Des extrémistes de gauche font dégénérer les manifestations
Des incidents ont éclaté jeudi soir à l'issue de la manifestation des étudiants à Paris, d'abord à la Sorbonne puis à la gare du Nord.
Dans un souci de minimisation, une certaine presse souligne qu’il n'y a eu ni blessé, ni interpellation et conclut à l’absence de gravité de ces débordements.
Des incidents ont éclaté jeudi soir à l'issue de la manifestation des étudiants à Paris, d'abord à la Sorbonne puis à la gare du Nord.
Dans un souci de minimisation, une certaine presse souligne qu’il n'y a eu ni blessé, ni interpellation et conclut à l’absence de gravité de ces débordements.
Des incidents ont-ils eu lieu, ou non? Dès l'instant où la police doit intervenir pour rendre la rue à sa population naturelle, il n'est pas permis de banaliser. A quel seuil, les violences commencent-elles? Lorsque des journalistes sont pris à parti?
Tout rassemblement de foule est potentiellement dangereux. Des regroupements de lycéens ne peuvent être pris à la légère. D'autant que ces derniers sont provoqués par des organisations syndicales qui y sont d’autant moins préparées qu’elles sont jeunes et que leurs dirigeants ne sont que de passage. Cette absence d’encadrement est palliée par les services spécialisés des syndicats frères. Dans cette situation de jeudi, le principal ‘grand frère’ syndical était le SNES-FSU, qui ne croit pas à la portée de cette agitation et ne mobilisera pas ses nervis, aussi longtemps que les lycéens préféreront les cours à la rue, leur avenir à la révolution, si belle soit-elle. Le mouvement de Mai 68 avait bénéficié de l’impréparation de la police que les quartiers ont depuis fait progresser dans la lutte contre la chienlit et la guérilla urbaine.
En fin de manifestation, donc, "certains étudiants ont tenté d'entrer de force à la Sorbonne: une centaine y est parvenue mais, face à la présence policière, ils ont quitté les lieux volontairement", a précisé le permanent du service de presse de la préfecture. Mais s’agissait-il d’étudiants ou de perturbateurs venus d’ailleurs ?
Puis, vers 19h30, un groupe de 300 manifestants –étaient-ils étudiants– s'est rendu à la gare du Nord, comme par hasard, où ils ont bloqué la circulation des trains, selon ce porte-parole. La Gare du Nord est en effet peuplée d’éléments parasites susceptibles de se mobiliser dans l’instant et que les activistes extrémistes peuvent lancer dans l’heure contre les forces de police présentes en nombre sur place en permanence. Les alentours sont également disponibles et rameutés sur simple appel de téléphone mobile, aussitôt relayé par le réseau. Les agitateurs professionnels anti-libéraux ont déjà à plusieurs reprises mis en branle cette force d’oisifs en rébellion contre la société et toujours prêts à en découdre avec ses défenseurs.
Vers 20h20, "le trafic a repris après une intervention de la police qui a évacué les voies sans incidents", a ajouté le permanent.
Après cette intervention de la police, la plupart des étudiants semblaient en voie de dispersion, même si certains manifestants restaient aux abords de la gare du Nord, selon la même source.
Dans la journée de jeudi, les premières manifestations organisées contre la loi d'autonomie des universités (LRU) n'ont pas rassemblé les foules des grands jours, drainant plusieurs centaines de personnes, des cortèges essentiellement composés d'étudiants d'extrême gauche squatters de campus. Il ne s'agit donc plus de lycéens. Selon l'UNEF, signataire de la Loi LRU, une dizaine d'universités -sur un total de 84- étaient toujours victimes de blocages sporadiques jeudi, alors que des assemblées générales prévues dans une quarantaine de facultés d'ici à la fin de la semaine. Une coordination nationale doit se réunir à l'université de Rennes-II, dimanche.Selon le journal Le Monde qui semble encourager les bloqueurs, entre trente et quarante universités étaient toujours bloquées jeudi, et plus d'une vingtaine de lycées sont entrés dans le mouvement, notamment en Ile-de-France et dans le Nord. Les journalistes du Monde ne prennent-ils donc plus leurs informations à l’UNEF ? Il n'est donc pas besoin d'impliquer la police pour observer des disparités notables de chiffres...
Dans la journée de jeudi, les premières manifestations organisées contre la loi d'autonomie des universités (LRU) n'ont pas rassemblé les foules des grands jours, drainant plusieurs centaines de personnes, des cortèges essentiellement composés d'étudiants d'extrême gauche squatters de campus. Il ne s'agit donc plus de lycéens. Selon l'UNEF, signataire de la Loi LRU, une dizaine d'universités -sur un total de 84- étaient toujours victimes de blocages sporadiques jeudi, alors que des assemblées générales prévues dans une quarantaine de facultés d'ici à la fin de la semaine. Une coordination nationale doit se réunir à l'université de Rennes-II, dimanche.Selon le journal Le Monde qui semble encourager les bloqueurs, entre trente et quarante universités étaient toujours bloquées jeudi, et plus d'une vingtaine de lycées sont entrés dans le mouvement, notamment en Ile-de-France et dans le Nord. Les journalistes du Monde ne prennent-ils donc plus leurs informations à l’UNEF ? Il n'est donc pas besoin d'impliquer la police pour observer des disparités notables de chiffres...
A noter que la réforme des lycées et les suppressions de postes ne concernent pas les universités et les campus. Toute perturbation des campus ne peut être que politique.
Il y a beaucoup de choses à dire sur toutes ces manipulations (syndicles, médiatiques, ...), et je me contenterai pour l'instant de la remarque suivante...
RépondreSupprimer[i]"Selon l'UNEF, signataire de la Loi LRU, une dizaine d'universités -sur un total de 84- étaient toujours victimes de blocages sporadiques [...] Selon le journal Le Monde [...] entre trente et quarante universités étaient toujours bloquées"[/i]
Les syndicats et les media se gardent bien de rappeler des [b]faits[/b] réels pour transformer leurs mensonges en "vérités" effrayantes pour impressionner terroriser la population, ignorante puisque sciemment non informée et mal informée:
a/ Les soit-disant étudiants et lycéens manifestants représentent un pourcentage infimes des véritables étudiants et lycéens
b/ Ces nombres sont "gonflés", non seulement par les mensonges, mais aussi par des figurants
c/ Ceux qui défilent parce qu'on les a embrigadés sont de toute manière les incapables, totalement illettrés, qui en font que semer la pagaille lorsqu'ils sont en cours, qui ont eu leur Bac grâce au niveau toujours plus abaissé et aux "Camarades professeurs" qui les récompensent d'avoir empêché les nombreux vrais étudiants et lycéens d'apprendre
d/ Les nombres diffusés sont d'autant plus faux que les Universités comportent toujours plusieurs sites-- un, deux, trois, même une dizaine.
Lorsqu'un site est bloqué, les syndicats et les média prétendent bloquer l'accès à l'Université, que toute l'Université est pour le blocage, ..., alors que ce site (toujours le coeur administratif / historique / ...) ne représente qu'un faible pourcentage de l'Université.
Sur tous les autres sites de l'Université, il n'y a pas de problèmes.
Pourquoi?
(i) Les vrais étudiants sont intelligents, ont conscience des manipulations et des mensonges grossiers, et veulent étudier.
(ii) Les incapables, qui ont abandonné les cours par centaines dès le premier mois (il est commun de constater en fin de première année que les deux tiers des inscrits en début d'année ont depuis longtemps disparu, en majorité au premier semestre), et les figurants (intermittents du spectacles embauchés pour l'occasion, sans-abris manipulés, et les nombreux extrêmistes qui dirigent le tout) ne connaissent évidemment pas cette réalité.
Donc, lorsque les media répètent les annonces des syndicats, il faut non seulement diviser par dix ou vingt le nobmre de manifestants, savoir qu'un faible nombre d'entre eux ont réellement une carte d'étudiants mais qu'ils sont de toute manière incapables de suivre un seul cours, mais aussi que "l'Université est bloquée" est un mensonge: un site est bloqué, ce qui est extrêmement gênant pour la tenue des cours, ce qui est inquiétant pour le matériel et les collections rares, toujours saccagés, et ce qui pose des problèmes administratifs (dossiers jetés, traitements retardé de plusieurs mois), mais dans tous les autres sites, les cours se poursuivent.
Je le redoute depuis l'an dernier, et la Gauche a effectivement déjà lancé la machine à détruire comme je le pensais: les campagnes de haine destinées à manipuler "les jeunes" s'intensifient et les mouvements commencent, pour "fêter" "Mai 1968" dans un bain de sang durant Mai-Juin 2008-- très littéralement.
Encore une année ruinée pour des milliers de véritables Collégiens, Lycéens et Etudiants, qui ne demanden qu'à apprendre, par ce qu'ils savent que c'est la meilleure arme pour réussir.
Partout en France, et dans le monde, on saura par la suite que le Baccalauréat de 2008 ne vaut strictement rien (il n'est déjà pas d'un niveau bien élevé en temps normal...), et que l'obtention de diplômes aura été facilitée pour compenser le temps perdu dans les Universités.
La Gauche traite le Président de "dictateur", "nazi", "fou" et "dangereux", mais c'est bien elle qui applique les méthodes des pires dictatures (toutes de Gauche et d'Extrême Gauche depuis la chute du Nazisme et du Fascisme il y a soixante ans) pour détruire l'éducation et la culture, les remplacer par le culte de la sous-culture (les "talents" de Gauche-- acteurs et chanteurs connus pour célébréer la drogue, battre les femmes, défendre ceux qui tirent sur les policiers et brûler les jeunes femmes), afin de régner sur un peuple abruti, incapable de réfléchir et de réaliser l'énormité des mensonges de la Gauche.
:(