Le PS pose des problèmes à tous:
les candidats de la primaire socialiste
cherchent des poux aux sondeurs.
Publiée vendredi, la dernière livraison de l'institut OpinionWay sur le sujet ne satisfait pas la 3e,
Le journal Libération entretient la confusion
La Haute Autorité ? Quelle Haute Autorité ? Haute comme quoi ?
Que dit ce quotidien? "L'instance qui supervise le scrutin recommande la prudence aux médias et aux instituts de sondage."
D'abord, il ne s'agit que d'une Basse Autorité ! Il ne s'agit donc pas de la Haute Autorité de la communication audiovisuelle dont la mission de régulation de l'audiovisuel s'est achevée en 1986, ni de la Commission nationale de la communication et des libertés (CNCL) remplacée en 1989 par le CSA (Commission nationale de la communication et des libertés). Alors quoi ? Ce n'est un simple petit comité de contrôle - interne au PS - chargé de superviser la primaire du PS: veiller à la bonne régularité des rapports entre les six candidats et à la régularité du déroulement de la primaire en vue de la présidentielle de 2012 .
Deuxio, le président de ce comité Théodule est l'avocat Jean-Pierre Mignard, parrain de plusieurs enfants de la plaignante et l'ex-patron de son association de soutien lors de la présidentielle 2007... La crédibilité de son "équité" n'est donc pas discutable, en effet: rien qui, par conséquent, ne mérite d'être signalé par ce journal d'information.
Or, certains petits candidats, d'abord Désirdavenir Royal (PS), à la traîne au 3e rang, et maintenant Jean-Michel Baylet, (PRG), à la queue du météore, s'inquiètent pour les électeurs potentiels et leur manque d'information, rapporte le journal d'information. Alors, un rappel à l'ordre en forme de « recommandation » a été publié: « la Haute Autorité demande que l'équité de traitement entre les candidats soit parfaitement respectée ». De quoi impressionner les masses et les rassurer sur le bon déroulement des opérations: ils avaient en effet besoin de garanties après le congrès de Reims marqué par des tricheries lors du scrutin qui désigna la Ch'tite Aubry patron du PS.
Une culture socialiste de la triche et de la mauvaise foi
Ça n'a pas traîné...
Deux jours à peine après avoir été saisie par Delphine Batho, mandatée par Ségol'haine Royal, sur les problèmes de sondages concernant la primaire du PS, la « basse autorité» a publié sa «recommandation» jeudi.
L'instance présidée par Jean-Pierre Mignard «recommande» aux candidats, «aussi souvent que nécessaire», «de saisir la commission des sondages dans les cinq jours de la publication ou de la diffusion» des enquêtes d'opinion concernées. Soit suivre la loi de 1977 sur les sondages afin de s'assurer que soient conformes «l'échantillon des personnes interrogées», «le redressement des résultats bruts» et «les mentions qui accompagnent la publication des sondages». La Basse autorité demande ainsi que soit précisé, comme en 2006 lors de la précédente primaire PS, la mention suivante: «le sondage a été réalisé auprès d'un échantillon de sympathisants de gauche et de sympathisants socialistes alors que le candidat socialiste sera désigné par les seuls adhérents du PS.» «Nombre de médias, notamment audiovisuels, s'affranchiss[ent] de ces précautions d'utilisation et de compréhension de la portée des sondages», accuse ce comité Théodule.
La leçon de vertu du jour
Si la gauche bannit les maximes morales des écoles, le PS en produit jour après jour.
Dans sa recommandation, l'instance socialiste «estime» également «contraire à la déontologie de l'information d'une société démocratique de ne révéler qu'une partie d'un sondage» et de ne parler que des résultats obtenus par «celles et ceux, souvent trois et parfois deux, qui bénéficient d'une sélection favorable, et parfaitement discrétionnaire, des médias».
Le PS dicte leurs règles de conduite aux media
Enfin, la Haute autorité appelle également à la «responsabilité» des médias et des instituts de sondages «pour qu'un moratoire soit observé la veille de chaque tour de scrutin». Soit ne pas publier de sondage qui puisse influencer le vote.
Cette recommandation n'a aucune valeur légale
Aucun journal, télévision, radio ou site Internet n'est toutefois légalement tenu de suivre cette mesure. La primaire du PS n'étant pas un scrutin officiel, elle n'est, sur ce point, pas soumise à la loi de 1977.
«Satisfaite» de cette réponse, la petite Batho a pourtant demandéà ce que ces «règles soient désormais appliquées».
Pressions anti-républicaines
Les entreprises comerciales de sondages se laisseront-elles dicter une déontologie étrangère issue d'un organisme suspect de fraudes en interne.
Les partis politiques ont-ils le pouvoir en démocratie d'imposer leurs règles internes à la société et une déontologie qu'ils ne s'appliquent pas à eux-mêmes ?
Prochaine leçon
Recommandation à la ...presse !
Deuxio, le président de ce comité Théodule est l'avocat Jean-Pierre Mignard, parrain de plusieurs enfants de la plaignante et l'ex-patron de son association de soutien lors de la présidentielle 2007... La crédibilité de son "équité" n'est donc pas discutable, en effet: rien qui, par conséquent, ne mérite d'être signalé par ce journal d'information.
Or, certains petits candidats, d'abord Désirdavenir Royal (PS), à la traîne au 3e rang, et maintenant Jean-Michel Baylet, (PRG), à la queue du météore, s'inquiètent pour les électeurs potentiels et leur manque d'information, rapporte le journal d'information. Alors, un rappel à l'ordre en forme de « recommandation » a été publié: « la Haute Autorité demande que l'équité de traitement entre les candidats soit parfaitement respectée ». De quoi impressionner les masses et les rassurer sur le bon déroulement des opérations: ils avaient en effet besoin de garanties après le congrès de Reims marqué par des tricheries lors du scrutin qui désigna la Ch'tite Aubry patron du PS.
Une culture socialiste de la triche et de la mauvaise foi
Ça n'a pas traîné...
Deux jours à peine après avoir été saisie par Delphine Batho, mandatée par Ségol'haine Royal, sur les problèmes de sondages concernant la primaire du PS, la « basse autorité» a publié sa «recommandation» jeudi.
L'instance présidée par Jean-Pierre Mignard «recommande» aux candidats, «aussi souvent que nécessaire», «de saisir la commission des sondages dans les cinq jours de la publication ou de la diffusion» des enquêtes d'opinion concernées. Soit suivre la loi de 1977 sur les sondages afin de s'assurer que soient conformes «l'échantillon des personnes interrogées», «le redressement des résultats bruts» et «les mentions qui accompagnent la publication des sondages». La Basse autorité demande ainsi que soit précisé, comme en 2006 lors de la précédente primaire PS, la mention suivante: «le sondage a été réalisé auprès d'un échantillon de sympathisants de gauche et de sympathisants socialistes alors que le candidat socialiste sera désigné par les seuls adhérents du PS.» «Nombre de médias, notamment audiovisuels, s'affranchiss[ent] de ces précautions d'utilisation et de compréhension de la portée des sondages», accuse ce comité Théodule.
La leçon de vertu du jour
Si la gauche bannit les maximes morales des écoles, le PS en produit jour après jour.
Dans sa recommandation, l'instance socialiste «estime» également «contraire à la déontologie de l'information d'une société démocratique de ne révéler qu'une partie d'un sondage» et de ne parler que des résultats obtenus par «celles et ceux, souvent trois et parfois deux, qui bénéficient d'une sélection favorable, et parfaitement discrétionnaire, des médias».
Le PS dicte leurs règles de conduite aux media
Enfin, la Haute autorité appelle également à la «responsabilité» des médias et des instituts de sondages «pour qu'un moratoire soit observé la veille de chaque tour de scrutin». Soit ne pas publier de sondage qui puisse influencer le vote.
Cette recommandation n'a aucune valeur légale
Aucun journal, télévision, radio ou site Internet n'est toutefois légalement tenu de suivre cette mesure. La primaire du PS n'étant pas un scrutin officiel, elle n'est, sur ce point, pas soumise à la loi de 1977.
«Satisfaite» de cette réponse, la petite Batho a pourtant demandé
Pressions anti-républicaines
Les entreprises comerciales de sondages se laisseront-elles dicter une déontologie étrangère issue d'un organisme suspect de fraudes en interne.
Les partis politiques ont-ils le pouvoir en démocratie d'imposer leurs règles internes à la société et une déontologie qu'ils ne s'appliquent pas à eux-mêmes ?
Prochaine leçon
Recommandation à la ...presse !
Méthodes staliniennes qui se cachent derriere les sourires les mensonges et manipulations des esprits à tous les étages de cette bête immonde qu'est la gauche....française et aux commandes de l'Europe. Les socialistes noyautent sans en avoir l'air......et la droite frileuse la ferme.
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