La Cour supême des Etats-Unis refuse la grâce du tueur de policier
Exécution d'un condamné à mort aux Etats-Unis d'Obama
La justice américaine a refusé mardi 20 septembre d'accorder la grâce à Troy Davis, un homme de 42 ans condamné à mort par l'Etat de Géorgie pour le meurtre d'un policier. Son exécution, par injection létale, a eu lieu dans la nuit de mercredi à jeudi, à 4h53 du matin (22h53, heure française) dans une prison de Jackson en Géorgie. Cinq minutes plus tard, il était inconscient. Il a été déclaré mort à 23h08.
La communauté noire avait appelé Barack Hussein Obama à sortir de son silence et il n'existe pas d'information accréditant l'idée que le président métis serait intervenu.
En juin 2008, le candidat démocrate s'était prononcé en faveur de la peine de mort pour les violeurs d'enfants. Les media français de gauche s'abstiennent de tout commentaire...
La Cour suprême est restée silencieuse
Les avocats du condamné ont perdu devant toutes juridictions. L'instance basse de la Cour suprême avait entendu les avocats de Davis l'an dernier - une première en 50 ans pour un condamné à mort - mais avait conclu que ses avocats n'avaient pas réussi " de manière claire et convaincante à prouver son innocence ."
En conséquence, les neuf "juges" de la Cour suprême ont rejeté l'appel en grâce à 4h20.
La Cour Suprême est compétente - principalement en appel - sur tous les cas relevant de la Constitution ou des lois des États-Unis et des traités qu'ils ont conclus. Quant aux juges de la Cour suprême, aussi bien que les juges fédéraux, sont démocratiquement élus ...à vie.
Les procureurs, tel Cyrus Vance Jr., sont soumis à ré-élection.
A noter que DSK se tire mieux que Troy Davis de son affaire criminelle: les deux clament leur innocence, mais seule l'affaire de Troy Davis aura suivi son cours.
La légende d'ouverture et d'humanité de la gauche américaine sous présidence démocrate court toujours. Le parti abolitionniste est minoritaire et le président démocrate - resté muet sur le cas Troy Davis - est favorable à la peine de mort.
Exécution d'un condamné à mort aux Etats-Unis d'ObamaLa justice américaine a refusé mardi 20 septembre d'accorder la grâce à Troy Davis, un homme de 42 ans condamné à mort par l'Etat de Géorgie pour le meurtre d'un policier. Son exécution, par injection létale, a eu lieu dans la nuit de mercredi à jeudi, à 4h53 du matin (22h53, heure française) dans une prison de Jackson en Géorgie. Cinq minutes plus tard, il était inconscient. Il a été déclaré mort à 23h08.
La communauté noire avait appelé Barack Hussein Obama à sortir de son silence et il n'existe pas d'information accréditant l'idée que le président métis serait intervenu.
En juin 2008, le candidat démocrate s'était prononcé en faveur de la peine de mort pour les violeurs d'enfants. Les media français de gauche s'abstiennent de tout commentaire...
La Cour suprême est restée silencieuse
Les avocats du condamné ont perdu devant toutes juridictions. L'instance basse de la Cour suprême avait entendu les avocats de Davis l'an dernier - une première en 50 ans pour un condamné à mort - mais avait conclu que ses avocats n'avaient pas réussi " de manière claire et convaincante à prouver son innocence ."
En conséquence, les neuf "juges" de la Cour suprême ont rejeté l'appel en grâce à 4h20.
La Cour Suprême est compétente - principalement en appel - sur tous les cas relevant de la Constitution ou des lois des États-Unis et des traités qu'ils ont conclus. Quant aux juges de la Cour suprême, aussi bien que les juges fédéraux, sont démocratiquement élus ...à vie.
Les procureurs, tel Cyrus Vance Jr., sont soumis à ré-élection.
A noter que DSK se tire mieux que Troy Davis de son affaire criminelle: les deux clament leur innocence, mais seule l'affaire de Troy Davis aura suivi son cours.
La légende d'ouverture et d'humanité de la gauche américaine sous présidence démocrate court toujours. Le parti abolitionniste est minoritaire et le président démocrate - resté muet sur le cas Troy Davis - est favorable à la peine de mort.Cécile Duflot s'est immiscée !
"Saving To save Troy Davis is an act of humanity. Yes you can, Mister President ! " ( " Sauver Troy Davis est un acte d’humanité. Oui, vous le pouvez, monsieur le Président ! "), a-t-elle écrit.
Me Robert Badinter a souligné que les Etats-Unis sont le dernier pays où un état peut autoriser l'exécution d'une peine de mort. Avec la Bielo-Russie, qu'il qualifie d'"état stalinien". Le PCF et Jean-Luc Mélenchon ont préféré laissé dire...
L'ex-président socialiste du Conseil Constitutionnel a éprouvé le besoin de préciser que la victime était blanche et le condamné noir, procédant ainsi à une allusion raciale, que SOS Racisme et la LDH, avec la Licra et le MRAP réunis, ont sans doute trouvée naturelle et politiquement correcte.
Sa Cynique Majesté Royal, ébranlée dans son admiration ?
La gelée Royal, groupie de Barack Hussein
Histoire de se rallier les quartiers, la battue de la présidentielle 2007 s'était flattée d'avoir été la seule personnalité politique française de poids à assister à cette cérémonie EN 2008. Elle n'avait pas précisé que sa présence au 150e rang était une démarche purement personnelle et confidentielle. De cette opération de com'et de sa volonté de se " pipoliser " ou de se " stariser ", sa stature internationnale ne s'en était d'ailleurs pas trouvée grandie pour autant. Avec le recul, cette attitude de midinette apparaît aussi inconsidérée que naïve.
" J'ai inspiré Obama et ses équipes nous ont copiés ", a soutenu notre cagole.
Au temps où elle était candidate à la présidence de la République française et où Barack Obama ne faisait encore qu'envisager d'y parvenir aux Etats-Unis, la Gelée Royal racontait déjà au Monde qu'il avait envoyé une équipe à Paris étudier son site Internet de campagne. " Chez nous, ils ont enregistré les idées de “gagnant-gagnant”, de “citoyen-expert'”, prétendait-elle. Ensuite, Barack Hussein Obama aurait, selon elle, adapté sa "démocratie participative" à la mode américaine sur son modèle...
Me Robert Badinter a souligné que les Etats-Unis sont le dernier pays où un état peut autoriser l'exécution d'une peine de mort. Avec la Bielo-Russie, qu'il qualifie d'"état stalinien". Le PCF et Jean-Luc Mélenchon ont préféré laissé dire...
L'ex-président socialiste du Conseil Constitutionnel a éprouvé le besoin de préciser que la victime était blanche et le condamné noir, procédant ainsi à une allusion raciale, que SOS Racisme et la LDH, avec la Licra et le MRAP réunis, ont sans doute trouvée naturelle et politiquement correcte.
Sa Cynique Majesté Royal, ébranlée dans son admiration ?
La gelée Royal, groupie de Barack Hussein
Histoire de se rallier les quartiers, la battue de la présidentielle 2007 s'était flattée d'avoir été la seule personnalité politique française de poids à assister à cette cérémonie EN 2008. Elle n'avait pas précisé que sa présence au 150e rang était une démarche purement personnelle et confidentielle. De cette opération de com'et de sa volonté de se " pipoliser " ou de se " stariser ", sa stature internationnale ne s'en était d'ailleurs pas trouvée grandie pour autant. Avec le recul, cette attitude de midinette apparaît aussi inconsidérée que naïve.
" J'ai inspiré Obama et ses équipes nous ont copiés ", a soutenu notre cagole.Au temps où elle était candidate à la présidence de la République française et où Barack Obama ne faisait encore qu'envisager d'y parvenir aux Etats-Unis, la Gelée Royal racontait déjà au Monde qu'il avait envoyé une équipe à Paris étudier son site Internet de campagne. " Chez nous, ils ont enregistré les idées de “gagnant-gagnant”, de “citoyen-expert'”, prétendait-elle. Ensuite, Barack Hussein Obama aurait, selon elle, adapté sa "démocratie participative" à la mode américaine sur son modèle...
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