Les athlètes et les visiteurs Français aux JO devront-ils porter des badges "liberté"?
Reporters Sans Frontières et Robert Ménard appellent les athlètes, les journalistes et le public qui assisteront aux Jeux olympiques, à Pékin, à porter des badges sur lesquels est écrit le mot "Liberté" en idéogrammes chinois.
L'organisation a créé pour l'occasion une série de cinq badges aux couleurs des anneaux olympiques. Les badges "liberté" :Reporters Sans Frontières et Robert Ménard appellent les athlètes, les journalistes et le public qui assisteront aux Jeux olympiques, à Pékin, à porter des badges sur lesquels est écrit le mot "Liberté" en idéogrammes chinois.
Elle a évité aussi les messages politiques afin de ne donner aucune prise à une interdiction par le CIO et les autorités chinoises...
Voici le communiqué de RSF :
Reporters sans frontières appelle les athlètes, les journalistes et le public qui assisteront aux Jeux olympiques, à Pékin, à porter des badges sur lesquels est écrit le mot "Liberté" en idéogrammes chinois.L'organisation a créé pour l'occasion une série de cinq badges aux couleurs des anneaux olympiques.
"Nous appelons dès aujourd'hui les sportifs, les journalistes, les membres des délégations officielles et le public qui vont se rendre à Pékin pour les Jeux olympiques à porter ce badge", a déclaré Reporters Sans Frontières.
"Les athlètes qui participeront aux Jeux pourront ainsi exprimer leur inquiétude quant à la situation des droits de l'homme en Chine. A moins de cinq mois de la cérémonie d'ouverture, la mobilisation doit être la plus massive possible", a ajouté l'organisation.
A aucun moment le Tibet n’est mentionné…
Robert Ménard président à vie de reporters sans frontières est partout avec sa tête à claques et sa voix
RépondreSupprimergeignarde tout content d'être à la télé,il nous donne des leçons.... un de plus
Qui est ce Mr Ménard, exactement?
RépondreSupprimerJe n'ai jamais entendu ni vu de reportage de lui; jamais je n'ai entendu rappaler (par ses confrères ou lui-même) qu'il avait été grand reporter, qu'il avait risqué sa vie dans des pays en guerre, comme Marine Jacquemin, Memona Hintermann, et bien d'autres.
C'est très facile de parler de Droits de l'Homme (pour les journalistes surtout; sinon, il n'en a rien à faire), de dénoncer des Dictatures, quand on le fait du confort d'un studio de télévision ou de radio parisien ou dans une ville où l'on ne risque rien (Athène récemment, par exemple), en se fondant sur les reportages de ceux qui risquent réellement leur vie chaque jour.
Je n'ai jamais entendu dire qu'il avait été emprisonné ni rappeler qu'il avait retenu en otage pendant plusieurs mois.
Pourquoi?