En quête de la « ligne claire » qu’elle est incapable de tracer…
Réunion de la dernière heure, en terrain neutre
Benoît Hamon, Bertrand Delanoë et Martine Aubry se sont réunis dans la matinée à l’Assemblée Nationale à quelques heures de l'ouverture du congrès du PS à Reims.
Selon une source proche du PS, la réunion aurait rassemblé Bertrand Delanoë, son bras droit Harlem Désir, Martine Aubry, Laurent Fabius, soutien de la maire de Lille, et Benoît Hamon, soutenu par Henri Emmanuelli, représentants l'aile gauche du parti.
"On a discuté entre amis comme nous l'avons fait avec sEGOlène pour discuter de la ligne claire qui doit sortir du congrès de Reims", a déclaré Martine Aubry à l'issue de cette réunion de près de deux heures.
"Je vais discuter avec des amis sur le fond pour voir comment on aborde ce congrès", a déclaré à son arrivée Bertrand Delanoë. "Je ne parle que de fond, je ne discute que des idées avec tout le monde. Je suis dans un état d'esprit constructif, il faut de la clarté et de la cohérence", a-t-il assuré.
"Je n'ai pas l'intention de me livrer à n'importe quel marchandage", a déclaré Benoît Hamon, réaffirmant vouloir "préserver la capacité du parti à ne pas être définitivement présidentialisé" et à voir un PS "ancré à gauche", sans remettre sur le tapis le sujet qui fâche : le MoDem...
Réunion de la dernière heure, en terrain neutre
Benoît Hamon, Bertrand Delanoë et Martine Aubry se sont réunis dans la matinée à l’Assemblée Nationale à quelques heures de l'ouverture du congrès du PS à Reims.
Selon une source proche du PS, la réunion aurait rassemblé Bertrand Delanoë, son bras droit Harlem Désir, Martine Aubry, Laurent Fabius, soutien de la maire de Lille, et Benoît Hamon, soutenu par Henri Emmanuelli, représentants l'aile gauche du parti.
Les trois représentent 68% des militants
Le 6 novembre, lors du vote des militants socialistes, la motion Collomb, soutenue par Sa Cynique Majesté Royal, a obtenu moins de 30% à moins de 4 points de celles de Bertrand Delanoë (25,29%) et de Martine Aubry (24,32%), et celle de Benoît Hamon (18,46%), qui représentent l'aile gauche du parti, environ 20%. La première motion ne recueille donc pas même la majorité relative avec environ 1/3 des suffrages (seulement 50% des militants s’étant exprimés...)
Ce n’était pas jusqu’ici le début de la « ligne claire »
Sa Cynique Majesté Royal, a reconnu avoir "envie" de diriger le PS, tout en se plaçant au « frigidaire » et en se montrant pourtant à TF1 pour toutefois ne rien dire. Elle s'est d’ailleurs gardée jusqu'à présent d'annoncer sa candidature, rejetée par certains responsables au PS.
L'ancienne candidate à la présidentielle avait écrit à Martine Aubry et à MM. Delanoë et Hamon pour tenter de dégager un compromis en vue du congrès.
La maire de Lille a opposé jeudi une fin de non recevoir à l’amère de Melle, tout en souhaitant un rassemblement "sans exclusive", alors que le maire de Paris lui répondait en se disant dans une logique d'"échange" mais en soulignant leurs "différences".
Qu’ont-ils à craindre d’elle au PS ?
VOIR et ENTENDRE
Segolene_Region envoyé par M-C-I
Est-ce assez clair avec preuve?
VOIR et ENTENDRE
Segolene_Region envoyé par M-C-I
Est-ce assez clair avec preuve?
LIEN (non satirique) vers la même scène de "débat participatif" au Conseil Régional de Poitou-Charentes, que préside Sa Cynique Majesté Royal: c'est elle qui donne la parole...
Pourquoi pas le même quotidien Rue de Solférino ?
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