Tristane Banon, invitée du Grand Journal de Canal+
La parole est enfin à la victime présumée
Au lendemain de l'intervention de DSK sur TF1, Canal+ passera la parole à Tristane Banon, celle qui a porté plainte pour tentative de viol contre l'ancien directeur du FMI. Bien qu'il soit sous le coup de poursuites judiciaires pour violences sexuelles sur une femme de ménage noire immigrée, la presse française avait réservé un accueil triomphal au pervers, parce que ex-patron du FMI et ex-candidat favori de la primaire socialiste. Les media partisans ont fait fort en privilégiant un privilégié et en méprisant la victime française, encore plus sûrement qu'une Rom en situation irrégulière. Telle est notre presse qui de déontologie a plein la bouche et de vertu garni ses commentaires.
Tristane Banon, qui a porté plainte contre l'ancien directeur du FMI pour tentative de viol, subit les mêmes attaques en décrédibilisation que contre Nafissatou Diallo et se débat, avec ses faibles moyens, face au pouvoir de l'argent de ceux qui n'aiment pas les riches et face au pouvoir de la presse sociale et humaniste qui se range du côté des puissants.
L'avocat new-yorkais de Nafissatou Diallo a qualifié lundi de "blague" l'entretien de Dominique Strauss-Kahn, dimanche soir sur TF1, et s'est dit déterminé à faire aboutir la procédure civile en allant au besoin jusqu'à Paris pour y recueillir la déposition de DSK. "Ce n'était pas une interview, c'était un coup publicitaire. Tout était préparé, c'était une blague", a déclaré Me Thompson
Au lendemain de la séance de Grand Guignol du JT de TF1, Canal+ tentera de rééquilibrer la balance médiatique en écoutant ce lundi ce que Tristane Banon a à dire.
L'écrivaine aura son avocat, Me David Koubbi, à son côté lors de l'entretien qu'elle accordera à Michel Denisot ce soir sur Canal+.
Tristane Banon a porté plainte contre DSK début juillet
Elle l'accuse d'une tentative de viol dans un appartement parisien en février 2003. Lors de son audition dans le cadre de l'enquête ouverte à Paris, DSK a concédé avoir fait des "avances" à Tristane Banon à l'occasion de leur rencontre de 2003, mais il a nié toute agression.
VOIR et ENTENDRE Tristane Banon raconter la tentative de viol de DSK.
La parole est enfin à la victime présumée
Au lendemain de l'intervention de DSK sur TF1, Canal+ passera la parole à Tristane Banon, celle qui a porté plainte pour tentative de viol contre l'ancien directeur du FMI. Bien qu'il soit sous le coup de poursuites judiciaires pour violences sexuelles sur une femme de ménage noire immigrée, la presse française avait réservé un accueil triomphal au pervers, parce que ex-patron du FMI et ex-candidat favori de la primaire socialiste. Les media partisans ont fait fort en privilégiant un privilégié et en méprisant la victime française, encore plus sûrement qu'une Rom en situation irrégulière. Telle est notre presse qui de déontologie a plein la bouche et de vertu garni ses commentaires.
Tristane Banon, qui a porté plainte contre l'ancien directeur du FMI pour tentative de viol, subit les mêmes attaques en décrédibilisation que contre Nafissatou Diallo et se débat, avec ses faibles moyens, face au pouvoir de l'argent de ceux qui n'aiment pas les riches et face au pouvoir de la presse sociale et humaniste qui se range du côté des puissants.
L'avocat new-yorkais de Nafissatou Diallo a qualifié lundi de "blague" l'entretien de Dominique Strauss-Kahn, dimanche soir sur TF1, et s'est dit déterminé à faire aboutir la procédure civile en allant au besoin jusqu'à Paris pour y recueillir la déposition de DSK. "Ce n'était pas une interview, c'était un coup publicitaire. Tout était préparé, c'était une blague", a déclaré Me Thompson
Au lendemain de la séance de Grand Guignol du JT de TF1, Canal+ tentera de rééquilibrer la balance médiatique en écoutant ce lundi ce que Tristane Banon a à dire.
L'écrivaine aura son avocat, Me David Koubbi, à son côté lors de l'entretien qu'elle accordera à Michel Denisot ce soir sur Canal+.
Tristane Banon a porté plainte contre DSK début juillet
Elle l'accuse d'une tentative de viol dans un appartement parisien en février 2003. Lors de son audition dans le cadre de l'enquête ouverte à Paris, DSK a concédé avoir fait des "avances" à Tristane Banon à l'occasion de leur rencontre de 2003, mais il a nié toute agression.
VOIR et ENTENDRE Tristane Banon raconter la tentative de viol de DSK.
Son récit a lieu au cours de « 93, faubourg Saint-Honoré », une émission-dîner de Thierry Ardisson sur Paris Première, en 2007:
Thierry Ardisson ajouta: " On a bipé le nom de Dominique Strauss-Kahn parce que, voilà, on n’est pas là pour faire de la délation. Elle n’avait pas porté plainte, il n’y avait pas de raison d’en faire une histoire. Moi on m’a appelé, on m’a dit ‘qui c’est qui c’est ?’, mais je n’ai jamais dit qui c’était. Enfin je dirais simplement que tout le monde était évidemment au courant de l’attitude qu’avait Dominique Strauss-Kahn avec les femmes. Et ceux qui disent qu’ils n’étaient pas au courant sont des menteurs .
Dimanche soir sur TF1, l'ex-patron du FMI a renouvelé son affirmation qu' "aucune violence" n'avait été portée sur Tristane Banon, assurant que celle-ci avait présenté une "version imaginaire" des faits.
Lire PaSiDupes sur le décryptage que fait Jean-Michel Aphatie de la version strauss-kahnienne de son affaire du Sofitel new-yorkais.
Dimanche soir sur TF1, l'ex-patron du FMI a renouvelé son affirmation qu' "aucune violence" n'avait été portée sur Tristane Banon, assurant que celle-ci avait présenté une "version imaginaire" des faits.
Lire PaSiDupes sur le décryptage que fait Jean-Michel Aphatie de la version strauss-kahnienne de son affaire du Sofitel new-yorkais.
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