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mercredi 17 juin 2020

Presse institutionnelle anti-républicaine: traitement populiste de l'anti-racisme et des interpellations policières

Son traitement de l'information révèle une presse alignée sur un pouvoir démissionnaire

La presse achète la paix commerciale de... ses annonceurs


La dictature du sensationnel conduit à l''inversion des valeurs des journalistes et de leurs chroniqueurs,
paresseux soucieux de plaire aux puissants, imbus de leur position de courtisans, attachés à leurs privilèges et méprisant des "gens" qui pourraient pourtant leur expliquer tout ce qui leur échappe en collant servilement aux éléments de langage officiels qui enténèbrent leurs cerveaux  et réduisent leur champ de compréhension.

Les media ont accompagné les derniers fourvoiements du pouvoir.  
A droite comme à gauche, et au centre en recherche permanent de convictions, tout le monde les déteste pour leur contribution au chaos général dans lequel les Français cherchent une lumière. Ils la trouvent dans les réseaux sociaux, ce qui crée un embarras supplémentaire. 

Nos analystes auto-proclamés ne distinguent plus la cause des conséquences 

Soumis à l'instant et à la concurrence entre les groupes d'intérêts qui les assujettissent, ils ne pensent plus: oublions qu'ils puissent réfléchir, puisqu'ils parlent eux-mêmes de récit de l'actualité, par le petit bout de la lorgnette, tout en assurant qu'ils prennent du recul, de la distance et de la hauteur ! Ce qui les gouverne est la nécessité de complaire à leurs maîtres et de flatter le plus grand nombre possible de gogos.

Si l'AFP ne met pas en exergue pour eux les documents qui leur permettraient de mettre les faits en abyme, les copieurs-colleurs paresseux passent à côté de l'essentiel et nous servent tous la même soupe, en même temps et dans les mêmes termes. Ils parlent eux-mêmes de "récit" de l'actualité. De fait, l'info est parcellaire, décontextualisée et dépouillée de toute transversalité et référence à l'Histoire, même récente: le petit bout de la lorgnette va très bien au quidam, pensent-ils. Peu importe le contenu de consensualité insipide, dès l'instant qu'on a le contenant vendeur, le paraître. La crédibilité est proportionnelle à l'apparence, puisque l'habit fait le moine  : porter ou ne pas porter la cravate, se peindre les ongles en rouge, se faire brusher leurs cheveux (dé)colorés et se prendre des poses, la bouche en tuyau d'évacuation et l'air important, et asséner l'un derrière l'autre qu'ils prennent du recul, de la distance et de la hauteur ! 
Passons sur les prétentions des illettrés de niveau bac+5, nombreux parmi eux, qui ânonnent leurs fiches comme un député LREM ou ignorent toute liaison (les "affairetrangères") ou en prononcent mal-à-propos ("cent-z-élus") et à qui, outre l'orthographique réflexe, manquent les bases stylistiques qui permettrait la compréhension orale et même visuelle. 
Difficile en revanche d'ignorer les "fact checkers" puisque tous les organes de presse s'enorgueillissent d'en être dotés pour apporter la contradiction sur des nuances, en pinaillant notamment sur des chiffres à qui on fait de toute façon dire ce qu'on veut.

Ils n'attaquent pas isolés: ils agissent en meute.
La solidarité professionnelle ignore la déontologie et ils se serrent les coudes: ne jamais avouer une source non vérifiée ni un plagiat, ni une erreur. Les réseaux sociaux sont à cet égard à la fois des contributeurs faciles d'informations et de vidéos, mais des rivaux difficiles et décriés. La règle est de ne jamais avouer, mais de se plaindre au premier mot de travers d'un élu sur un arrogant de la presse et les blancs-becs sont légion.  

Ils se défendent de subir le joug du buzz et de l'audimat ?

La presse fait polémique de tout ou propos ou problème de terrain. 
Chaque entretien se termine sur une question vacharde susceptible de mettre à mal l'acteur politique invité et de le faire chuter: ce journaliste-là touche-t-il une prime pour chaque piège tendu, embûche dressé ou guet-apens, façon racaille contre pompiers ?

"
Que sait-on des insultes antisémites entendues lors du rassemblement pour Adama Traoré ?,
interroge CheckNews (Libération) 
On voit d'emblée venir le déni: le doute sur leur réalité est contenu dans la question. Et ça commence bille en tête: "Selon des témoins interrogés [le secret des sources dispense de l'identification desdits "témoins"?], ces cris ne reflètent pas l'ambiance générale de la manifestation." Assertion !

VOIR et ENTENDRE la version nettoyée de la vidéo des insultes anti-sémites proférées par les activistes anti-racistes mobilisés par le ComitéPourAdama animé par l'ultra-gauche en sous-main de la famille Traoré: 

Ce qui lui va mal, à cette caste de journalistes prétentieux, c'est d'avoir à partager avec les réseaux sociaux ce buzz dont ils avaient jusqu'ici l'exclusivité de la fabrication. Les internautes sont partout et ils sont désormais les pourvoyeurs de matériel aux professionnels de l'investigation au téléphone. Malaise parmi d'autres, ces arrogants media vertueux veulent pourtant se faire rétribuer par les internautes sur le dos de leurs contributeurs internautes...

En février 2019, Libération distinguait déjà les "vrais" des faux anti-racistes.

La découverte de l'"anti-racisme racisé" ne date donc pas d'aujourd'hui.
Les "bons" répondaient à l'appel du "NPA et d'associations antiracistes,  rassemblement alternatif3 à celui des "méchants" de la Place de la République.















«Les vrais antiracistes, ils sont là ce soir.» Echarpe tricolore autour du cou, Madjid Messaoudene, conseiller municipal (Front de gauche) à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), annonce la couleur. «Il y a une flambée des actes antisémites : il fallait donc marquer le coup en les dénonçant fermement ce soir, insiste-t-il. J’ai d’ailleurs tout de suite condamné la façon dont Alain Finkielkraut a été alpagué samedi par des gilets jaunes. Mais il ne faut pas oublier les autres discriminations.» En ce sens, le Séquano-Dionysien rejoint les centaines de personnes attroupées place Jean-Ferrat, dans le XXe arrondissement de Paris, «contre l’antisémitisme et son instrumentalisation». A l’appel de l’Union juive française pour la paix (UJFP), de formations d’extrême gauche (dont le NPA), mais aussi d’associations antiracistes (Comité Adama, collectif Rosa Parks, etc.) et du controversé Parti des indigènes de la République (PIR), un deuxième rassemblement, alternatif au grand raout de la place de la République, a en effet été organisé mardi soir dans la capitale pour condamner l’antisémitisme, «parmi tous les racismes», mais surtout pour dénoncer la récupération politique de la part des grandes formations de droite comme de gauche de la haine antijuifs. 
«Il faut faire entendre une voix ferme et unitaire contre l’antisémitisme, prévient à ce propos l’universitaire Julien Salingue, figure du NPA, devançant les éventuelles accusations. En revanche, comment faire confiance aux pompiers pyromanes qui ont mené des politiques racistes ces dernières années ?»
N'est pas anti-raciste qui veut ! C'est la chasse gardée des pratiquants du double-jeu politicien. 
Libération instrumentalisait déjà les "Gilets jaunes" (ci-dessus).

Bizarrement, Le Monde a enfoui le sujet, à la différence du HuffingtonPost appartenant à son groupe de presse: l'antisémitisme ne mérite-t-il pas mieux qu'une répartition des rôles ?

Sur Twitter, un journaliste du Figaro présent à la manifestation a publié une autre vidéo dans laquelle pourrait se trouver une autre insulte antisémite.
Il ne serait pourtant pas compliqué de nettoyer cette vidéo, si on veut vraiment établir avec certitude ce qui a été crié.Bref, notre presse fait l'impasse sur ce qui dérange: elle polémique à sens unique.
Prenons l'exploitation médiatique des anti-racistes racisés

Les organes de presse se débloquent sur le sujet du  "vrai" anti-racisme",
comme dirait l'autre.



Mais ils polémiquent en inversant les propositions: les causes et les conséquences ne disent pas la même chose et privilégier les dernières, c'est prendre le parti du criminel contre la victime innocente.
Ce qui devrait faire polémique, ce n'est pas l'interpellation musclée d'une femme racisée violente qui invective et jette des morceaux de pavé sur les fonctionnaires de police en charge de la sécurité publique, mais que la France en soit arrivée à ce degré de haine anti-flic.

Le traitement de l'information révèle une presse alignée sur un pouvoir démissionnaire





1 commentaire:

  1. Bonjour les gars, contactez deadlyhacker01@gmail.com ou Whatsapp: +1 3478577580 si vous avez besoin d'embaucher un vrai pirate pour surveiller à distance le téléphone portable de votre conjoint

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