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mercredi 10 juin 2020

BlackLivesMatter met à genoux Mélenchon, Jadot, Faure et Roussel

L'ultra-gauche anti-flics racisée américaine met à ses pieds la gauche française 

LFI, EELV, PS et PCF mettent un genou à terre devant George Floyd

Place de la République, ce mardi 9 juin

A Paris, des manifestants se sont rassemblés place de la République en mémoire de George Floyd. Des têtes d'affiches de la gauche - radicale, voire extrême et de l’écologie totalitaire, comme Jean-Luc Mélenchon (LFI) ou Yannick Jadot (EELV) - ont même posé un genou à terre, geste de capitulation, à l'imitation du candidat démocrate à la présidentielle américaine, Joe Biden, 
Joe Biden relance sa campagne dans une Amérique embrasée par la ...

ou le démagogue Québécois Justin Trudeau (ci-dessous).

 Justin Trudeau pose un genou à terre contre le racisme (vidéo)

A l’appel notamment de SOS Racisme, des manifestations se sont rassemblés en France, pendant les obsèques de George Floyd à Houston, Etats-unis. A Paris, ils n'étaient que quelques centaines, place de la République. 
Ce mardi 9 juin, certains meneurs de la gauche rose,  rouge, noire et verte ont pris parti contre les policiers de leur pays, tels Jean-Luc Mélenchon (LFI), Yannick Jadot (EELV), Fabien Roussel (PCF) ou encore Olivier Faure (PS). Ils se sont même agenouillés durant les 8 minutes 46 de silence, pour s'associer à cet Afro-Américain décédé à la suite d’une interpellation policière à Minneapolis le 26 mai dernier. 
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Les suiveurs socialistes Faure et Kanner

Cette mobilisation à Paris était soutenue par plusieurs syndicats de lutte - dont la CGT, la FSU et l’Unsa - mais aussi par des partis politiques de gauche et d’extrême gauche (EELV, PS, LFI, PCF). Des organisations étudiantes et lycéennes (Fage, Unef, UNL) et des associations et ONG, comme la Ligue des droits de l'homme, le MRAP ou le CRAN,participaient aussi à la démonstration médiatique. 

Mélenchon, heureux des récents propos de Castaner 


Une "prise de conscience" émerge "contre l'horrible contamination du racisme
, là où on ne voudrait pas le voir, dans un corps important, la police," a pointé le chef de La France insoumise.
 
Jean-Luc Mélenchon, qui critiquait encore récemment la lâcheté de Macron resté muet face aux manifestations de rue, ajoute : "Il faut en finir avec le déni." 

L’ancien candidat à l’élection présidentielle n'hésite pas à stigmatiser la police: "la police nationale doit être reprise en main". Pour cela, Mélenchon "invite les policiers à dénoncer leurs collègues quand ils sont racistes et violents". 
Une incitation similaire à la tonte des femmes qui avaient eu des relations avec des occupants allemands. Cette marque d'opprobre qui, à la Libération de la France, a eu "pour fonction d'enlaidir ces femmes" et pour volonté, leur désexualisation, visait à détruire en elles l'image de la féminité. La dénonciation des policiers préconisée par Mélenchon a desrelents pareillement nauséabonds, quand il désigne les policiers à la vindicte populaire ou quand Castaner porte atteinte à leur virilité en les privant des moyens s'assurer le maintien de l'ordre.  

Mélenchon confie également avoir apprécié le fait que Christophe Castaner se soit rendu compte que "des gestes peuvent tuer". 
Pour mémoire, lundi 8 juin, le ministre de l’Intérieur a tenu un discours prônant notamment une "tolérance zéro" contre le racisme jugé "inacceptable", exigence qu'il n'impose pas à l'encontre des délinquants. 

Ce mardi matin, il a aussi annoncé qu’il sera "parfaitement à l’aise" - ce dont on ne doute pas ! -  à l'idée de poser un genou à terre. Le ministre tolère d’ailleurs d'autant mieux ces mobilisations anti-racistes racisées, que, "dans les faits", elles restent interdites dans toute la France, en vertu d'un décret interdisant en effet les rassemblements de plus de dix personnes dans l’espace public en raison de l’épidémie de coronavirus !

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