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vendredi 11 avril 2008

La patronne si peu sociale était candidate de la gauche à la présidentielle !

Royal, mauvais payeur, condamnée à verser leurs salaires à deux ex-collaboratrices
Dans sa ‘république juste’, on peut prétendre au poste de premier secrétaire du PS et être une patronne bien peu sociale !
La Cour d'appel de Rennes a donné raison jeudi à deux ex-attachées parlementaires de Sa Cynique Majesté Royal, qui réclamaient depuis près de dix ans (1997) le versement de plusieurs mois de salaires non payés qui leur étaient dus, a arbitré le tribunal.
« Je suis entièrement satisfaite de la décision de justice qui a reconnu qu'il y avait licenciement abusif. Je voulais juste récupérer mes bulletins de salaires et la somme correspondante", a indiqué l'une des ex-assistantes, Evelyne Pathouot. Il s’agissait pour elle d’être payée équitablement pour un travail effectué. Quiconque en douterait aurait une curieuse conception des droits sociaux.

Sur le sujet de cette patronne indélicate, Évelyne Pathouot a publié un best-seller, Ségolène Royal, ombre et lumière, Edition Michalon, 2007 (ISBN 2841863948)- Voir PaSiDupes, colonne de droite.
Les faits remontent à 1997 lorsque, après la dissolution de l'Assemblée nationale, Marie-sEGOlène Royal avait licencié ses collaboratrices et attachées parlementaires.
Les deux employées avaient ensuite dû la poursuivre devant le Conseil des Prud'hommes de Niort pour obtenir les impayés, prouvant qu'elles avaient néanmoins continué à travailler pour elle pendant la campagne, puis jusqu'en juillet, après son entrée dans le gouvernement Jospin. Ainsi, les socialistes peuvent-ils d’une part prétendre que les ministres sont suffisamment rémunérés et d’autre part refuser de payer leurs employés !
Le Conseil des Prud'hommes situé dans la circonscription où Désirdavenir Royal est présidente de région
avait accédé à leur demande, mais ...uniquement sur une période d'environ ...trois semaines, le temps de la campagne électorale. Le compte n'y était pas et elles avaient alors saisi la Cour d'Appel de Poitiers qui, en février 2005, avait confirmé cette décision.
L'arrêt avait ensuite été cassé en janvier 2007 par la chambre sociale de la Cour de Cassation parce que la Cour d'appel de la Région de Sa Cynique Majesté Royal n'avait encore pas pris en compte de nouvelles pièces versées par les deux plaignantes. L'affaire avait alors été renvoyée devant la Cour d'appel de Rennes.Un vrai parcours du combattant pour les employés de Sa Cynique Majesté Royal qui , pendant près de dix années refusa de payer!...
Le silence de Sa Cynique susnommée sur sa condamnation fait plus de bruit que ses déclarations les plus creuses…

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