire du Parti socialiste, Martine Aubry accroche le wagon socialiste à tous les mouvements revendicatifs. Le PS est le coucou démocrate dans le nid de la gauche régressive, anti-républicaine et violente.
Qu'à cela ne tienne, elle a demandé mercredi à Nicolas Sarkozy d'interrompre les réformes au sein de l'université, à la veille d'une journée de grève et de manifestations dans l'enseignement supérieur et la recherche.
La langue ne fait pas tout, sauf sous les préaux
Mais la première secrétaire n'élève pas le débat: "On ne peut pas à la fois dire qu'on prépare l'avenir comme le dit le président Sarkozy et prendre les mesures qu'il est en train de prendre, le changement de statut des chercheurs, la réduction des postes et des effectifs, le mélange des genres entre les enseignants et les chercheurs", a-t-elle déclaré en marge d'un déplacement au Parlement Européen à Strasbourg. Et qu'est-ce qu'elle fait ?
Un lien douteux de cause à effet n'est pas pour fair peur à la Ch'tite Aubry
"Tout cela entraîne une crise extrêmement grave dans nos universités, dans nos laboratoires de recherche et je voudrais dire au président arrêtez ces réformes qui n'en sont pas, mettez vous autour de la table avec ceux qui aujourd'hui ont besoin de préparer l'avenir de notre pays, ce sont des économies à court terme, ce ne sont pas des réformes qui portent l'avenir de notre pays", a-t-elle ajouté.
Ni dieu, ni maître
La gauche cherche à tout bloquer partout
Et ça n'a encore pas manqué. A défaut d'idée, le premier secrétaire du Parti socialiste, Martine Aubry accroche le wagon socialiste à tous les mouvements revendicatifs. Le PS est le coucou démocrate dans le nid de la gauche régressive, anti-républicaine et violente.
Qu'à cela ne tienne, elle a demandé mercredi à Nicolas Sarkozy d'interrompre les réformes au sein de l'université, à la veille d'une journée de grève et de manifestations dans l'enseignement supérieur et la recherche.
La langue ne fait pas tout, sauf sous les préaux
Mais la première secrétaire n'élève pas le débat: "On ne peut pas à la fois dire qu'on prépare l'avenir comme le dit le président Sarkozy et prendre les mesures qu'il est en train de prendre, le changement de statut des chercheurs, la réduction des postes et des effectifs, le mélange des genres entre les enseignants et les chercheurs", a-t-elle déclaré en marge d'un déplacement au Parlement Européen à Strasbourg. Et qu'est-ce qu'elle fait ?
Un lien douteux de cause à effet n'est pas pour fair peur à la Ch'tite Aubry
"Tout cela entraîne une crise extrêmement grave dans nos universités, dans nos laboratoires de recherche et je voudrais dire au président arrêtez ces réformes qui n'en sont pas, mettez vous autour de la table avec ceux qui aujourd'hui ont besoin de préparer l'avenir de notre pays, ce sont des économies à court terme, ce ne sont pas des réformes qui portent l'avenir de notre pays", a-t-elle ajouté.
Ni dieu, ni maître
Les enseignants-chercheurs dénoncent la suppression de 900 postes. Cet épouvantail a eu quelqu’impact sur les lycéens; l’opposition le ressort.
Tout en acceptant l'argent de l'Etat (et des Français), ils en refusent le contrôle ! Les maîtres de l'université rejettent la réforme de leur statut qui les placerait sous la tutelle des présidents d'université tout en introduisant une variabilité dans la répartition entre leur temps de recherche et leur temps d'enseignement. Il serait insupportable de rentabiliser l'argent public ?
Que disent les anarcho-révolutionnaires d'un patron du privé ?
L’opposition qui a réclamé l’autonomie des universités n’en veut plus et demande à revenir à la cogestion de grand-mère, mais le gouvernement n’en veut plus. La droite veut rénover pour avancer, l’opposition veut le statu quo et régresser.
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