Valls s’acharne sur Dassault
Hostilité non dissimulée... |
Manuel Valls ne peut supporter la présence de Serge Dassault dans le même département, l’Essonne.
Pourtant, l’un y a été député, avant d’être nommé ministre de l’Intérieur, et l'autre en est toujours sénateur depuis 2004 et a été réélu en 2011.
Le porte-parole de Valls est ici son suppléant, devenu député socialiste en 2012, Carlos Da Silva, instituteur d'origine ibérique également, né à Corbeil-Essonnes, candidat à la mairie battu par Serge Dassault, et dont le sectarisme est connu au Conseil général.
Le suppléant de Valls s'est montré particulièrement véhément
dans ses déclarations publiques et médiatiques en rafales, après le refus de la levée de l’immunité de Serge Dassault par le bureau du Sénat, le 8 janvier, (par 13 voix et 1 abstention contre 12, alors que la gauche y compte 14 sièges). Levée réclamée par les juges du pôle financier, qui le poursuivent pour des soupçons d’achat de votes qui s’apparentent surtout à un abus de générosité dont il est la victime.
A quelques semaines des municipales, ces affaires ont déjà entraîné neuf perquisitions et plusieurs auditions comme témoin ou témoin assisté, sans le moindre ménagement. Le maintien de l’immunité parlementaire n’empêche qu’une chose : le placement en garde à vue du sénateur.
L’acharnement politique a pris le relais de l’acharnement judiciaire.
...."A quelques semaines des municipales, ces affaires ont déjà entraîné neuf perquisitions et plusieurs auditions comme témoin ou témoin assisté, sans le moindre ménagement"......
RépondreSupprimerC'est cela la dictature......souvenez comment une perquisition et un interrogatoire ont eu lieu chez Madame Betancourt............une dame de cet âge tirée sans ménagement de son lit. Tout ça pour mouiller saiko............Là avec dassault c'est la même chose.
Ben oui quoi ils sont de droite et ont du fric, ils sont forcément malhonnêtes.
Pas comme tous ces fauchés de gauche aux patrimoines dissimulés aux yeux des électeurs par une loi scélérate qui menace de poursuite si la fortune de ces messieurs-dames, (qui n'ont jamais occupés un emploi), était publiée dans la presse ou ailleurs...........
Carlos Da Silva d'après ce que j'ai lu dans un article de libé datant de 2009, serait la marionnette de vallss, de plus c'est un personnage véhément. son pote a deteint sur lui..............et alors, malin le mec, il veut conserver sa bonne gamelle à l'assemblée..............alors Carlos travaille à la gloire de Manuel .......un "ami" ministre ça se soigne, ca se bichonne.
héhéhé, on ne sait jamais......
Ils n'ont jamais occupé un emploi, en effet, pour nombre d'entre eux, comme Julien Dray qui a les moyens de collectionner des montres de luxe...
SupprimerEt d'où les huit millionnaires du gouvernement -outre Hollande- tiennent-ils leur fortune: Jean-Marc Ayrault, professeur dont le nombre de rentrées tient sur une main, ou Victorin Lurel, originaire de Guadeloupe, département que l'on dit pauvre ? Michel Sapin, George Pau-Langevin, Valérie Fourneyron et Marisol Touraine ? Et pour aggraver la situation, Michèle Delaunay tient-elle son patrimoine (largement immobilier, officiellement chiffré à 5,4 millions d’euros..., mais aussi meubles, tableaux anciens, bijoux ou encore 10.000 euros de montres pour 4 poignets!) uniquement de sa carrière de médecin ou de son mari, Klaus Fuchs, haut fonctionnaire européen aujourd’hui à la retraite?... Pour couronner le tout, Lolo Fabius, socialo bon chic anglais (dont le fils est insolvable...) est à la tête de 6,7 millions, non pas gagnés, mais essentiellement ...hérités ! A-t-il produit de pures M-mirages, comme Hollande ?
J'aimerais bien qu'on me décrive la procédure d'achat de vote. On a un reçu ? il faut rapporter tous les bulletins non utilisés ?
RépondreSupprimerDepuis la nuit des temps du moins depuis 2500 ans que la démocratie existe, les hommes politiques donnent des avantages à des individus ou a des groupes contre une promesse de vote.
Ainsi aux dernières présidentielles 98% des Français d'origine immigrée non européenne ont voté Hollande. Pourtant Sarkozy avait lui aussi donné des gages. Va-t-on inculper Hollande d'achat de votes ? A l'évidence non.