Unis contre la campagne de dénigrement de la gauche et des Indigénistes
Les policiers indignés se sont rassemblés devant le Bataclan à Paris, lieu symbolique des attentats du 13-Novembre, pour protester contre leurs accusateurs et le lâchage par leur ministre
Plus de 200 d'entre eux ont défendu leur profession vendredi soir contre les accusations de racisme et de violences systémiques.
Plusieurs dizaines de fourgons, motos, et voitures ont occupé l'espace public devant la salle de concert vers 23h30, sans causer de blocage incontournable. En civil ou en tenue, arme à la ceinture, les policiers ont déposé leurs menottes en silence sur la chaussée, avant d'entonner une Marseillaise en signe de protestation et de fidélité à la République.
Lors des attentats islamistes du 13 novembre 2015, deux policiers de la BAC (brigade anti-criminalité) avaient été les premiers à intervenir au Bataclan et avaient tué l'un des terroristes.
"On réfute les accusations de violences et de pseudo-racisme", a fermement répété un des participants. "On ne comprend pas d'avoir été acclamés à l'époque des attentats et d'être pointés du doigt aujourd'hui." C'est juste que ce ne sont pas les mêmes: une minorité agissante et soutenue par la presse de gauche occupe l'espace médiatique que leur abandonne la France silencieuse.
Les fonctionnaires présents vendredi ont aussi dénoncé leur lâchage par Castaner, ministre soumis aux groupes de pression et à la rue
"Notre hiérarchie nous lâche en pâture sur la voie publique", a tonné un policier du Val-de-Marne, venu spécialement. "Ils nous demandent beaucoup de choses, ils ne nous donnent pas de moyens et après ils nous crachent dessus. (...) On veut nous retirer la clé d'étranglement, mais c'est quoi l'alternative ? Si on la fait sur quelqu'un, c'est que cette personne n'est pas très docile."
Caillassage de policiers par Fadila, soignante aux petits soins |
Depuis son discours du 8 juin annonçant la fin de l'enseignement d'une méthode d'interpellation dite 'clé d'étranglement', une "prise au coup" nécessaire en cas de rebellion de l'interpellé(e) et pratiquée dans le judo, Christophe Castaner doit assumer sa décision, prise à chaud, sous la pression des Indigénistes racialisés et sans concertation, exposant les forces de maintien de l'ordre et de protection de la population à la violence des délinquants violents, sans mode de défense alternatif assurant leur sécurité.
Plusieurs rassemblements ont eu lieu ces deux dernières semaines
Ils ont déjà protesté en Ile-de-France, comme devant l'Arc de Triomphe, avec le jet à terre de menottes en protestation symbolique, mais le gouvernement continue de mettre en danger ses fonctionnaires de police, restant insensible à leurs appels à les soutenir contre les attaques politiciennes de la gauche.
Le ministre a préféré les paroles aux actes vendredi, lors d'un déplacement à l'école nationale de la police à Saint-Cyr-au-Mont-d'Or, où Castaner a évoqué "le respect" dû aux policiers, pensant peut-être les convaincre ainsi de son soutien. "Nous serons là pour défendre votre honneur, à chaque fois qu'il sera attaqué (...): vous n'êtes pas seuls", a-t-il raconté à plusieurs nouveaux officiers et commissaires en fin de formation.
Le gouvernement accroît les difficultés de recrutement de policiers.
Alors que, en février 2018, les renforts en effectifs devaient être multipliés par dix en l’espace de cinq ans, selon les annonces, l’institution signalait déjà qu'elle réussissait de moins en moins à attirer des profils de qualité.
La mollesse du "kéké" de Marseille et ses faux pas à répétition ont alimenté l'argumentaire des la gauche anti-flics et racisée, finissant de dissuader les jeunes désireux de servir.
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