Le PS et le FN, mêmes méthodes indignes
L'UMP a demandé lundi 15 à la présidente sortante de Poitou-Charentes, l'amère Royal (PS), de désavouer l'"un de ses affidés", le maire d'Angoulême Philippe Lavaud, qui a comparé les jeunes UMP aux "jeunesses hitlériennes".
Deux nouvelles insultes
=> "Le PS manie l'insulte avec une facilité déconcertante", a regretté Dominique Paillé, porte parole adjoint, rappelant que l'UMP avait essuyé en fin de semaine dernière "une bordée d'insultes totalement inadmissibles".
Il faisait allusion à ce dérapage verbal du maire d'Angoulême, un "affidé de Ségolène Royal", selon lui, et ex-professeur d'histoire (FSU ?), dont on ne veut pas imaginer le contenu des cours.
=> Dénonçant "un axe Aubry-Le Pen", F. Lefebvre, porte-parole de l'UMP, a estimé que ce n'était "pas un hasard" si les deux dirigeants de l'opposition avaient "pris pour cible le même jour" (samedi) le Premier ministre par "des attaques et des insultes ad hominem".
L'UMP a demandé lundi 15 à la présidente sortante de Poitou-Charentes, l'amère Royal (PS), de désavouer l'"un de ses affidés", le maire d'Angoulême Philippe Lavaud, qui a comparé les jeunes UMP aux "jeunesses hitlériennes".
Deux nouvelles insultes
=> "Le PS manie l'insulte avec une facilité déconcertante", a regretté Dominique Paillé, porte parole adjoint, rappelant que l'UMP avait essuyé en fin de semaine dernière "une bordée d'insultes totalement inadmissibles".
Il faisait allusion à ce dérapage verbal du maire d'Angoulême, un "affidé de Ségolène Royal", selon lui, et ex-professeur d'histoire (FSU ?), dont on ne veut pas imaginer le contenu des cours.
=> Dénonçant "un axe Aubry-Le Pen", F. Lefebvre, porte-parole de l'UMP, a estimé que ce n'était "pas un hasard" si les deux dirigeants de l'opposition avaient "pris pour cible le même jour" (samedi) le Premier ministre par "des attaques et des insultes ad hominem".
Le premier secrétaire du PS, Martine Aubry, avait comparé F. Fillon à "l'exécuteur des basses oeuvres".
Le patron du FN l'avait surnommé "Fidel Castré".
"On ne peut pas passer son temps à insulter l'adversaire pour masquer le vide ou les idées gênantes" dans cette campagne régionale, a déclaré le porte-parole Frédéric Lefebvre, lors du point-presse hebdomadaire de l'UMP. "Ils veulent masquer le vide ou les idées gênantes", a ajouté F. Lefebvre.
A l'appui de sa critique, il cite
- "la réforme des retraites où la patronne du PS a reculé devant la gauche du PS" en rétropédalant de 62 annuités à 60...
- et la "régularisation massive des clandestins où elle a reculé devant les modernes du PS, comme Manuel Valls".
"Les convictions de Mme Aubry réapparaîtront après les élections régionales", selon F. Lefebvre. Elle prépare simplement l'alternance, lorsque, de retour aux responsabilités, la gauche devra changer son fusil d'épaule, abandonner la facilité et poursuivre les réformes.
Sa Cynique Majesté Royal doit demander pardon pour Lavaud
De la chef de file régionale du PS en Poitou-Charentes, D. Paillé a "exigé qu'elle désavoue haut et fort Ph. Lavaud". "Nous attendons des excuses et en tout cas une clarification" de sa part, a ajouté D. Paillé.
Enfin, il a déploré que "les excuses logiques que l'on pouvait attendre" du maire d'Angoulême "ne soient pas venues", alors même que le président des Jeunes Populaires, Benjamin Lancar, a fait personnellement le déplacement dans sa ville pour les entendre de vive voix.
Les fonctions de Premier ministre
Rappel à la Constitution du 4 Octobre 1958 (extraits) que le PS et le FN ont tendance à ignorer:
Art. 8. - Le Président de la République nomme le Premier Ministre. Il met fin à ses fonctions sur la présentation par celui-ci de la démission du Gouvernement.
Art. 9. - Le Président de la République préside le Conseil des Ministres.
Art. 21. - Le Premier Ministre dirige l'action du Gouvernement. Il est responsable de la Défense Nationale. Il assure l'exécution des lois. Sous réserve des dispositions de l'article 13, il exerce le pouvoir réglementaire et nomme aux emplois civils et militaires.
Il peut déléguer certains de ses pouvoirs aux ministres.
Il supplée, le cas échéant, le Président de la République dans la présidence des conseils et comités prévus à l'article 15.
Il peut, à titre exceptionnel, le suppléer pour la présidence d'un Conseil des Ministres en vertu d'une délégation expresse et pour un ordre du jour déterminé.
Art. 22. - Les actes du Premier Ministre sont contresignés, le cas échéant, par les ministres chargés de leur exécution.
Le PS n'est pas dispensé du respect des hommes, des idées et de la Constitution.
"On ne peut pas passer son temps à insulter l'adversaire pour masquer le vide ou les idées gênantes" dans cette campagne régionale, a déclaré le porte-parole Frédéric Lefebvre, lors du point-presse hebdomadaire de l'UMP. "Ils veulent masquer le vide ou les idées gênantes", a ajouté F. Lefebvre.
A l'appui de sa critique, il cite
- "la réforme des retraites où la patronne du PS a reculé devant la gauche du PS" en rétropédalant de 62 annuités à 60...
- et la "régularisation massive des clandestins où elle a reculé devant les modernes du PS, comme Manuel Valls".
"Les convictions de Mme Aubry réapparaîtront après les élections régionales", selon F. Lefebvre. Elle prépare simplement l'alternance, lorsque, de retour aux responsabilités, la gauche devra changer son fusil d'épaule, abandonner la facilité et poursuivre les réformes.
Sa Cynique Majesté Royal doit demander pardon pour Lavaud
De la chef de file régionale du PS en Poitou-Charentes, D. Paillé a "exigé qu'elle désavoue haut et fort Ph. Lavaud". "Nous attendons des excuses et en tout cas une clarification" de sa part, a ajouté D. Paillé.
Enfin, il a déploré que "les excuses logiques que l'on pouvait attendre" du maire d'Angoulême "ne soient pas venues", alors même que le président des Jeunes Populaires, Benjamin Lancar, a fait personnellement le déplacement dans sa ville pour les entendre de vive voix.
Les fonctions de Premier ministre
Rappel à la Constitution du 4 Octobre 1958 (extraits) que le PS et le FN ont tendance à ignorer:
Art. 8. - Le Président de la République nomme le Premier Ministre. Il met fin à ses fonctions sur la présentation par celui-ci de la démission du Gouvernement.
Art. 9. - Le Président de la République préside le Conseil des Ministres.
Art. 21. - Le Premier Ministre dirige l'action du Gouvernement. Il est responsable de la Défense Nationale. Il assure l'exécution des lois. Sous réserve des dispositions de l'article 13, il exerce le pouvoir réglementaire et nomme aux emplois civils et militaires.
Il peut déléguer certains de ses pouvoirs aux ministres.
Il supplée, le cas échéant, le Président de la République dans la présidence des conseils et comités prévus à l'article 15.
Il peut, à titre exceptionnel, le suppléer pour la présidence d'un Conseil des Ministres en vertu d'une délégation expresse et pour un ordre du jour déterminé.
Art. 22. - Les actes du Premier Ministre sont contresignés, le cas échéant, par les ministres chargés de leur exécution.
Le PS n'est pas dispensé du respect des hommes, des idées et de la Constitution.
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