Exemple parmi d'autres d'abus de pouvoir
Ou sottise militante...
Commentaire adressé à PaSiDupes:
LA DEPECHE DU MIDI PRISE EN FLAGRANT DELIT DE MANIPULATION MEDIATIQUE ( Par Gold31 )
TOUT EMPIRE EST AMENE UN JOUR OU L'AUTRE ... A DISPARAITRE .
PRISE EN FLAGRANT DELIT DE DESINFORMATION , LA DEPECHE DU MIDI, INSENSIBLE AUX CHANGEMENTS PLEBISCITES PAR LES FRANCAIS , CONTINUE SON TRAVAIL DE SAPE A L'ENCONTRE DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
Voici ce que titrait dans son éditorial de ce matin , signé de son rédacteur Jean-Pierre Bédé , la Dépêche du Midi à propos de l'intervention réussie du Président Nicolas Sarkozy devant les ministres Européens des finances hier soir à Bruxelles , lequel est parvenu rappelons le tout de même , à obtenir un délai supplémentaire (jusqu'en 2012) pour permettre le ré-équilibre de notre balance .
ZONE DE TURBULENCES (Titre la Dépêche sans complexes !)
Et monsieur Jean-Pierre Bédé d'ajouter :
Nicolas Sarkozy et le gouvernement sont entrés dans une zone de turbulences ...Hier , la tâche était difficile pour le président français...Après le rejet de la constitution , les Français s'affranchissent des engagements pris en matière budgétaire au risque d'apparaître à nouveau comme des moutons noirs de l'Europe .
(On croit rêver, lorsqu'on sait que ce sont les Fabusiens les premiers qui ont appelé à voter non ! )
Plus loin encore, on peut lire du même Jean-Pierre Bédé... de la " Dépêche-empire " du midi :
Au parlement c'est une autre zone de turbulence que doit affronter le président . Dans le 1er projet de loi auquel les députés sont confrontés, ne voilà-t-il pas que les alliés tout frais du nouveau centre renâclent ? Quelle impudence ! C'était bien la peine de leur offrir quelques maroquins !
Et vous monsieur Bédé, pardon de le dire, quel amateurisme, quelle bêtise…(pour rester poli!)
Que n'avez vous pas connu monsieur Bédé , l'ex-censeur et éditorialiste de la Dépêche du Midi , monsieur Amar , qui fut aussi mon professeur de philo , en classe de terminale , et dont les analyses ne manquaient ni de pertinence , ni de panache !Mais c'était un temps il est vrai où les journalistes ne volaient ni leurs lecteurs, ni leurs consciences !
Pourvu que ça dure...
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