Mi Noir, mi-Blanc, c’est la victoire du métissage
Le rêve Américain, mythe ou réalité ?
On le sait, Barack Obama est né à Honolulu (Hawaii), et sa grand-mère blanche y est décédée, sans connaître la joie de sa réussite. Elle avait largement contribué à son éducation et au financement de ses études.
Le rêve Américain, mythe ou réalité ?
On le sait, Barack Obama est né à Honolulu (Hawaii), et sa grand-mère blanche y est décédée, sans connaître la joie de sa réussite. Elle avait largement contribué à son éducation et au financement de ses études.
Barack a été élevé par une mère blanche et décédée (ci-desus).
Les parents de Barack Obama se marient en 1960 et Barack naît un an plus tard. Il a deux ans en août 1963, quand son père vient d'être accepté à l'Université Harvard et il part seul pour le Massachusetts car il est incapable de subvenir aux besoins de sa femme et de son fils.
Le divorce sera prononcé en janvier 1964 : Barack n’a pas 3 ans. Obama pourra maintenant aider au financement du Kenya de sa grand-mère noire, Sarah (ci-dessous).
Ainsi va le monde
Sans nuances, ni demi-teintes ! Il ne voit en lui que le Noir, fils d'un guérisseur de l'ethnie Luo, il est éduqué dans la religion musulmane, mais, qu’on le veuille ou non, le nouveau président est à moitié blanc et à moitié afro-américain. Mais encore n’est-il pas issu de l’esclavage.
Son père est mort en 1982 et sa mère en 1995.
> Son père, Barack Obama Sr. est kenyan ; fils d'un guérisseur de l'ethnie Luo, il est éduqué dans la religion musulmane mais est néanmoins athée.
Pour la « repentance coloniale », il ne faut pas ignorer que, jeune cuisinier des colons d'Alego au bord du lac Victoria, le papa entre à l'école des missionnaires qui lui paient par la suite des études à Nairobi, avant de l'envoyer poursuivre un cursus d'économétrie à l'université d'Hawaii où il fonde l'association des étudiants étrangers et rencontre la maman du futur président des USA.
> Son père, Barack Obama Sr. est kenyan ; fils d'un guérisseur de l'ethnie Luo, il est éduqué dans la religion musulmane mais est néanmoins athée.
Pour la « repentance coloniale », il ne faut pas ignorer que, jeune cuisinier des colons d'Alego au bord du lac Victoria, le papa entre à l'école des missionnaires qui lui paient par la suite des études à Nairobi, avant de l'envoyer poursuivre un cursus d'économétrie à l'université d'Hawaii où il fonde l'association des étudiants étrangers et rencontre la maman du futur président des USA.
> Sa mère, StanleyAnn Dunham (1942-1995), est née sur une base militaire du Kansas dans une famille américaine et chrétienne. Elle est l'enfant de Stanley (23 mars 1918 – 8 février 1992) et Madelyn Dunham (26 octobre 1922 — 2 novembre 2008)
Par sa grand-mère maternelle, Madelyn Dunham, Barack Obama a du sang cherokee. Barack Obama aurait aussi une ancêtre commune avec le vice-président Dick Cheney : une Française, à la 8e génération. Il compte d'autres ancêtres français, originaires d'Alsace, Christian Gutknecht né en 1722 et Maria Magdalena Grünholtz, tous deux nés à Bischwiller.
Tout bien considéré et dans l'hystérie médiatique ambiante, Obama est donc le premier président européen des Etats-Unis ( !), Noir surtout pour les Blancs qui le veulent Noir et très peu Blanc pour les Noirs qui le veulent pour eux.
La rupture fantasmée
Le changement est donc plus visible à la surface de la peau qu’au cœur des choses : les extrémistes ne voient en Barack Obama que sa face la plus noire, mais ils peuvent bien nier sa part blanche, ce métis de Chicago ne sera jamais noir comme un descendant d’esclave du Sud des Eats-Unis, et s’ils y regardaient bien, il est gris. Pas plus que tous les métis de France et de Navarre, le nouvel élu ne se caractérise clairement par sa couleur de peau. Le président du plus puissant des états au monde est le plus européen.
Que sera la rupture réelle ?
Par sa grand-mère maternelle, Madelyn Dunham, Barack Obama a du sang cherokee. Barack Obama aurait aussi une ancêtre commune avec le vice-président Dick Cheney : une Française, à la 8e génération. Il compte d'autres ancêtres français, originaires d'Alsace, Christian Gutknecht né en 1722 et Maria Magdalena Grünholtz, tous deux nés à Bischwiller.
Tout bien considéré et dans l'hystérie médiatique ambiante, Obama est donc le premier président européen des Etats-Unis ( !), Noir surtout pour les Blancs qui le veulent Noir et très peu Blanc pour les Noirs qui le veulent pour eux.
La rupture fantasmée
Le changement est donc plus visible à la surface de la peau qu’au cœur des choses : les extrémistes ne voient en Barack Obama que sa face la plus noire, mais ils peuvent bien nier sa part blanche, ce métis de Chicago ne sera jamais noir comme un descendant d’esclave du Sud des Eats-Unis, et s’ils y regardaient bien, il est gris. Pas plus que tous les métis de France et de Navarre, le nouvel élu ne se caractérise clairement par sa couleur de peau. Le président du plus puissant des états au monde est le plus européen.
Que sera la rupture réelle ?
La carte des Etats-Unis a viré au bleu et les Démocrates sont tout à leur joie.
Mais si l’écart avec les Républicains s’annonce net et clair, il ne sera que de quelques points : à l’heure où nous écrivons, Obama serait largement élu, mais à 51% contre 47%, ce qui est encore inférieur à Sarkozy, face à Sa Cynique Majesté Royal, qui, bien que née au Sénégal, avait misé avec tant de perspicacité sur Hillary Clinton, soit dit en passant…
La réalité pourrait être quelque peu décevante, si l’on songe à l’inexpérience des Carter et Clinton, qui, partis de leurs petits états, se sont faits manger arrivés à Washington. Pour aider les enthousiastes à relativiser, rappelons que Bill Clinton avait fait campagne sur la réforme du système de santé américain. Qu’est-il advenu de cette promesse de changement? A-t-il su améliorer le système de santé ?
Intelligent, travailleur et dynamique, à 47 ans (né en 1961), le président élu ne sera pas le plus jeune président des Etats-Unis (JFK avait 44 ans) mais sans doute le plus inexpérimenté. Obama a donc déjà annoncé qu’il serait le président de l’ouverture. Il pourrait faire entrer des Républicains dans son administration. Encore un métissage…
Wait and see !
France Info et France 3 n'ont cessé de donner pour exemples un secrétaire de cabinet nommé par François Mitterrand et quelques élus de Gauche, pour faire croire aux gens que la Gauche, elle, pratique "égalité" et "fraternité", et ont prétendu que la Droite ne comptait aucun "représentant de minorité"!
RépondreSupprimerMesdames Rachida Dati, Fadela Amara et Rama Yade sont donc (pour paraphrase Georges Frèche s'adressant aux Harki) "des sous-femmes" qui ne comptent pour rien, tout comme l'ancien Secrétaire d'Etat (je crois) chargé des Anciens Combattants, Harki nommé par le Président Chirac.
Garde des Sceaux, Secrétaire d'Etat chargée des Affaires Etrangères et des Droits de l'Homme (les vrais, pas ceux de la "Ligue des Droits de l'Homme (Criminel)"), et Secrétaire d'Etat chargée de la Politique de la Ville, sont donc des postes mineurs ou "bidon" selon les journalistes (de Gauche).
Les trois femmes ont effectivement été victimes de pires insultes de la Gauche dès l'instant de leur nomination: Rama Yade a été méprisée, Rachida Dati a été accusée de n'avoir que de faux diplômes, d'être la maîtresse du PRésident, et s'est vue reprocher sa maternité, et Ségolène Royal, soit-disant grande experte ès langue française, a osé dire à Fadela Amara qu'elle ne parlait pas bien Français.
L'Extrême Droite n'est pas la seule raciste, et vous aurez aussi remarqué qu'à chaque fois qu'il y a une agression anti-sémite, la Gauche ose démentir la nature anti-sémite de l'acte-- Canal Plus (via son équipe d'iTélé) fit même un héros rigolard de chef du gang ayant longuement, atrocement torturé un homme uniquement parce qu'il était Juif.
En outre, lorsque Jean-Marie Le Pen déclara que Nicolas Sarkozy ne devrait pas avoir le droit d'être candidat à la Présidence de la République parce qu'il n'était pas "un Français de race pure", la Gauche (le secrétaire du PS et sa candidate en particulier) n'a rien dit-- approuvant donc cette attaque raciste.