Le ministre du Budget qualifie Julie Gayet de "compagne" du président
Bernard Cazeneuve a dû vite se ressaisir ...en se rétractant.
A les entendre, les Français ne s'intéresseraient pas au sujet
Cazeneuve, bouche fétide: détartrage pour quand? |
En revanche deux ministres sont visiblement tourneboulés par ce scandale de la tromperie conjugale, mais vertueuse. Stéphane Le Foll a annoncé que le débat sur le financement des allocations familiales va "souffrir", au lien de "s'ouvrir".
Et, avant son tour, le petit Bernard Cazeneuve y est allé de son lapsus ce mercredi 15 janvier. Sur i-télé, réagissant à la nomination de Julie Gayet au jury de la Villa Médicis, apparue sur le site de l'institution, le ministre du Budget a parlé de l'actrice comme étant "la compagne" du président. "François Hollande n'a pas nommé sa compagne", a-t-il déclaré. Avant de se ressaisir. "Euh, d'abord elle n'est pas sa compagne. Et moi, je n'ai rien à confirmer sur le sujet, je n'ai rien à dire."
Le site internet de l'institution culturelle française à Rome indiquait toujours ce mercredi 15 janvier que l'actrice faisait partie de ce jury chargé de la sélection des quinze futurs pensionnaires. La ministre de la Culture Aurélie Filippetti a fait savoir qu'elle a décidé de ne pas nommer Julie Gayet, dont le magazine "Closer" a révélé la liaison avec le président François Hollande. Sans autre commentaire.
"Je n'ai rien à confirmer sur le sujet, je n'ai rien à dire." Le ministre indélicat du sombre Ayrault a perdu une occasion de se taire.
Comme on demandait à Aurélie Filippetti quel est l'ersatz qui a accepté de jouer les bouche-trous,
Aurélie Filippetti aka. Genevieve de Fontenay |
plutôt que de se faire discrète, la ministre a estimé à propos du couac de la nomination et du retrait de la maîtresse du président Hollande que "c'est une fausse polémique".
Dans le registre, "c'est pas moi, c'est l'autre", Aurélie Filippetti a aussi affirmé que c'est le directeur de la Villa Médicis qui a proposé le nom de Julie Gayet, bien que ce soit une prérogative du ministère.
Comme on lui demandait encore qui remplacera l'actrice, la ministre de la Culture a donné le nom du succédané: "Ce sera Emmanuelle Bernheim, une scénariste, une professionnelle de talent", âgée de 59 ans.
Une troisième femme, avec Anne-Marie Clairet, Marie-Agnès Gillot et Lucia Ronchetti , mais aucun homme dans cette fournée: avec Peillon et NVB, l'Education nationale est engagée dans la confusion des genres, mais elle devra attendre dans les nominations, mêmes aux postes honorifiques.
Sans vouloir offenser les femmes honnêtes et talentueuse, la question sur toutes les lèvres était: "De qui est-elle la maîtresse?"
Vu l'état de déliquescence du pouvoir, les paris vont bon train: Michèle Delaunay, bien que branlante, ou Nicole Bricq, qui a remonté ses chaussettes?
Bouche pleine de m...de. Voilà ce que disait ma grand mère d'une personne qui ne disait que des mensonges et faisait des commérages.
RépondreSupprimerCe type nommé par défaut a lui aussi accepté de jouer les bouche-trous. Décidément ce gouvernement n'est qu'un gouvernement de doublure.