Le maire PS de Paris Bertrand Delanoë appelle à choisir Martine Aubry
"Au nom de mes convictions politiques, j'ai donc décidé de soutenir la candidature de Martine Aubry et j'appelle à voter massivement en sa faveur", ajoute Bertrand Delanoë.
C’est au nom d'une "certaine idée du socialisme" que le chef de file de la motion Delanoë-Hollande donne à ses fidèles cette consigne de vote aux militants pour la désignation du Premier secrétaire. "Jeudi soir, chaque militant est en effet appelé à s'exprimer, par son vote, sur ce qui est l'enjeu décisif de ce scrutin, comme l'ont démontré les principaux discours prononcés à Reims: l'identité même du Parti socialiste", poursuit-il.
"Notre responsabilité est immense".souligne-t-il d’ailleurs dans une lettre ouverte aux militants rendue publique lundi.
Leader d'une motion arrivée deuxième derrière celle de Collomb-Royal dans le premier vote des militants le 6 novembre, le maire de Paris avait renoncé à briguer la succession de François Hollande.
49,56% à eux deux, face aux 29% de Sa Cynique Majesté Royal
La motion Delanoë-Hollande-Jospin apporte ainsi un soutien de poids (25,24%) à la maire de Lille (24,32%) dans la compétition qui l'oppose à l'amère de Melle (29%) et l'eurodéputé Benoît Hamon (à peine 19%). Soit à eux deux
Delanoë évoque le MoDem
Delanoë évoque à nouveau la question d’une éventuelle alliance de Sa Cynique Majesté Royal avec Bayrou, l’épine dans le talon du Congrès de Reims, appelant de ses voeux "une stratégie d'alliances claire, qui implique de s'ouvrir à toutes les formations de gauche, mais à rejeter l'ambiguïté d'alliances avec un parti qui se refuse à différencier la droite de la gauche". Une allusion claire au MoDem, auquel Sa Cynique Majesté Royal ne renonce pas à proposer l’ouverture du PS qu’elle appelle de ses voeux.
"Dans les circonstances graves qu'affrontent notre parti et notre pays, il faut choisir. De ce vote dépend manifestement l'avenir et la conception même du Parti socialiste", lance encore le maire.
"En toute amitié, mais avec l'intensité liée à ce moment, je souhaite te convaincre de voter au nom d'une certaine idée du socialisme", résume-t-il à l'adresse des militants.
A ceux d’entre eux qui ont une culture plus socialiste que médiatique et populiste.
Leader d'une motion arrivée deuxième derrière celle de Collomb-Royal dans le premier vote des militants le 6 novembre, le maire de Paris avait renoncé à briguer la succession de François Hollande.
49,56% à eux deux, face aux 29% de Sa Cynique Majesté Royal
La motion Delanoë-Hollande-Jospin apporte ainsi un soutien de poids (25,24%) à la maire de Lille (24,32%) dans la compétition qui l'oppose à l'amère de Melle (29%) et l'eurodéputé Benoît Hamon (à peine 19%). Soit à eux deux
Delanoë évoque le MoDem
Delanoë évoque à nouveau la question d’une éventuelle alliance de Sa Cynique Majesté Royal avec Bayrou, l’épine dans le talon du Congrès de Reims, appelant de ses voeux "une stratégie d'alliances claire, qui implique de s'ouvrir à toutes les formations de gauche, mais à rejeter l'ambiguïté d'alliances avec un parti qui se refuse à différencier la droite de la gauche". Une allusion claire au MoDem, auquel Sa Cynique Majesté Royal ne renonce pas à proposer l’ouverture du PS qu’elle appelle de ses voeux.
"Dans les circonstances graves qu'affrontent notre parti et notre pays, il faut choisir. De ce vote dépend manifestement l'avenir et la conception même du Parti socialiste", lance encore le maire.
"En toute amitié, mais avec l'intensité liée à ce moment, je souhaite te convaincre de voter au nom d'une certaine idée du socialisme", résume-t-il à l'adresse des militants.
A ceux d’entre eux qui ont une culture plus socialiste que médiatique et populiste.
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