La gauche donne à la campagne une tournure « nauséabonde »
Gremetz ici lors du bras d'honneur de Mamère à la majorité
Le colérique Maxime Gremetz reste à 70 ans une personnalité hystérique controversée pour ses insultes verbales et ses violences physiques récidivantes.
=> En 1998, il fut condamné pour avoir lancé sa voiture dans la foule lors d'une cérémonie officielle, heurtant un gendarme, avant d'interpeller vivement Charles Baur, président du Conseil régional de Picardie, ainsi que le maire d'Amiens, Gilles de Robien, sur la gratuité d'une autoroute (A16, partie ouest entre Amiens Nord et Dury). C'est le président de la droite réactionnaire, Jacques Chirac, qui gracia le communiste en 2002 .
=> En séance du Conseil régional de Picardie du 28 avril 2008, il agressa le socialiste Gilles Seguin qu'il bouscula et fit chuter. Le SAMU a du intervenir pour porter secours à l'élu socialiste et une plainte a été déposée contre Maxime Gremetz. Lire PaSiDupes
VOIR et ENTENDRE
Le coup de folie de Maxime GREMETZ (EXCLUSIF)
envoyé par picardiepolitique
=> Reprochant au groupe communiste de l'Assemblée nationale de le priver de parole, il saccagea aussi le bureau de Daniel Paul.
=> En novembre 2009, Gremetz essaya par la force d'intervenir en direct sur le plateau du journal de France 3 Picardie. Défenseur des chasseurs de la Somme, il est taxé de « populisme » par les uns, apprécié par d'autres pour son franc parler même s'il s'emporte facilement. Un sondage de popularité de septembre 2006 le met en tête des bonnes opinions dans sa circonscription, confirmé par ses bons scores électoraux.
=> Février 2010, Maxime Gremetz tenta encore de participer de force à un débat sur France 3
Le député communiste dissident de la Somme, tête brûlée de liste aux élections régionales en Picardie, a tenté à nouveau vendredi 19 février de pénétrer de force dans les locaux de France 3 à Amiens, pour participer à un débat auquel il n'était pas invité, a-t-on appris samedi auprès de la chaîne.
Nostalgique de l'époque soviétique, le démocrate Maxime Gremetz, "venu avec une dizaine de sympathisants, voulait absolument être invité à une des émissions qu'on fait avant le premier tour (des élections régionales)", a indiqué Jean-François Karpinski, délégué régional de France Télévisions en Picardie.
Le député a tenté, avec ses gros bras, d'entrer par la force dans les locaux, mais a trouvé porte close, selon France 3, qui précise qu'"il n'y a pas eu de heurts, d'échanges de coups, pas de plainte déposée" et évoque "un incident de campagne".
"On a voulu faire respecter le pluralisme", s'est défendu -de bonne foi- Maxime Gremetz, qui a rappelé qu'en 2004, sa liste était au deuxième tour des régionales et a déploré que les Verts et le Modem, qui n'avaient pas de liste (en 2004), avaient été invités, contrairement à lui, à ce débat.
Le totalitaire Gremetz se croit indispensable
"Je lui ai dit qu'il n'était pas invité dans cette émission-là. Il a été invité la semaine dernière, il est invité samedi prochain dans une autre", a ajouté M. Karpinski, selon qui le député "voulait absolument débattre face au président de la région Claude Gewerc (PS) qui, lui, ne veut pas débattre avec Gremetz".
=> Bien qu'il ne s'agisse que d' "un incident de campagne", l'enregistrement de l'émission a néanmoins dû être reporté à une date ultérieure.
Entre Vincent Peillon-la-honte qui refusa de participer à un débat sur France 2 et Maxime Grémetz qui s'impose sur France 3, à la façon de Désirdavenir Royal qui elle aussi était indésirable à Dijon, sans oublier les boycottages des travaux on ne sait plus à quoi s'attendre de la part de la gauche, alors que le « nauséabond » Benoît Hamon passe de plateau de télévision en studio de radio, répétant à qui veut l'entendre (et ré-entendre), que "le climat qu'est en train d'installer la droite est un climat insupportable".
Le colérique Maxime Gremetz reste à 70 ans une personnalité hystérique controversée pour ses insultes verbales et ses violences physiques récidivantes.
=> En 1998, il fut condamné pour avoir lancé sa voiture dans la foule lors d'une cérémonie officielle, heurtant un gendarme, avant d'interpeller vivement Charles Baur, président du Conseil régional de Picardie, ainsi que le maire d'Amiens, Gilles de Robien, sur la gratuité d'une autoroute (A16, partie ouest entre Amiens Nord et Dury). C'est le président de la droite réactionnaire, Jacques Chirac, qui gracia le communiste en 2002 .
=> En séance du Conseil régional de Picardie du 28 avril 2008, il agressa le socialiste Gilles Seguin qu'il bouscula et fit chuter. Le SAMU a du intervenir pour porter secours à l'élu socialiste et une plainte a été déposée contre Maxime Gremetz. Lire PaSiDupes
VOIR et ENTENDRE
Le coup de folie de Maxime GREMETZ (EXCLUSIF)
envoyé par picardiepolitique
=> Reprochant au groupe communiste de l'Assemblée nationale de le priver de parole, il saccagea aussi le bureau de Daniel Paul.
=> En novembre 2009, Gremetz essaya par la force d'intervenir en direct sur le plateau du journal de France 3 Picardie. Défenseur des chasseurs de la Somme, il est taxé de « populisme » par les uns, apprécié par d'autres pour son franc parler même s'il s'emporte facilement. Un sondage de popularité de septembre 2006 le met en tête des bonnes opinions dans sa circonscription, confirmé par ses bons scores électoraux.
=> Février 2010, Maxime Gremetz tenta encore de participer de force à un débat sur France 3
Le député communiste dissident de la Somme, tête brûlée de liste aux élections régionales en Picardie, a tenté à nouveau vendredi 19 février de pénétrer de force dans les locaux de France 3 à Amiens, pour participer à un débat auquel il n'était pas invité, a-t-on appris samedi auprès de la chaîne.
Nostalgique de l'époque soviétique, le démocrate Maxime Gremetz, "venu avec une dizaine de sympathisants, voulait absolument être invité à une des émissions qu'on fait avant le premier tour (des élections régionales)", a indiqué Jean-François Karpinski, délégué régional de France Télévisions en Picardie.
Le député a tenté, avec ses gros bras, d'entrer par la force dans les locaux, mais a trouvé porte close, selon France 3, qui précise qu'"il n'y a pas eu de heurts, d'échanges de coups, pas de plainte déposée" et évoque "un incident de campagne".
"On a voulu faire respecter le pluralisme", s'est défendu -de bonne foi- Maxime Gremetz, qui a rappelé qu'en 2004, sa liste était au deuxième tour des régionales et a déploré que les Verts et le Modem, qui n'avaient pas de liste (en 2004), avaient été invités, contrairement à lui, à ce débat.
Le totalitaire Gremetz se croit indispensable
"Je lui ai dit qu'il n'était pas invité dans cette émission-là. Il a été invité la semaine dernière, il est invité samedi prochain dans une autre", a ajouté M. Karpinski, selon qui le député "voulait absolument débattre face au président de la région Claude Gewerc (PS) qui, lui, ne veut pas débattre avec Gremetz".
=> Bien qu'il ne s'agisse que d' "un incident de campagne", l'enregistrement de l'émission a néanmoins dû être reporté à une date ultérieure.
Entre Vincent Peillon-la-honte qui refusa de participer à un débat sur France 2 et Maxime Grémetz qui s'impose sur France 3, à la façon de Désirdavenir Royal qui elle aussi était indésirable à Dijon, sans oublier les boycottages des travaux on ne sait plus à quoi s'attendre de la part de la gauche, alors que le « nauséabond » Benoît Hamon passe de plateau de télévision en studio de radio, répétant à qui veut l'entendre (et ré-entendre), que "le climat qu'est en train d'installer la droite est un climat insupportable".
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