Les actions socialistes confirment-elles ses propos ?
Le croirez-vous, la première secrétaire du PS Martine Aubry a déclaré craindre une propagation des événements qui secouent les Antilles à la métropole. Peu lui chaud donc la Guyane ou la Réunion ou la Nouvelle Calédonie...
Dans un entretien publié vendredi 13 par Le Parisien, elle assure la main sur le cœur :"Je crains effectivement que le sentiment de ras le bol des Guadeloupéens et des Martiniquais se diffuse ici". Il faut bien la croire puisqu'elle mobilise des journalistes pour le répéter. La maire de Lille livre aussi une remarque qui ne manque pas de profondeur. Elle a découvert que "le sentiment d'injustice aux Antilles est d'autant plus fort que la vie y est plus chère qu'en métropole". Telle est sa contribution à la réflexion sur le mouvement social spontané qui paralyse le département...
Pourquoi ce préambule creux ?
Elle finit par lâcher ce qui motive son intervention. Confirmant son souci d’unité nationale qu’elle s’évertue à promouvoir dans chacune de ses déclarations, chacune de ses rares propositions et chacun des votes socialistes au Parlement, la Ch’tite première socialiste assure que cette crainte serait alimentée "notamment [notons la réserve discrète !…] parce que le président de la République reste sourd aux attentes des Français".
De la crainte à l’espoir
La socialiste est sincère.
"C'est ce décalage qui me fait craindre une propagation des événements qui agitent les Antilles". Elle affirme d’ailleurs: "il faut tout faire pour que cela n'arrive pas".
Et quand commence-t-elle pour sa part à « tout faire » ?
Le croirez-vous, la première secrétaire du PS Martine Aubry a déclaré craindre une propagation des événements qui secouent les Antilles à la métropole. Peu lui chaud donc la Guyane ou la Réunion ou la Nouvelle Calédonie...
Dans un entretien publié vendredi 13 par Le Parisien, elle assure la main sur le cœur :"Je crains effectivement que le sentiment de ras le bol des Guadeloupéens et des Martiniquais se diffuse ici". Il faut bien la croire puisqu'elle mobilise des journalistes pour le répéter. La maire de Lille livre aussi une remarque qui ne manque pas de profondeur. Elle a découvert que "le sentiment d'injustice aux Antilles est d'autant plus fort que la vie y est plus chère qu'en métropole". Telle est sa contribution à la réflexion sur le mouvement social spontané qui paralyse le département...
Pourquoi ce préambule creux ?
Elle finit par lâcher ce qui motive son intervention. Confirmant son souci d’unité nationale qu’elle s’évertue à promouvoir dans chacune de ses déclarations, chacune de ses rares propositions et chacun des votes socialistes au Parlement, la Ch’tite première socialiste assure que cette crainte serait alimentée "notamment [notons la réserve discrète !…] parce que le président de la République reste sourd aux attentes des Français".
De la crainte à l’espoir
La socialiste est sincère.
"C'est ce décalage qui me fait craindre une propagation des événements qui agitent les Antilles". Elle affirme d’ailleurs: "il faut tout faire pour que cela n'arrive pas".
Et quand commence-t-elle pour sa part à « tout faire » ?
Les reflexions d'Aubry sont aussi profondes et intelligentes que celles de Royal...c'est tout dire.
RépondreSupprimerJe crois plutôt que la chti va tout faire pourque cela arrive !!!
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