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lundi 22 juin 2020

Sibeth, porte-parole qui provoque les policiers

Son malaise éclabousse l'exécutif et provoque la fureur des policiers

Ndiaye a jeté de l'huile sur le feu en exprimant des hésitations racisées révélatrices de son retour à ses origines
 

La question se pose désormais de savoir si la porte-parole du gouvernement est solidaire de l'exécutif ou des anti-racistes racisés, depuis qu'elle a commenté l'interpellation de l'infirmière violente à Paris, lors de la manifestation des soignants du 16 juin dernier, ont suscité la colère des syndicats de police.

Sibeth Ndiaye n'a pas clairement et fermement condamné les violences envers les forces de l'ordre. Elle a en effet avoué ne pas savoir "expliquer" à ses enfants "s’il est normal, ou pas, de jeter des pierres sur les forces de l’ordre"...

Cet aveu en dit long sur son appartenance à une collectivité plutôt qu'une autre. Dans l’émission Dimanche en politique ce dimanche 21 juin sur France 3, cette collègue de Christophe Castaner a révélé ses incertitudes, quand, d'une porte-parole de gouvernement, on attend des convictions.

Le pouvoir macronien s'est placé sous la dictature de l'émotion  

"Moi je comprends l’émotion qu’a suscitée l’image qu’on a vu de son arrestation mais, en même temps, je ne saurais pas expliquer aujourd’hui à mes enfants s’il est normal, ou pas, de jeter des pierres sur les forces de l’ordre", a-t-elle tergiversé. "Ces propos, tenus par la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye, sont indignes de ses fonctions", a réagi le syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN), sur Twitter.

"Nous en appelons désormais au président Emmanuel Macron ou au Premier ministre Edouard Philippe : de tels propos tenus par des ministres du gouvernement sont contraires aux valeurs de la République et contribuent au désordre sécuritaire de notre pays. Cela ne peut plus durer", s'est indigné le syndicat.

Ça n’est pas à la porte-parole du gouvernement de décider quelle doit être la décision de justice qui doit être prise

Interrogée sur Farida, cette infirmière en blouse blanche qui s'était comportée en anti-raciste racisée lors d'une manifestation de soignants, insultant la police, lui adressant des injures et doigts d'honneur, tout en jetant des morceaux de pavés sur les forces de l'ordre, la porte-parole du gouvernement avait tout dit et son contraire. La presse pro-gouvernementale et qui fait le buzz en privilégiant les conséquences plutôt que les causes, ne retient qu'une partie des propos de Sibeth Ndiaye. Si elle a assuré en début d'entretien que "la justice doit s’exercer de manière normale, comme pour n’importe quel citoyen", ajoutant: "Je ne vois pas en quoi il faudrait l’absoudre", Sibeth Ndiaye est pourtant une porte-parole du gouvernement qui avoue ne pas savoir comment expliquer à ses filles qu'il ne faut pas caillasser cette police....  
"Moi je comprends évidemment l'émotion qu'a suscitée l'image qu'on a vue de son arrestation, confie Sibeth Ndiaye, mais en même temps, je ne saurais pas expliquer aujourd'hui à mes enfants, par exemple : est-ce qu'il est normal ou pas de jeter des pierres sur les forces de l'ordre ?"
"Je crois que la justice, qui est parfaitement indépendante dans notre pays, doit juger en droit ce qu’il s’est passé. Ça n’est pas à la porte-parole du gouvernement de décider quelle doit être la décision de justice qui doit être prise", a finalement déclaré la porte-parole du gouvernement, tentant de rétablir un soupçon de neutralité sur l'affaire, dans laquelle elle a manifestement commis une grave erreur en ne condamnant pas clairement et fermement les violences à l'encontre des forces de l'ordre, sans cet  "en même temps" scandaleux et offensant qui la range du côté des indigénistes. 

"A un moment donné il faut qu’on soit capable de considérer que la justice est la même pour tous. Il peut y avoir des circonstances atténuantes, ça ne m’appartient pas de le dire", juge Sibeth Ndiaye qui, à l'instar de son maître, ne sait pas parler quand c'est utile, mais se taire quand elle n'a pas les idées claires.
"On peut tous être amenés, dans des circonstances particulières, à être à bout de nerfs, est-ce que pour autant ça justifie qu’on jette des pierres sur les forces de l’ordre ? Que dirions-nous au fils ou à la fille du CRS qui reçoit cette pierre dans le visage ? Que c’est pas grave, non on peut pas le dire", a-t-elle toutefois estimé. Sans qu'on sache au final si ses enfants peuvent s'y retrouver dans ce galimatias.
La porte-parole diarrhéique s'est salie sur elle et conclut d'une phrase creuse qui n'essuie rien: "Il faut que la justice se fasse en toute indépendance. Nous verrons ce que les juges auront à dire de cela". 
Ce qu'en pensent les policiers est tout vu.

Quant à elle, il est plus que temps qu'elle aille se faire embaucher par LVMH...

2 commentaires:

  1. Sy Bétassejuin 23, 2020

    De la part d'une menteuse revendiquée, tant de sincérité anti-flics laisse sans voix !

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  2. Bonjour les gars, contactez deadlyhacker01@gmail.com ou Whatsapp: +1 3478577580 si vous avez besoin d'embaucher un vrai pirate pour surveiller à distance le téléphone portable de votre conjoint

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