POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

samedi 21 février 2009

Bergé, financier de Désirdavenir Royal, défie Pékin

L’arrogance d’un richissime socialiste collectionneur d’oeuvres d’art





Le sculpteur grec Phidias,

comme Barrack Hussein Obama,

a-t-il pris

la Gelée Royal

pour modèle ?




Yves Saint Laurent à peine froid, Pierre Bergé disperse aux enchères les oeuvres d'art acquises avec le couturier
Le multi-milliardaire socialiste qui entretient à fonds perdus Désirdavenir Royal, la pauvre candidate de la gauche et de l’ultra gauche, va ventiler des Matisse, des Picasso et deux sculptures de bronze réclamées par Pékin.

La contre-révolution culturelle de Bergé

Le Tibet n’est pas cette fois en cause, mais les étranges sympathies de la gauche pour le dalaï-lama reçoivent un éclairage nouveau.

A deux jours du début de la vente au Grand Palais à Paris et malgré le référé déposé par une association de défense du patrimoine chinois devant le tribunal de grande instance de Paris, l'arrogant petit homme pauvre a qualifié de "ridicule" une procédure judiciaire visant à la restitution au peuple de Chine des deux figures du XVIIIe siècle - une tête de rat et une autre de lapin - volées pendant les guerres de l'opium.
L'audience doit se tenir lundi, à quelques heures du début de la vente aux enchères qui dispersera 733 oeuvres d'art acquises par Pierre Bergé et Yves Saint Laurent.

Bergé, pilleur mondain de patrimoines culturels

Tel les vainqueurs du XIXe siècle imposant la loi du plus fort à leurs vaincus, le sinistre Bergé arbore aujourd’hui la ‘juste’ sérénité du pilleur occidental amoral, qui utilise ses intermédiaires en boucliers humains. "Je suis protégé complètement par la loi et c'est en toute sérénité que j'attends la suite de ce référé", a déclaré Pierre Bergé vendredi 20.
Pierre Bergé se prévaut de la loi qui lui évite les cas de conscience. Cette protection est pourtant parfaitement inutile à un être sans foi ni loi mais un comble, s’agissant d’un pilleur socialiste favorable à la « république juste » et d’un riche à milliards que les Ségollande détestent cordialement devant micros et caméras, alors que Sa Cynique Majesté va à la soupe populaire au caviare...

La culture n’est pas une marchandise

Evaluées chacune entre 8 et 10 millions d'euros, ces deux sculptures ne sont qu'une infime partie de collection d'oeuvres - tableaux, sculptures, pièces de mobilier, d'orfèvrerie, etc. - mise en vente par Christie's, en association avec la maison Pierre Bergé & associés.

Et l'élégant homme d'affaires de proposer un ‘deal’ aux autorités chinoises : les deux sculptures contre un assouplissement de la politique des droits de l'homme en Chine !
"Moi je suis prêt à offrir ces têtes en bronze au gouvernement chinois, tout de suite", déclara-t-il devant deux oeuvres d'Andy Warhol représentant Yves Saint Laurent.
"Il leur suffit, aux Chinois, de déclarer qu'ils vont appliquer les droits de l'homme, rendre la liberté aux Tibétains et accepter le dalaï-lama sur leur territoire".

Et un maître-chanteur socialiste de plus !

  • La gauche syndicale et politique pratique le chantage

    Mais certaines petites frappes mains aussi.
    "S'ils font cela, je serai très heureux, moi-même de leur apporter ces deux têtes chinoises pour les remettre au Palais d'été, à Pékin", a-t-il insisté. "C'est évidemment du chantage, mais c'est un chantage que j'assume".
    Pourri et fier de l’être…
  • La gauche invente le pillage moral

    Les recettes de la vente, estimées entre 200 et 300 millions d'euros, iront à la fondation que Pierre Bergé souhaite créer pour aider la recherche scientifique, notamment contre le sida.
    Les oeuvres seront exposées tout ce week-end …au Grand Palais avant la vente programmée de lundi à mercredi.

    Fruit de 50 ans de complicité entre les deux gays esthètes, cette collection privée est, aux dires des spécialistes, l'une des plus extraordinaires jamais mises sur le marché en raison de la densité et de qualité des pièces.

    On y trouve un Picasso de 1914 ("Instruments de musique sur un guéridon", estimé entre 30 et 40 millions d'euros) et plusieurs Matisse (dont "Les coucous, tapis bleu et rose", estimé entre 15 et 20 millions).
    Sont en outre proposés des tableaux d'Edgar Degas et de Jean-Auguste-Dominique Ingres, une sculpture en bois de Constantin Brancusi, un torse masculin romain du Ier siècle ou encore un "bar YSL" imaginé par l'artiste français François-Xavier Lalanne.
  • Servez-vous, c'est pour une bonne oeuvre.

    Aucun commentaire:

    Enregistrer un commentaire

    Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):