Ouverture du congrès du PS à Reims
16H00, l’heure du glas a sonné à Reims. Le PS passera-t-il le weekend ?
Le 75ème congrès du Parti socialiste, qui doit ouvrir la succession de son chef François Hollande, s'est ouvert vendredi.
Certains bloggers socialistes croient distinguer des craintes chez les umpistes
Ce ne sont pas celles qu’ils croient !
Si les premiers comprenaient bien, ces derniers espéreraient que les socialistes rencontrent plus de difficultés encore que Jean-François Fountaine, le conseiller régional de Poitou-Charentes, que Sa Cynique Majesté Royal interdit de parole en pleine enceinte. C’est leur problème, peut-on estimer. Mais en se répandant du plan régional à l’échelle nationale, ce n’est pas la droite qui pâtirait, mais la démocratie nationale entière. Il serait donc illusoire de désigner la peste du Poitou à la tête du PS avec l’idée machiavélique -tout à fait concevable au PS- d’empoisonner la droite, car celle-ci, du PS et du pays entier, serait encore la moins pénalisée.
Ainsi ne comprennent-ils pas que la droite ne peut se réjouir de ce spectacle navrant aux conséquences désastreuses sur la vie démocratique. Ce ne serait qu’un problème socialo-socialiste si le pays n’avait besoin d’une démocratie équilibrée. Or, l’opposition socialiste ne propose actuellement que désordre et chicaneries internes. Hors ses murs, ses propositions se limitent à l’invective et au dénigrement systématique.
L’amère de Melle est facteur de divisions,où qu’elle se trouve
Si elle ne se rendait insupportable qu’à la majorité présidentielle, elle ne serait que pénible. Mais quiconque a suivi le parcours de cette arriviste sait ce que cache le rictus hypocrite de l’artiste du Zénith: sans foi ni loi, elle menaça le père de ses enfants de ne plus voir ses enfants, cette arriviste de mauvaise foi a brandi sa condition de femme pour paralyser ses mâles concurrents, cette arrogante qui ne sait riposter à ses opposants qu’en lançant le défi qu’ils ne réussiront pas à la déstabiliser, cette ignare qui a ridiculisé son pays partout où elle est passée sur le territoire et à l’étranger, cette manipulatrice du « débat participatif » et des media, cette candidate au programme flou et creux, mais gonflée, cette battue de la présidentielle qui ne rassemble qu’un tiers des militants n’a ni majorité ni la légitimité qu’elle s’attribue sans vergogne.
Unité objective !
> Sa Cynique Majesté Royal ne convient donc ni aux démocrates, ni aux républicains, qu’ils soient ou non socialistes. Puisqu’il existe des alternatives, ce qui seprésente à eux, c’est une occasion d’assainissement de la vie politique qui réclame compétence et maîtrise de soi, plutôt que des « colères saines » et des accusations permanentes de ses camarades comme de ses opposants. La majorité a besoin au PS d’un interlocuteur capable et responsable. Mais, c’est évidemment à chaque militant socialiste que revient la redoutable responsabilité de jouer ou non à l’apprenti sorcier, pour le malheur de tous.
> Porter Sa Cynique Majesté Royal à la tête du PS, c’est hypothéquer l’avenir du PS, pendant cinq ans. C’est se rendre coupable de son implosion, tant les animosités, que Ségo-frigo suscite de toutes parts, sont vives. La France au bord de la récession peut-elle s’offrir le luxe d’un éclatement du PS, quand le PCF rend l’âme, que la LCR mute et que l’ultra-gauche ne se sent plus.
Dès lors, le climat de confusion dans lequel s’ouvre le congrès n’a pas lieu de rassurer les citoyens responsables, puisqu’aucune des motions présentées n'a obtenu la majorité lors d'un vote des militants le 6 novembre.
Les discussions et tractations de dernière heure se poursuivaient encore vendredi au jour de l’ouverture du congrès, dans un contexte de sourde rivalité entre les partisans de Désirdévenir Royal (29% lors du vote), Bertrand Delanoë (25,2%), Martine Aubry (24,3%), et Benoît Hamon (18,4%). Il est clair que la petite lumière du « Frigidaire » n’éclaire que les pieds de Sa Cynique Majesté Royal et que d’en fermer la porte ne priverait pas même le PS.
Les centaines de délégués ont commencé à remplir les gradins des tribunes du palais des expositions de Reims, pour entendre les premiers intervenants, en attendant d’assister au pugilat..
Nous nous souhaitons, comme à l’hôtesse, Adeline Hazan, la maire de Reims, d’avoir de bonnes raisons de sabler le champagne.
16H00, l’heure du glas a sonné à Reims. Le PS passera-t-il le weekend ?
Le 75ème congrès du Parti socialiste, qui doit ouvrir la succession de son chef François Hollande, s'est ouvert vendredi.
Certains bloggers socialistes croient distinguer des craintes chez les umpistes
Ce ne sont pas celles qu’ils croient !
Si les premiers comprenaient bien, ces derniers espéreraient que les socialistes rencontrent plus de difficultés encore que Jean-François Fountaine, le conseiller régional de Poitou-Charentes, que Sa Cynique Majesté Royal interdit de parole en pleine enceinte. C’est leur problème, peut-on estimer. Mais en se répandant du plan régional à l’échelle nationale, ce n’est pas la droite qui pâtirait, mais la démocratie nationale entière. Il serait donc illusoire de désigner la peste du Poitou à la tête du PS avec l’idée machiavélique -tout à fait concevable au PS- d’empoisonner la droite, car celle-ci, du PS et du pays entier, serait encore la moins pénalisée.
Ainsi ne comprennent-ils pas que la droite ne peut se réjouir de ce spectacle navrant aux conséquences désastreuses sur la vie démocratique. Ce ne serait qu’un problème socialo-socialiste si le pays n’avait besoin d’une démocratie équilibrée. Or, l’opposition socialiste ne propose actuellement que désordre et chicaneries internes. Hors ses murs, ses propositions se limitent à l’invective et au dénigrement systématique.
L’amère de Melle est facteur de divisions,où qu’elle se trouve
Si elle ne se rendait insupportable qu’à la majorité présidentielle, elle ne serait que pénible. Mais quiconque a suivi le parcours de cette arriviste sait ce que cache le rictus hypocrite de l’artiste du Zénith: sans foi ni loi, elle menaça le père de ses enfants de ne plus voir ses enfants, cette arriviste de mauvaise foi a brandi sa condition de femme pour paralyser ses mâles concurrents, cette arrogante qui ne sait riposter à ses opposants qu’en lançant le défi qu’ils ne réussiront pas à la déstabiliser, cette ignare qui a ridiculisé son pays partout où elle est passée sur le territoire et à l’étranger, cette manipulatrice du « débat participatif » et des media, cette candidate au programme flou et creux, mais gonflée, cette battue de la présidentielle qui ne rassemble qu’un tiers des militants n’a ni majorité ni la légitimité qu’elle s’attribue sans vergogne.
Unité objective !
> Sa Cynique Majesté Royal ne convient donc ni aux démocrates, ni aux républicains, qu’ils soient ou non socialistes. Puisqu’il existe des alternatives, ce qui seprésente à eux, c’est une occasion d’assainissement de la vie politique qui réclame compétence et maîtrise de soi, plutôt que des « colères saines » et des accusations permanentes de ses camarades comme de ses opposants. La majorité a besoin au PS d’un interlocuteur capable et responsable. Mais, c’est évidemment à chaque militant socialiste que revient la redoutable responsabilité de jouer ou non à l’apprenti sorcier, pour le malheur de tous.
> Porter Sa Cynique Majesté Royal à la tête du PS, c’est hypothéquer l’avenir du PS, pendant cinq ans. C’est se rendre coupable de son implosion, tant les animosités, que Ségo-frigo suscite de toutes parts, sont vives. La France au bord de la récession peut-elle s’offrir le luxe d’un éclatement du PS, quand le PCF rend l’âme, que la LCR mute et que l’ultra-gauche ne se sent plus.
Dès lors, le climat de confusion dans lequel s’ouvre le congrès n’a pas lieu de rassurer les citoyens responsables, puisqu’aucune des motions présentées n'a obtenu la majorité lors d'un vote des militants le 6 novembre.
Les discussions et tractations de dernière heure se poursuivaient encore vendredi au jour de l’ouverture du congrès, dans un contexte de sourde rivalité entre les partisans de Désirdévenir Royal (29% lors du vote), Bertrand Delanoë (25,2%), Martine Aubry (24,3%), et Benoît Hamon (18,4%). Il est clair que la petite lumière du « Frigidaire » n’éclaire que les pieds de Sa Cynique Majesté Royal et que d’en fermer la porte ne priverait pas même le PS.
Les centaines de délégués ont commencé à remplir les gradins des tribunes du palais des expositions de Reims, pour entendre les premiers intervenants, en attendant d’assister au pugilat..
Nous nous souhaitons, comme à l’hôtesse, Adeline Hazan, la maire de Reims, d’avoir de bonnes raisons de sabler le champagne.
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