L'école inquiète les parents: fausse rumeur ou programme inavoué?
Les écoles qui imposent aux garçons des comportements de filles
Ce n'est pas une "rumeur": c'est déjà vrai !
La gauche se défend désespérement, accusant une folle rumeur. C'est l'occasion pour le gouvernement de mettre en cause des mouvements "proches de" l'extrême droite, dans des amalgames dont il a le secret. Il avance en rampant et pointe ses adversaires politiques.
Faut-il rappeler les antécédents de Vincent Peillon en matière de formatage des enfants des écoles sur l'homosexualité. Education à l'homosexualité |
de lui remettre un rapport sur la lutte contre les discriminations liées à l’orientation sexuelle ou à l’identité de genre, en vue d’ actions et mesures concrètes pour la prochaine rentrée. Objectif "Déconstruire la complémentarité des sexes" L'entreprise était préméditée. Dans son rapport publié au printemps dernier, "Eduquer contre l’homophobie dès l’école primaire", le SNUipp-FSU (syndicat national unitaire des instituteurs et des professeurs des écoles) exposait ses propositions sans ambages.
Cette opération avait été menée en concertation avec Najat Vallaud-Belkacem, la ministre des Droits des femmes, qui abusa de son autorité ministérielle pour faire pression sur les consciences de collégiens, à l'invitation des lobbies LGBT:
VOIR et ENTENDRE la ministre en action:
Les parents ont donc de réels motifs d'inquiétude et tiennent ces ministres à l'oeil.
La détermination de l’actuel gouvernement, notamment celle de Peillon, reste entière.
Sous couvert de lutte contre l’homophobie et les inégalités entre hommes et femmes, ils sont résolus à "arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel" sous prétexte de lui donner la liberté de choix. C’est au nom de cette liberté que, progressivement, insidieusement, les représentants de la nation ont introduit l’indifférenciation des sexes, conséquence de la théorie du genre, dans les crèches et les programmes scolaires, de l’école primaire à l’université. Pour éviter que les filles et les garçons ne constatent qu’ils sont différents, au nom de l’égalité, l’école se doit de les conditionner pour qu’ils se croient indifférenciés: il s’agit en effet de leur permettre de choisir le genre qu'ils souhaitent, la biologie se contentant de leur donner un sexe physiologique.
Les parents vigilants ont suivi un appel au boycottage de l'école
Les parents vigilants ont suivi un appel au boycottage de l'école
Nouveau livre de lecture: la méthode syllabique est dépassée ! |
Lundi, le boycottage visait l'Ile-de-France mais, au total, depuis vendredi, une centaine d'écoles sur les 48.000 établissements publics ont ainsi été sensibilisées. Et le phénomène pourrait ne pas être terminé, le mouvement "Journée de retrait de l'école" ayant dressé un calendrier des villes concernées par l'appel allant jusqu'au 10 février.
Mais que dit cette rumeur pour susciter une telle réaction des parents ?
Les SMS, qui ciblaient essentiellement la communauté musulmane, affirmaient que les enseignants allaient apprendre la théorie du genre aux enfants. A Meaux, relate ainsi Le Parisien, les familles ont reçu un message assurant que "l'Education nationale va enseigner à nos enfants qu'ils ne naissent pas fille ou garçon comme Dieu l'a voulu, mais qu'ils choisissent de le devenir. Avec des intervenants homos et lesbiennes qui viendront leur bourrer la tête d'idées monstrueuses...". Ce qu'ont démontré les prestations de Vallaud-Belkacem: cf. video ci-dessus...
Il paraît que ce sont des inventions... |
Qui propage la rumeur ?
Le propre de la rumeur est d'être diffuse et d'origine incertaine, mais Libération a des assurances sur cette rumeur-là... "Pour l'académie du Doubs comme pour les enseignants de Seine-et-Marne, il n'y a guère de doute : c'est Farida Belghoul", rapporte Libération, amateur d'amalgames et diffuseur d'éléments de langage officiels villipendant la communauté musulmane. "Figure des rassemblements antiracistes des années 80', cette militante s'est donnée pour nouveau combat la lutte contre l'introduction de la "théorie du genre" à l'école. Elle est notamment soutenue par le polémiste Alain Soral, fondateur de l'association Égalité et réconciliation, ancien membre du FN et proche de Dieudonné. Et finalement, Farida Belghoul a dit être en partie à l'origine de cet appel au boycott[age] de l'école sur le site zamanfrance.fr. Dans un article sereinement intitulé "Les opposants aux études de genre, de plus en plus idiots", Rue89, site du groupe Nouvel Observateur, la décrit comme "la militante [qui] a décidé de ne plus s'habiller que "selon sa nature première", c'est-à-dire de ne plus porter que des robes."
Farida Belghoul révèle notamment le contenu des "ABCD de l'égalité à l'école",
un dispositif actuellement expérimenté dans une dizaine d'académies et dont l'objectif est de réduire les inégalités homme-femme à travers un apprentissage visant à respecter l'un des sexes au détriment de l'autre.
Toute ressemblance avec des personnes
ou des religions existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite. |
Le 13 décembre dernier, elle lance la "Journée de retrait à l'école" (JRE), qui invite les parents à retirer leurs enfants de l'école une journée par mois à partir de janvier 2014 pour protester contre l'entrée déguisée de la théorie du genre à l'école. Les premiers jours fixés étaient les 24 et 27 janvier...
La presse "indépendante" nous a-t-elle informés de l'impact de la première de ces journées?
Ce que Libération occulte n'aura échappé à nul autre qui sait lire: les noms des contacts sont en effet clairement connotés et leurs porteuses, discriminées... Lien video
La découverte du pot-aux-roses embarrase l'Éducation nationale.
Outre que la presse aux ordres est mobilisée, des messages ont été envoyés aux responsables des écoles expérimentales concernées par les programmes ABCD pour les informer de cette campagne SMS et leur demander d'enfumer les parents qui sont aux cent coups. Elément de langage obligé: affirmer que la méthode ABCD "favorise l'égalité, la mixité et propose des outils pour lutter contre les stéréotypes", comme le fait l'inspecteur d'académie du Territoire de Belfort, Patrick Mellon. Et de garantir dans l'Est Républicain, que "les parents n'ont aucune crainte à avoir en mettant leurs enfants à l'école publique"...
La réponse d'un ministre de l'Education cerné
"Je veux très solennellement rassurer tous les parents de France : n'écoutez pas ceux qui veulent semer la division et la haine dans les écoles, lance Peillon avec une violence à la hauteur de la gravité de son engagement dans la théorie du genre. Ce que nous faisons ce n'est pas la théorie du genre -je la refuse-, c'est promouvoir les valeurs de la République et l'égalité entre les hommes et le femmes", a asséné le fauteur de troubles de l'Education nationale à l'Assemblée nationale.
VOIR et ENTENDRE Vincent Peillon nier devant les députés, les yeux dans les yeux, mais tournant le plus souvent le dos aux élus de droite, que ses projets visent à l'uniformisation des sexes:
Sur la masturbation à l'école, Libération ridiculise les parents, en gros caractères
"Non, vos enfants ne devront pas se masturber à la maternelle", raille le quotidien socialiste... Dans le cadre d'un programme d'éducation à l'égalité homme-femme, les excisées partent néanmoins avec un lourd handicap...
Ce qui nécessite d'autant plus le "DÉCRYPTAGE" d'un complot par Libération - "De mystérieux SMS se propagent chez les parents français, affirmant que la masturbation serait sur le point d'être enseignée à l'école. A Rennes, d’étranges messages circulent. "Depuis quelques jours, suite à l’envoi de mystérieux SMS, des enfants ne sont pas venus en cours", relate Ouest France. "Des SMS indiquant que dans les écoles, des cours d’éducation sexuelle et de masturbation étaient donnés et conseillant donc aux parents de ne pas envoyer leurs enfants", continue le journal."
Décryptage signifie donc désormais ridiculisation. Libération recourt au conditionnel pour rapporter des faits, mais le quotidien socialiste passe à l'indicatif pour asséner ses propres commentaires. "Après leur échec contre le mariage gay, les groupuscules autour de la Manif pour Tous et/ou d’Alain Soral [on ne sait visiblement pas !] et son site Egalité et Réconciliation, ont désormais un nouveau cheval de bataille, la lutte contre ce qu’ils appellent la "théorie du genre".
L'EN estime qu'il ne faut pas mêler sexualités adulte et enfantine: à preuve ! |
Décryptage signifie donc désormais ridiculisation. Libération recourt au conditionnel pour rapporter des faits, mais le quotidien socialiste passe à l'indicatif pour asséner ses propres commentaires. "Après leur échec contre le mariage gay, les groupuscules autour de la Manif pour Tous et/ou d’Alain Soral [on ne sait visiblement pas !] et son site Egalité et Réconciliation, ont désormais un nouveau cheval de bataille, la lutte contre ce qu’ils appellent la "théorie du genre".
Ils ne sont pourtant pas les seuls! Cette théorie venue d'outre-atlantique s'est en effet propagée dans les pays occidentaux depuis les milieux gauchistes internationaux. Libération continue donc de répandre le doute sur un phénomène pourtant planétaire de déstabilisation, stigmatisant l'extrême droite française à des fins politiciennes, comme si elle était seule dans le monde à combatrre cette théorie dévastatrice, évidemment reprise par nos lobbies des godillots internationaux.
Retour au conditionnel de suspicion. "Représentée par un escargot hermaphrodite, elle remettrait en cause notre vision naturelle du monde et serait imposée à nos enfants innocents." Reprise des accusations. "Face à cela, l’écrivaine Farida Belghoul, proche de l’essayiste d’extrême droite et qui participait à Jour de Colère, propose d’organiser des 'Journées de retrait de l’école' pour "protéger la pudeur et l’intégrité de nos enfants". A aucun moment Libération n'a encore "décrypté" le fond du problème ni osé affirmer que les parents ne sont pas fondés à se méfier.
Les pseudo-décrypteurs colportent la stigmatisation sans rien démontrer
"Le dernier exemple de cette 'perversion' serait selon eux [conditionnel et parti-pris d'exclusion) l’enseignement imminent de la masturbation dès la maternelle. Une rumeur circule de fait sur des sites proches de ces mouvances, comme 24heuresactu, Boulevard Voltaire, de Robert Ménard ou Egalité et Réconciliation." Ils sont passés à la stigmatisation ad hominem, sans jamais démontrer que ces mouvances n'ont aucun motif d'inquiétude. Libération se contente de jeter l'opprobre: "le premier annonce par exemple dans un article du 14 janvier qu’un 'rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) serait actuellement examiné par le gouvernement socialiste. Ce rapport propose notamment d’encourager la 'masturbation enfantine' et de permettre à l’enfant d’exprimer 'ses besoins, ses désirs sexuels' ".
Un si vaste programme justifie en effet le passage de quatre jours d'école à quatre et demi...
Libération passe enfin aux aveux. "Il existe en effet un texte intitulé 'standard pour l’éducation sexuelle', rédigé par le 'centre fédéral allemand pour l’éducation à la santé (BZgA)', un service du ministère de la Santé d’outre-Rhin, par le bureau régional de l’OMS pour l’Europe et par 'un collège d’experts internationaux', dont aucun Français parmi eux. Publié en 2010, il a été traduit en français par Santé sexuelle suisse en 2013, une 'organisation à but non lucratif'[, seulement idéologique, dont l'origine du financement n'est pas précisé]. Indépendante, elle a succédé en 2000 à l’Association suisse de planning familial et d’éducation sexuelle [, ce qui est déjà en soi un indice fort de son orientation partisane à gauche]. C’est à partir de cette traduction que le texte a commencé à circuler sur la toile francophone." Contrairement aux premières lignes de Libération, la rumeur n'est donc pas sans fondement.
Libération passe enfin aux aveux. "Il existe en effet un texte intitulé 'standard pour l’éducation sexuelle', rédigé par le 'centre fédéral allemand pour l’éducation à la santé (BZgA)', un service du ministère de la Santé d’outre-Rhin, par le bureau régional de l’OMS pour l’Europe et par 'un collège d’experts internationaux', dont aucun Français parmi eux. Publié en 2010, il a été traduit en français par Santé sexuelle suisse en 2013, une 'organisation à but non lucratif'[, seulement idéologique, dont l'origine du financement n'est pas précisé]. Indépendante, elle a succédé en 2000 à l’Association suisse de planning familial et d’éducation sexuelle [, ce qui est déjà en soi un indice fort de son orientation partisane à gauche]. C’est à partir de cette traduction que le texte a commencé à circuler sur la toile francophone." Contrairement aux premières lignes de Libération, la rumeur n'est donc pas sans fondement.
Libération banalise les objectifs de ce texte à l'étude au ministère
"Le but de ce rapport, selon la préface, est de 'donner aux enfants et aux jeunes une éducation adéquate en matière de sexualité' pour lutter contre les MST, IST, violences sexuelles et grossesses non désirées... Le texte souligne toutefois qu’il n’y a aucune norme pour l’éducation sexuelle à l’échelle européenne et espère donc 'combler cette lacune'.
Regrettant que l’approche de la sexualité par les professionnels soit 'essentiellement négative', ces experts demandent une vision plus positive afin de permettre l’émergence d’une sexualité responsable et tolérante." Mais que ces choses-là sont dites en termes voilés! N'est-ce pas d'ailleurs la féministe Martine Aubry qui nous déjà ms en garde contre Hollande en affirmant: "Quand c'est flou, c'est qu'il y a un loup"?
Premier point. Si le rapport propose d’éduquer dès le plus jeune âge, il parle 'd’éducation sexuelle et relationnelle' au sens large, c’est-à-dire incluant des discussions sur l’amitié ou le "sentiment de sécurité".
Deuxième point. Le rapport propose une 'matrice' de modules à mettre en place selon les âges avec plusieurs thèmes, 'corps humains et développement', 'fertilité et reproduction', 'sexualité', 'émotion'.
Dans la catégorie sexualité, pour les 0-4 ans et les 4-6 ans, il conseille d’informer l’enfant sur 'le plaisir et la satisfaction liés au toucher de son propre corps, la masturbation enfantine précoce', et la 'découverte de son propre corps et de ses parties génitales'. Que signifie 'informer' les tout-petits si, comme on l'affirme, le foetus commence à se masturber in utero ? Si le phénomère est inné, pourquoi forcer les acquis? L'Education nationale n'outrepasse-t-elle pas les limites de ses prérogatives ? L'Etat doit-il s'ingérer dans l'intime des enfants ?
"Le but de ce rapport, selon la préface, est de 'donner aux enfants et aux jeunes une éducation adéquate en matière de sexualité' pour lutter contre les MST, IST, violences sexuelles et grossesses non désirées... Le texte souligne toutefois qu’il n’y a aucune norme pour l’éducation sexuelle à l’échelle européenne et espère donc 'combler cette lacune'.
Regrettant que l’approche de la sexualité par les professionnels soit 'essentiellement négative', ces experts demandent une vision plus positive afin de permettre l’émergence d’une sexualité responsable et tolérante." Mais que ces choses-là sont dites en termes voilés! N'est-ce pas d'ailleurs la féministe Martine Aubry qui nous déjà ms en garde contre Hollande en affirmant: "Quand c'est flou, c'est qu'il y a un loup"?
Premier point. Si le rapport propose d’éduquer dès le plus jeune âge, il parle 'd’éducation sexuelle et relationnelle' au sens large, c’est-à-dire incluant des discussions sur l’amitié ou le "sentiment de sécurité".
Deuxième point. Le rapport propose une 'matrice' de modules à mettre en place selon les âges avec plusieurs thèmes, 'corps humains et développement', 'fertilité et reproduction', 'sexualité', 'émotion'.
Dans la catégorie sexualité, pour les 0-4 ans et les 4-6 ans, il conseille d’informer l’enfant sur 'le plaisir et la satisfaction liés au toucher de son propre corps, la masturbation enfantine précoce', et la 'découverte de son propre corps et de ses parties génitales'. Que signifie 'informer' les tout-petits si, comme on l'affirme, le foetus commence à se masturber in utero ? Si le phénomère est inné, pourquoi forcer les acquis? L'Education nationale n'outrepasse-t-elle pas les limites de ses prérogatives ? L'Etat doit-il s'ingérer dans l'intime des enfants ?
Le loup serait-il une déculpabilisation ou une incitation ?
Le temps est clairement révolu où l'école était un sanctuaire inviolable. Son ouverture aux entreprises aura été la porte ouverte aux intervenants extérieurs en tous genres, notamment pour l'enseignement des langues, d'abord. Maintenant, l'Etat s'insinue au plus profond des consciences et des intimités individuelles. Certes il délègue, mais il choisit ses bras armés. Les hussards de la Républiques, comme les familles, sont écartés. "Les cours d’information devraient être menés par des spécialistes externes à l’école (médecins, infirmières, sages-femmes, éducateurs sociaux, psychologues, etc.). Les rédacteurs mettent pourtant ces "experts" en garde: "lorsque l’on parle de comportements sexuels des enfants et des jeunes, il est primordial de garder à l’esprit que la sexualité des enfants est différente de celle des adultes"... Et de préciser à toutes fins utiles qu’ "il est faux d’analyser les comportements sexuels des enfants et des jeunes du point de vue de la sexualité des adultes"... Voilà donc que les associations que le candidat Hollande avait promis de généreusement doter entrent par les fenêtres, puisque le pouvoir français se défend de vouloir rééduquer les enfants des écoles à la faveur de l'extension des rythmes scolaires.
Le temps est clairement révolu où l'école était un sanctuaire inviolable. Son ouverture aux entreprises aura été la porte ouverte aux intervenants extérieurs en tous genres, notamment pour l'enseignement des langues, d'abord. Maintenant, l'Etat s'insinue au plus profond des consciences et des intimités individuelles. Certes il délègue, mais il choisit ses bras armés. Les hussards de la Républiques, comme les familles, sont écartés. "Les cours d’information devraient être menés par des spécialistes externes à l’école (médecins, infirmières, sages-femmes, éducateurs sociaux, psychologues, etc.). Les rédacteurs mettent pourtant ces "experts" en garde: "lorsque l’on parle de comportements sexuels des enfants et des jeunes, il est primordial de garder à l’esprit que la sexualité des enfants est différente de celle des adultes"... Et de préciser à toutes fins utiles qu’ "il est faux d’analyser les comportements sexuels des enfants et des jeunes du point de vue de la sexualité des adultes"... Voilà donc que les associations que le candidat Hollande avait promis de généreusement doter entrent par les fenêtres, puisque le pouvoir français se défend de vouloir rééduquer les enfants des écoles à la faveur de l'extension des rythmes scolaires.
Libération cherche à endormir les familles
"Rappelons-le, ce n’est pas une loi, mais des recommandations d’un bureau fédéral allemand, traduit par une organisation suisse" insiste l'organe de presse gouvernementale. "En France, il n’a aucune valeur législative, évidemment." Admirons au passage ce "évidemment" en gros souliers ! "En Allemagne non plus, où ces décisions se passent plutôt au niveau régional." Comparaison de mauvais aloi, puisque nous fonctionnons en effet différemment. "L’un des quotidiens de référence germaniques, Die Welt, consacrait récemment un long papier à la question de l’éducation sexuelle, qui fait aussi débat dans ce pays." Ainsi donc l'opposition française ne serait pas aussi isolée dans sa lutte contre les insidieux projets de Peillon. "Dans une classe de 11-12 ans, huit enfants se seraient évanouis après avoir vu des organes sexuels dessinés en cours de biologie. Du coup, polémique. Mais si le journal explique qu’il devient de plus en plus difficile de débattre sereinement de ce sujet, Libérartion affirme que Die Welt aborde la question sans évoquer une seule fois "ce rapport qui inquiète tellement certains milieux chez nous, preuve de son importance toute relative," écrit Libération en conclusion de son pittoresque "décryptage".
"Rappelons-le, ce n’est pas une loi, mais des recommandations d’un bureau fédéral allemand, traduit par une organisation suisse" insiste l'organe de presse gouvernementale. "En France, il n’a aucune valeur législative, évidemment." Admirons au passage ce "évidemment" en gros souliers ! "En Allemagne non plus, où ces décisions se passent plutôt au niveau régional." Comparaison de mauvais aloi, puisque nous fonctionnons en effet différemment. "L’un des quotidiens de référence germaniques, Die Welt, consacrait récemment un long papier à la question de l’éducation sexuelle, qui fait aussi débat dans ce pays." Ainsi donc l'opposition française ne serait pas aussi isolée dans sa lutte contre les insidieux projets de Peillon. "Dans une classe de 11-12 ans, huit enfants se seraient évanouis après avoir vu des organes sexuels dessinés en cours de biologie. Du coup, polémique. Mais si le journal explique qu’il devient de plus en plus difficile de débattre sereinement de ce sujet, Libérartion affirme que Die Welt aborde la question sans évoquer une seule fois "ce rapport qui inquiète tellement certains milieux chez nous, preuve de son importance toute relative," écrit Libération en conclusion de son pittoresque "décryptage".
Tandis que la question interpelle le monde entier, en France, après les fredaines nocturnes d'un président casqué, le HuffPost nie tout en bloc en caractères gras: "La théorie du genre ça n'existe pas!" et "en Belgique, on titre "France : les enfants vont-ils apprendre à se masturber à l'école ?", Dominique Bertinotti, ministre déléguée auprès de Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, est chargée de la Famille mais n'est pas entrée dans l'arène pour rassurer les parents.
Le bonheur des pédophiles est pour bientôt...............quelle horreur mais que font ils tous à démolir les enfants et mettre de côté les parents qui ne sont plus que des reproducteurs..................enfin faut le dire vite, des parents ça dépend.
RépondreSupprimerheureuse initiative de cette femme.
RépondreSupprimerQuelle tristesse de gâcher ainsi ton talent. C'est bien écrit, structuré, informatif, ça semble documenté, ça ne l'est pas toujours. Dommage. Et "satirique" c'est tout sauf ce que tu fais. Ce dernier point est une remarque, nullement une critique. Bonne continuation en tous cas, tu as une plume des plus intéressantes même si à mon sens tu te trompes d'ennemis.
RépondreSupprimer"Pas toujours documenté", pour dire que ça l'est trop et que ca derange... Moi j aime. Rigolo tt de meme ce commentaire sympa !
SupprimerDès la maternelle :
RépondreSupprimerhttp://www.snuipp.fr/Parler-d-homoparentalite-et