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samedi 21 février 2009

Besancenot désire un avenir de grève générale en métropole

La Guadeloupe, laboratoire révolutionnaire de l’ultra gauche

Besancenot, importateur illégal de malheurs, a déclaré en posant le pied gauche en Guadeloupe:
"Nous sommes venus ici (en Guadeloupe) pour apprendre et faire là-bas (en métropole) ce que vous avez fait", a-t-il déclaré à la presse.
Revêtu du T-shirt de LKP, Olivier Besancenot, le leader du Nouveau Parti Anticapitaliste, a aussi prétendu vendredi après-midi à sa descente d'avion en Guadeloupe, qu’il serait venu aux Antilles "pour apprendre" et reproduire en métropole la grève générale en cours depuis un mois…

Intox trotskiste

L’Outre-Mer a de tous temps été la paillasse des expériences de laboratoire du PCF.
Mais son écroulement a laissé la voie libre aux extrémistes en tous genres et ils ne manquent pas. Besancenot n’a donc rien à apprendre, puisque tous les syndicats membres de LKP sont des sympathisants actifs de la CGT, mais aussi de FO et de SUD, en autres.

Exemples de duplicité destinée aux media complices
  • "Vous allez nous expliquer comment vous avez fait afin qu'on fasse la même chose là bas parce que les 200 euros on en a bien besoin, parce que la répartition des richesses pose aussi problème chez nous", a-t-il menacé.
  • Besancenot serait plus blanc-blanc que rouge et noir
    Il a réfuté l'idée de sa "manipulation" du LKP qui conduit la mobilisation.
    Il a été accueilli par Alex Lollia, de la Centrale des travailleurs unis (CTU), membre du collectif LKP, légèrement blessé lundi sur un barrage routier dressé par des insurgés, maintenant dégagé par la police.
    Alex Lollia, qui se dit « roué de coups et traité de sale nègre », s’est adressé le 17 février au personnel hospitalier qui lui a apporté des soins. Il leur a déclaré: « Je suis un combattant aux mains nues ! ».

    Il a aussi affirmé, bien que sain d’esprit, qu’ « en face de nous, les forces de police n’ont pas hésité à nous agresser sauvagement. Avec des camarades de l’U.G.T.G. et de la C.T.U., nous faisions tout pour calmer le jeu». Impossible de répéter la totalité de ses allégations diffamatoires, mais nous soumettons encore celles-ci à votre appréciation, prononcées « du fond de mon lit d’hôpital »…
    « Lorsque je recevais des coups de pieds dans le ventre et que je me traînais par terre, voilà ce qu’ils m’ont dit : « On a vu ta sale gueule à la télé, on va te la casser et tu ne pourras plus la montrer. On va vous casser sales nègres, chiens de nègres ! »
    "J’ai vu qu’ils traînaient par les cheveux, une femme du quartier qui manifestait son indignation lorsqu’ils m’ont frappé. Ma seule arme a été de crier, de hurler ce qui a provoqué la colère des habitants du quartier." O’Besancenot déclarera-t-il cet autre fonctionnaire «saint, innocent et martyr » de la cause ? Lollia y travaille « C’est comme cela que j’ai pu en réchapper. Je ne sais ce qui est advenu de cette dame et je lui envoie, de mon lit, mon salut militant. Je la remercie d’avoir eu le courage, elle qui m’a sauvé avec les voisins du quartier. » Littérateur prolifique et pathétique... Lol !

    C’est tout pour l’instant ! Rassurons toutefois ses sympathisants : les « lésions cervicales » et les « complications cardiaques consécutives à la violence des coups qui lui ont été portés par les forces de police », si graves soient-elles, n’ont pas empêché ce professeur de philosophie de se déplacer, le 21, et d’accueillir son dieu et maître. Subira-t-il des retraits de salaires pour ce mois de grève ?

    Pourquoi le CTU ?

    Il se trouve que plusieurs des dirigeants en vue de la CTU, membres de LKP, sont justement des « proches » du NPA. C’est fou comme le hasard fait bien les choses ?

    A ses côtés, une quarantaine de personnes avaient été mobilisées dont certaines ne savaient pas qui elles allaient accueillir. Il suffisait que le meneur, si Blanc soit-il, déclare "c'est aux profiteurs de payer l'augmentation des salaires, c'est pas aux contribuables" et le comité d’accueil était satisfait.
    Le leader d'extrême gauche s'est ensuite rendu au siège du Port autonome de la Guadeloupe, où se tiennent les négociations LKP-patronat.

    Des barrages et des blocages en métropole, vite !

    Selon O’Besancenot, "il faut montrer que le peuple uni, soudé, ça fait que des mots tabous, grossiers presque pornographiques comme ‘augmenter les salaires’, ça devient discutable au bout d'un mois de grève générale".
    La ‘star du porno politique’ "n'est pas venue apporter la bonne parole, donner des leçons, mais je suis venu apporter un soutien militant parce qu'il s'est passé des choses graves ici".
    L’odeur de la mort…
    Sera-t-il encore en congé de La Poste vendredi et samedi pour assister aux obsèques dimanche du syndicaliste Jacques Boni, tué par un camarade syndicaliste en lutte, "proche" de Besancenot.
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