Les « ségoléniens » s’émancipent des tutelles politique et financière du couple Royal-Bergé
Les "ségoléniens" ont eu samedi leur première réunion de courant.
C’était l’occasion pour eux de réfléchir à la meilleure manière de faire entendre leur "singularité", explique un député PS de Sa Cynique Majesté Royal. Hors la présence de celle-ci, une discussion sereine semble possible.
Pour l’heure, l'idée de créer un parti est écartée.
La scission n’est pas à l’ordre du jour. Reste une alternative : créer une fondation ou une association. Bien qu’ils disposent déjà d’une association, cornaquée par Me Jean-Pierre Mignard, les "ségoléniens" penchent pour la deuxième solution.
Les justifications avancées à la création d'une autre association
Elles ne sont pas nécessairement fallacieuses
D’abord, ils ne veulent pas une asso de plus, mais un outil libéré du joug de Désirdavenir Royal. Non pas un levier à portée personnelle, mais un instrument à usage collectif. Le désengagement des « ségoléniens » de la tutelle Royal est en marche et ce sera le principal effet positif du Forum altermondialiste de Belem (Brésil) où elle est allée se recycler et se perdre.
Ensuite, la création des « ségoléniens » se justifie en effet pour la raison invoquée : "une association nous aidera à récolter des fonds pour louer un local et embaucher un ou deux permanents", explique un lieutenant de Royal.
L'association s’impose en fait pour deux raisons :
Elle assurerait l’indépendance financière des « ségoléniens » du pouvoir Royal, au moment où ses ressources pourraient venir à se tarir.
Car la deuxième raison tient à l’intérêt que porte le ministre du Budget, Eric Woerth, à la légalité, ou non, du financement des activités de Sa Cynique Majesté Royal par son mécène de grand luxe, le multimilliardaire Pierre Bergé. Tant d’agitation stérile et dispendieuse mériterait qu’il y soit mis bon ordre en ces temps de crise, ne serait-ce que pour à la fois moraliser le débat politique et garantir l’égalité des chances politiques.
N’est-ce pas Sa Cynique Majesté Royal qui, s’agissant des banques, dénonce « un déficit démocratique et de transparence grave » Et de commenter : «Or ils voudraient aujourd’hui qu’on les laisse faire sans exiger qu’ils rendent des comptes. »
> Côté morale financière, comment peut-on en effet ne pas payer l’ISF en calculant de manière douteuse l’état réel de sa fortune personnelle, et, toute honte bue, se rallier les voix des braves gens au Smic en assurant, comme le fit François Hollande: « Je n’aime pas les riches » et se faire entretenir par un capitaliste socialiste de haut vol, comme le fait son ex-concubine Royal ?
> Côté morale politique, comment celle qui soulève le « vent de la révolte » sur son passage et réclame , peut-elle prôner une république plus juste et concentrer le mécénat politique pour ses déplacements quand d’autres candidats (de la diversité, par exemple) et courants (Mélenchon ne crève-t-il pas la dalle, pendant que Marie-sEGOlène se gave ?) ne peuvent compter que sur le financement légal des partis par l’Etat et par les cotisations des travailleurs ?
> Faites ce que je dis, pas ce que je fais
« Tout le monde réclame aujourd’hui un retour aux règles », écrit-elle dans son dernier ‘opus’… « Je ne fais aucune confiance au Medef et à tous les banquiers qui y siègent pour établir des codes de bonne moralité ! Puisque Nicolas Sarkozy a parlé à juste titre de sanctions, ce qui est attendu, c’est que tous les responsables bancaires qui ont fauté soient interdits de profession bancaire. Sinon tout n’est qu’incantation. »
L’association serait « ségolénienne » et non pas « royaliste »
Ce qu’il faudrait croire
L'association resserrera aussi les rangs de troupes qui ont tendance, ces dernières semaines, d'une part, à se débander, voire à déserter, d'où des difficultés financières grandissantes, et, d'autre part, à être tiraillées par des intérêts divergents : certains qui n'ont pas de mécènes, comme Patrick Mennucci et Vincent Peillon, et qui se montrent en effet conciliants avec la direction incarnée par Martine Aubry.
Mais on entend coasser au fond du marigot ségolénien
Les crapauds n’ont qu’une idée en tête : préserver leurs chances d'être investis aux élections européennes par le Ch’tite Aubry... Pas de dissidence avant le printemps.
Les statuts de l'association, dont le nom reste à trouver, devraient être déposés d'ici à la fin du mois de février. Avant les investitures.
La rigueur pour toutes et tous
Haro sur les financiers, hurle Sa Cynique Majesté Royal
« Des milliards d’euros pleuvent pour sauver les banques alors qu’on nous dit depuis des mois qu’il n’y a plus d’argent dans les caisses. ».
Mais l’écho « ségolénien » lui répond : «des milliards d’euros pleuvent pour sauver Marie-sEGOlène alors qu’on nous dit depuis des mois qu’il n’y a plus d’argent dans les caisses ». Sauf dans les coffres de Pierre Bergé.
Si tout pour les banquiers, et donc les investissements et l'emploi, ce n'est pas moral, alors que dire du "tout pour Ségolène" !
Les "ségoléniens" ont eu samedi leur première réunion de courant.
C’était l’occasion pour eux de réfléchir à la meilleure manière de faire entendre leur "singularité", explique un député PS de Sa Cynique Majesté Royal. Hors la présence de celle-ci, une discussion sereine semble possible.
Pour l’heure, l'idée de créer un parti est écartée.
La scission n’est pas à l’ordre du jour. Reste une alternative : créer une fondation ou une association. Bien qu’ils disposent déjà d’une association, cornaquée par Me Jean-Pierre Mignard, les "ségoléniens" penchent pour la deuxième solution.
Les justifications avancées à la création d'une autre association
Elles ne sont pas nécessairement fallacieuses
L'association s’impose en fait pour deux raisons :
N’est-ce pas Sa Cynique Majesté Royal qui, s’agissant des banques, dénonce « un déficit démocratique et de transparence grave » Et de commenter : «Or ils voudraient aujourd’hui qu’on les laisse faire sans exiger qu’ils rendent des comptes. »
> Côté morale financière, comment peut-on en effet ne pas payer l’ISF en calculant de manière douteuse l’état réel de sa fortune personnelle, et, toute honte bue, se rallier les voix des braves gens au Smic en assurant, comme le fit François Hollande: « Je n’aime pas les riches » et se faire entretenir par un capitaliste socialiste de haut vol, comme le fait son ex-concubine Royal ?
> Côté morale politique, comment celle qui soulève le « vent de la révolte » sur son passage et réclame , peut-elle prôner une république plus juste et concentrer le mécénat politique pour ses déplacements quand d’autres candidats (de la diversité, par exemple) et courants (Mélenchon ne crève-t-il pas la dalle, pendant que Marie-sEGOlène se gave ?) ne peuvent compter que sur le financement légal des partis par l’Etat et par les cotisations des travailleurs ?
> Faites ce que je dis, pas ce que je fais
« Tout le monde réclame aujourd’hui un retour aux règles », écrit-elle dans son dernier ‘opus’… « Je ne fais aucune confiance au Medef et à tous les banquiers qui y siègent pour établir des codes de bonne moralité ! Puisque Nicolas Sarkozy a parlé à juste titre de sanctions, ce qui est attendu, c’est que tous les responsables bancaires qui ont fauté soient interdits de profession bancaire. Sinon tout n’est qu’incantation. »
L’association serait « ségolénienne » et non pas « royaliste »
L'association resserrera aussi les rangs de troupes qui ont tendance, ces dernières semaines, d'une part, à se débander, voire à déserter, d'où des difficultés financières grandissantes, et, d'autre part, à être tiraillées par des intérêts divergents : certains qui n'ont pas de mécènes, comme Patrick Mennucci et Vincent Peillon, et qui se montrent en effet conciliants avec la direction incarnée par Martine Aubry.
Mais on entend coasser au fond du marigot ségolénien
Les crapauds n’ont qu’une idée en tête : préserver leurs chances d'être investis aux élections européennes par le Ch’tite Aubry... Pas de dissidence avant le printemps.
Les statuts de l'association, dont le nom reste à trouver, devraient être déposés d'ici à la fin du mois de février. Avant les investitures.
La rigueur pour toutes et tous
Haro sur les financiers, hurle Sa Cynique Majesté Royal
« Des milliards d’euros pleuvent pour sauver les banques alors qu’on nous dit depuis des mois qu’il n’y a plus d’argent dans les caisses. ».
Mais l’écho « ségolénien » lui répond : «des milliards d’euros pleuvent pour sauver Marie-sEGOlène alors qu’on nous dit depuis des mois qu’il n’y a plus d’argent dans les caisses ». Sauf dans les coffres de Pierre Bergé.
Si tout pour les banquiers, et donc les investissements et l'emploi, ce n'est pas moral, alors que dire du "tout pour Ségolène" !
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