La manifestation des soignants contre le 'Ségur de la santé' perturbée par des anti-flics racisés
Un bus s'est fait caillasser aux Invalides, à Paris où se déroulait la manifestation des soignants, ce mardi 16 juin.
Après trois mois de crise sanitaire et de dévouement, médecins, aides-soignants et infirmiers manifestaient par milliers mardi un peu partout en France, à l'appel de la CGT, FO, Unsa, SUD, Collectif Inter-Hôpitaux..., pour rappeler le gouvernement à ses promesses sur l'hôpital public, en plein "Ségur de la santé", la pantalonnade voulue par Macron. Les premières manifestations autorisées dans le pays depuis l'entrée en vigueur du confinement il y a trois mois.
L'orthographe du tweet est celle du journaliste en formation...
Problème: Yacid Bouziar est journaliste en formation et il n'a pas pris les informations à la source. Or, le "bus de tourisme" est un car et il transportait des... soignants. Un détail ! Un autre ? Les jeunes, des anti-racistes qu'il ne faut pas mentionner, tournaient autour du véhicule comme des frelons, s'exposant à un drame qui aurait mobilisé les quartiers sensibles...
Plusieurs centaines d'énergumènes habillés de noir et encagoulés, jeunes et vire-voltant, des "anti-flics, ont fait virer au cauchemar la manifestation de défense de l'hôpital public avec des incendies de mobilier urbain et des jets de projectiles sur les forces de l'ordre, aux cris de "tout le monde déteste la police".
"De nombreuses tensions", selon BFMTV, mais "de violents heurts", selon Le Parisien ont gâté la manifestation des soignants à Paris .
Des feux de poubelles allumés, des voitures retournées. L'une d'entre elles, arborait un macaron "handicapé"... En milieu d'après-midi, alors que le cortège des soignants rejoignaient l'esplanade des Invalides, des dégradations ont été constatées. Elles seraient l'oeuvre de "casseurs" infiltrés selon la préfecture, qui avait procédé à 16h00 à plus d'une dizaine d'interpellations.
Les forces de l'ordre ont répliqué avec de nombreux tirs de lacrymogène, avant que des CRS ne lancent plusieurs charges. Cette situation a créé la consternation parmi les soignants et leaders syndicaux, pris à partie par anti-républicains qui n'ont visiblement jamais applaudi les "héros" à 20h00 pendant le confinement. Les antifas" étaient dans la rue, mais la presse ne mentionne aucun anti-raciste opportuniste...
"Des groupes violents tentent de faire dégénérer la manifestation pacifique des soignants", a tweeté la préfecture de police, qui en a appelé "au calme et à la responsabilité des individus virulents".
"Un véhicule a été retourné et dégradé", a par ailleurs tweeté la préfecture de police. Une vidéo existe, mais la presse macronienne ne la diffuse pas...
<br>Outre les véhicules endommagés, la pelouse du Champ-de-Mars, à laquelle la maire Hidalgo tenait comme à la prunelle de ses yeux au moment du Mariage pour Tous, a été labourée et des pots de fleurs ont été déterrés, tandis que fusaient les insultes. Peu de magasins ont été saccagés, dans un quartier qui n'est pas très commerçant.
<br>Plus de 220 rassemblements étaient prévus dans le cadre de cette journée d'action nationale<br>Organisée à l'appel d'une dizaine de syndicats et collectifs de soignants, ces premières manifestations autorisées ont été infiltrées dans plusieurs villes. Il apparaît que les casseurs sont les mêmes qui font dégénérer les autres rassemblements, que ce soient les Gilets jaunes ou les anti-racistes racisés, tous soutenus par l'ultra-gauche, dont Mélenchon (LFI) qu'on retrouve partout où il y a du grabuge.
A Nantes, où environ 5.500 personnes ont participé à la marche pacifique des soignants, des heurts ont éclaté devant la préfecture. "La manifestation depuis le CHU jusqu'à la préfecture s'est déroulée plutôt bien dans l'ensemble, a déclaré Johann Mougenot, directeur de cabinet de la préfecture de Loire-Atlantique. Mais une vingtaine d'individus cagoulés ont lancé des mortiers dans l'enceinte de la préfecture. Des membres du cortège leur ont demandé d'arrêter de lancer des projectiles. Les forces de l'ordre ont répliqué en faisant usage de gaz lacrymogène et de lance à eau".
A Toulouse, des individus masqués et quelques 'Gilets jaunes', selon Le Figaro, des heurts ont éclaté entre les les fauteurs de trouble et les forces de maintien de l'ordre, alors que les blouses blanches rejoignaient leurs cars. "Reculez, la manifestation n'était pas déclarée!", ont crié les forces de l'ordre. Les manifestants ont répliqué par une pluie de pavés qui ont suscité des jets de gaz lacrymogène et plusieurs charges. Policiers et gendarmes ont ensuite tenté de disperser les casseurs dans les rues adjacentes, menaçant de verbalisations en cas de refus. "Il faut fermer!", a conseillé un policier à un commerçant. "Vous, vous tuez, nous on sauve des vies, Monsieur!", lui a alors répliqué, sous les applaudissements, une femme vêtue d'une blouse blanche, pour discréditer les soignants.
L'orthographe du tweet est celle du journaliste en formation...
Les soignants sont sortis en nombre<br>Au moins 4.000 manifestants à Bordeaux et 3.500 à Marseille (selon la police), entre 2.600 et 5.000 (selon les syndicats) à Montpellier, 1.500 à 3.000 à Caen, 1.300 à 3.000 à Rennes, 800 à 1.500 à Orléans, mais aussi plusieurs milliers à Paris et Lyon.<br>L'ultragauche s'en sont pris, une fois encore, aux forces de l'ordre.
"On nous a volé cette manifestation par la force, c'est dégueulasse!", déplore Patrick Pelloux, président de l'association des médecins urgentistes de France (Amuf). Des pots de fleurs ont été déterrés, des véhicules caillassés et retournés, tandis que fusaient les insultes. Peu de magasins ont été atteints, dans un quartier qui n'est pas très commerçant.
"Des groupes violents tentent de faire dégénérer la manifestation pacifique des soignants», a tweeté la préfecture de police de Paris. Elle a estimé à 18.000 le nombre de participants. Parmi eux, 250 à 300 ultra « gilets jaunes » et quelques dizaines de membres de l'« ultragauche ». Les forces de l'ordre ont répliqué avec de nombreux tirs de lacrymogène, avant que des CRS ne lancent plusieurs charges, dans un climat tendu et chaotique. Cette situation a créé la consternation parmi les soignants et leaders syndicaux. Une dizaine de policiers ont été blessés. A 18 heures, on comptait 24 arrestations.
En fin d'après-midi, le croisement des rues de l'Université et Faber ressemblait à un champ de ruines. Enormes pierres au sol, pavés arrachés, trottinettes renversées. Pendant cette dévastation, les soignants se tenaient à distance sur la pelouse des Invalides. Une infirmière en larmes, soutenue par des collègues, s'en prenait aux émeutiers : "Vous avez mis notre manif en l'air, vous êtes des c...!".
La préfecture de police de Paris indique avoir procédé à 16 interpellations dans la capitale depuis le début du défilé.
Plus de 220 rassemblements étaient prévus dans le cadre de cette journée d'action nationale
Organisée à l'appel d'une dizaine de syndicats et collectifs de soignants, ces premières manifestations autorisées ont été infiltrées dans plusieurs villes. Il apparaît que les casseurs sont les mêmes qui font dégénérer les autres rassemblements, que ce soient les Gilets jaunes ou les anti-racistes racisés, tous soutenus par l'ultra-gauche, dont Mélenchon (LFI) qu'on retrouve partout où il y a du grabuge
A Nantes, où environ 5.500 personnes ont participé à la marche pacifique des soignants, des heurts ont éclaté devant la préfecture. "La manifestation depuis le CHU jusqu'à la préfecture s'est déroulée plutôt bien dans l'ensemble, a déclaré à l'AFP Johann Mougenot, directeur de cabinet de la préfecture de Loire-Atlantique. Mais une vingtaine d'individus cagoulés ont lancé des mortiers dans l'enceinte de la préfecture. Des membres du cortège leur ont demandé d'arrêter de lancer des projectiles. Les forces de l'ordre ont répliqué en faisant usage de gaz lacrymogène et de lance à eau".
A Toulouse, des individus masqués et quelques 'Gilets jaunes', selon Le Figaro, des heurts ont éclaté entre les les fauteurs de trouble et les forces de maintien de l'ordre, alors que les blouses blanches rejoignaient leurs cars. "Reculez, la manifestation n'était pas déclarée!", ont crié les forces de l'ordre. Les manifestants ont répliqué par une pluie de pavés qui ont suscité des jets de gaz lacrymogène et plusieurs charges. Policiers et gendarmes ont ensuite tenté de disperser les casseurs dans les rues adjacentes, menaçant de verbalisations en cas de refus. "Il faut fermer!", a conseillé un policier à un commerçant. "Vous, vous tuez, nous on sauve des vies, Monsieur!", lui a alors répliqué, sous les applaudissements, une femme vêtue d'une blouse blanche, pour discréditer les soignants.
<br>La préfecture de police de Paris indique avoir procédé à... 16 interpellations dans la capitale depuis le début du défilé. Une dizaine de policiers ont été blessés. A 18 heures, on comptait 24 arrestations.
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