PaSiDupes est d’avis qu’une intelligence de champion ne peut être qu’au dessus de la moyenne, mais Yannick Noah nous amène à reconsidérer ce qui pourrait bien n’avoir été tout compte fait qu’un a priori. La dernière accusation portée par Noah nous pousse à rejoindre la cohorte de ceux qui les considèrent comme des bourrins, incultes mais prétentieux, par la grâce de l’argent roi et des media. Voilà donc un champion vieillissant (né en 1960) qui va grossir les rangs des joueurs de tennis et qui ne dépasse décidemment pas le lot par son intelligence. Mais pense-t-il tout seul ?
"Les banlieues, la Guadeloupe, c'est le sous-peuple pour le gouvernement"
Aujourd'hui Sport a fait de Yannick Noah le rédacteur en chef exceptionnel de son édition du jour. L’ex-champion a beau vivre sans aucune pudeur en bobo socialiste de luxe (lieu de vacances de Noël de sa tribu, ci-dessus), il reste éternellement «personnalité préférée des Français». (Lien PaSiDupes) Il a toutefois régressé au troisième rang …
Il a menacé de se délocaliser en Suisse si Sarkozy était élu
"Les banlieues, la Guadeloupe, c'est le sous-peuple pour le gouvernement"
Aujourd'hui Sport a fait de Yannick Noah le rédacteur en chef exceptionnel de son édition du jour. L’ex-champion a beau vivre sans aucune pudeur en bobo socialiste de luxe (lieu de vacances de Noël de sa tribu, ci-dessus), il reste éternellement «personnalité préférée des Français». (Lien PaSiDupes) Il a toutefois régressé au troisième rang …
Il a menacé de se délocaliser en Suisse si Sarkozy était élu
En décembre 2005, évoquant la crise des banlieues dans un entretien non publié à l'hebdomadaire Paris Match, il aurait déclaré : « une chose est sûre : si jamais Sarkozy passe, je me casse ! », mais pris au mot, il déclare dans le Parisien du 13 octobre 2006, avoir « dit ça sur le coup » et, la tête près de la casquette, il ajoute « en fait, je crois qu'il vaut mieux rester ». Noah ne parle donc pas pour rien dire, puisqu’il est toujours hexagonal. Mais il ne manque pas une occasion d’exprimer des humeurs et de refléter le milieu de la gauche caviar. « Je ne pars pas. Il faut résister. J'opte pour la résistance », lança-t-il... Si Yannick Noah se produit à la Fête de l'Humanité, mais rêve de ne pas rester solidaire des métropolitains lorsqu’il s’agit de payer l’impôt, il l’est des Guadeloupéens.
Ce soutien de Désirdavenir Royal a choisi sa face sombre contre son côté pâle et profite qu’il est rédacteur-en-chef d’un jour pour revenir sur l'actualité qui secoue la Guadeloupe.
Métis d’une Française et d’un footballeur Camerounais, il s’en prend à nouveau à la politique de Nicolas Sarkozy et de son gouvernement.
«La politique de la France me désole à bien des égards. La réaction du gouvernement par rapport à la situation en Guadeloupe, par exemple, ne me surprend pas. Je pense qu'il ignore complètement le problème, il le juge secondaire. »Il ne craint pas l’amalgame : « Les banlieues, la Guadeloupe, c'est le sous-peuple ; on ne s'occupe pas du sous-peuple, quoi !»
Stupide sous influence
Ses références dépassent cette fois le tolérable. La notion de "sous peuple" renvoie en effet aux "unter menschen", les 'sous hommes' inventés par ...les nazis.
Stupide sous influence
Ses références dépassent cette fois le tolérable. La notion de "sous peuple" renvoie en effet aux "unter menschen", les 'sous hommes' inventés par ...les nazis.
Il imite ainsi l’outrance d’une sombre brute socialiste, l’illustre boulet du PS, Georges Frêche (1938), actuel président du Conseil Régional de Languedoc-Roussillon et ex-député de l'Hérault et maire de Montpellier (1977-2004).
Les lunettes ne rendent pas plus intelligent
A la dif-
férence de Noah, pour Jack Lang, Georges Frêche "n'est pas digne d'être aujourd'
hui membre du Parti socialiste".
Pourtant, D’Jack Lang est corse quand il faut et a la mémoire sélective comme un témoin corse au procès Colonna. Bien qu’au côté de l’affreux Jojo Frêche lors des insultes aux harkis, n’avait-il pas assuré n'avoir « pas entendu » ces propos.
Mais en 2007, Yannick Noah intégra néanmoins le comité de soutien de la candidate socialiste à l'élection présidentielle et participa à son meeting du 1er mai au stade Charléty…
En novembre 2007, le journal Midi Libre a rapporté les propos du président du Conseil Régional du Languedoc-Roussillon Georges Frêche sur l'équipe de France de football :"Dans cette équipe, il y a neuf Blacks sur onze. La normalité serait qu'il y en ait trois ou quatre. Ce serait le reflet de la société. Mais là, s'il y en a autant, c'est parce que les Blancs sont nuls (...). J'ai honte pour ce pays. Bientôt, il y aura onze Blacks. Quand je vois certaines équipes de foot, ça me fait de la peine."
A la différence de Noah encore, Florent Malouda, le footballeur Guyanais, réagit le 17/11/2006 aux propos « dangereux » de Georges Frêche
«J'ai entendu qu'il ne regrettait pas ses propos, qu'il les assume, c'est donc qu'il a réfléchi à ce qu'il disait et à la portée de ce qu'il a dit: donc c'est dangereux», a expliqué le milieu offensif international de Lyon. «C'est un manque de respect évident et je ne pense pas que ce qu'il dit reflète la façon de penser de la majorité des français et même des gens qui l'ont élu», poursuit Malouda. «C'est sûr que je ne peux pas accepter ça, je fais partie de l'Equipe de France parce que je viens de la Guyane donc c'est Français.» «On se sent tous Français sinon on ne choisirait pas de porter ce maillot, et je me reconnais dans l'Equipe de France après tant pis pour lui s'il ne se reconnaît pas», concluait alors le joueur.
«J'ai entendu qu'il ne regrettait pas ses propos, qu'il les assume, c'est donc qu'il a réfléchi à ce qu'il disait et à la portée de ce qu'il a dit: donc c'est dangereux», a expliqué le milieu offensif international de Lyon. «C'est un manque de respect évident et je ne pense pas que ce qu'il dit reflète la façon de penser de la majorité des français et même des gens qui l'ont élu», poursuit Malouda. «C'est sûr que je ne peux pas accepter ça, je fais partie de l'Equipe de France parce que je viens de la Guyane donc c'est Français.» «On se sent tous Français sinon on ne choisirait pas de porter ce maillot, et je me reconnais dans l'Equipe de France après tant pis pour lui s'il ne se reconnaît pas», concluait alors le joueur.
Lorsque l’ancien capitaine de l'équipe de France de Coupe Davis aborde avec fierté le parcours de son fils Joakim, de son époque minime à la NBA, il considère que son histoire pourrait se prolonger en équipe de France. Ce qui se comprend d’autant mieux depuis qu’au Liban en décembre 2006 Désirdavenir Royal a exprimé sa sympathie aux Américains. «Ce serait vraiment fantastique pour Joakim qu'il puisse jouer en équipe de France (...) C'est un rêve de porter les couleurs de son pays. Que peut-on vouloir de plus?»
Le respect de ses amis socialistes !
Le respect de ses amis socialistes !
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