POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

samedi 4 avril 2020

J-Christophe Lagarde nie le non-confinement dans les quartiers; die Zeit le contredit

Quand le déni de cet élu impuissant et insensé se heurte au témoignage de la presse allemande

Ce n'est plus de l'aveuglement, mais de la mauvaise foi

Le député UDI Jean-Christophe Lagarde refuse d'admettre que la bienveillance est inappropriée à la Seine-Saint-Denis.
A la différence de François Pupponi, livre ci-contre, membre du Parti socialiste (PS) jusqu'en 2018 et ancien maire désabusé de Sarcelles (groupe Libertés et territoires, LT), qui a pris conscience que l'islamisme militant peut subvertir les institutions et la vie politique en instrumentalisant la démocratie, un autre centriste, Jean-Christophe Lagarde, président de l'UDI et député du 9.3 - département présidé par le socialiste Stéphane Troussel, un apparatchik un temps proche de Jean-Luc Mélenchon et Julien Dray ou Gérard Filoche -, veut croire que le non respect du confinement dans son département est "une légende". Il s'est insurgé jeudi contre ceux qui font des quartiers populaires des "boucs émissaires".

"Arrêtons avec ces fantasmes", s'exclame Lagarde, défenseur de son fonds de commerce. Un couvre-feu n'est pas nécessaire parce que "97% des gens qui sont contrôlés dans la rue sont des gens qui ont le papier" d'attestation de sortie pendant le confinement, a assuré le maire de Drancy à l'antenne de Sud Radio (détenu par le groupe Fiducial, commanditaire de sondages par l'IFOP, comme Paris Match du groupe Lagardère).
"Je sais bien qu'on a l'habitude de prendre des boucs émissaires. Je pense qu'on pourra pour une fois être plus responsable, et regarder la réalité", a malencontreusement estimé le président de l'UDI.

L'AFP, reprise par Le Point et La Croix (des copiés-collés, illustration comprise), en profite pour désigner les cibles de Lagarde.
"Plusieurs élus notamment à droite et à l'extrême droite avaient pointé du doigt des quartiers qui ne respectent pas les mesures de confinement," comme si on pouvait imaginer que LFI ou le PCF, L'Humanité ou Mediapart, puissent admettre la réalité. 
La présidente du Rassemblement national Marine Le Pen avait dénoncé l'absence de "réponse" de l'Etat dans ces banlieues. Elle a aussi mis en garde les Français contre les mensonges du gouvernement sur "absolument tout".
Depuis Saint-Barthélemy d’Anjou, dans le Maine-et-Loire, le président de la...
L'OMS ne préconisait encore pas le port du masque: 

sauf si vous êtes soignant ou... malade !
Alors, on ne sort pas, sous peine de PV de 135€
Le député LR Eric Ciotti avait appelé à y "déployer l'armée", mais le président s'est agacé et a reproché les propositions qui lui sont adressées : à Saint-Barthélemy d’Anjou, dans le Maine-et-Loire le président masqué ci-contre a fustigé ceux qui s'en prennent à la manière dont le gouvernement gère l'épidémie, alors même que celle-ci est encore en cours.
A propos du port intempestif du masque, lire l'article du JDD qui rappelait les consignes que piétine le président exemplaire : lien 

VOIR et ENTENDRE à ce propos ce clip consacré à ceux et celles qui n'ont pas le respect des mesures gouvernementales : LIEN


L'ancien maire de Drancy note finement que "le dimanche, les magasins sont fermés; il n'y a personne dans les rues".
Est-ce tous les jours dimanche en Seine-Saint-Denis ? L'économie souterraine y connaît-elle un marasme préoccupant ? Bercy doit-il la soutenir ?

Jean-Christophe Lagarde a réponse à tout: si les hôpitaux de Seine-Saint-Denis ont été "plus vite débordés" par l'afflux de malades du covid-19, il assure que c'est parce qu'il y a "moins de lits d’hôpitaux, moins de lits de réanimation qu'ailleurs", et pas à cause d'un manque de respect du confinement. 
Evoque-t-il l'hôpital universitaire Avicenne, hôpital de l'AP-HP situé à Bobigny, en Seine-Saint-Denis (93)? Il prend en charge complète toutes les spécialités médicales et chirurgicales dont la cancérologie et se flatte pourtant de posséder des spécialistes d’excellence en pneumologie en maladies infectieuses et tropicales, (outre l'hématologie, l'hépatologie, l'addictologie, la rhumatologie, médecine interne avec le centre d’excellence européen de l’HTA), ainsi que les urgences et le SAMU 93... Il est desservi par 3 lignes de métro...

Le premier ministre Edouard Philippe a affirmé mercredi, devant la mission d'information de l'Assemblée sur la crise sanitaire, que «dans beaucoup de quartiers dits difficiles" les consignes de confinement étaient respectées «très sérieusement», contrairement à "ce que disent certains". Et d'ouvrir une polémique "sociale de classe" en suggérant qu'il n'est "pas sûr" que ceux qui étaient partis dans leurs résidences secondaires "aient permis de contenir la circulation du virus".

La presse allemande mettra-t-elle tout le monde d'accord ?

Les banlieues françaises, grandes oubliées du confinement, titre 'die Zeit' à Hambourg, le 02/04/2020 - 06:19

Difficile de rester confiné lorsque l’on partage un petit appartement à plusieurs, qu’il est délabré ou que l’on est forcé d’aller travailler sur des chantiers. Les mesures du gouvernement sont totalement inadaptées aux banlieues françaises, dénonce ce journal allemand, hebdomadaire libéral, mais ... de gauche.

Comme la plupart des Français, Hamza Esmili a désormais beaucoup de temps pour regarder à travers sa fenêtre. Habitant dans une cité de la Plaine Saint-Denis [en Seine-Saint-Denis], il observe l’activité de la rue, en bas. C’est un fait : ils sont manifestement nombreux à ne pas respecter les mesures de confinement général imposées par le gouvernement. "Il y a moins de monde que d’habitude, mais ça reste encore très fréquenté, constate Esmili. Le confinement est un concept de bourgeois, explique ce sociologue enseignant dans une université parisienne [Paris VIII]. Cela implique de posséder une maison bourgeoise dans laquelle se retirer. Ça ne correspond pas du tout à la réalité ici." [L'immigré - clandestin ou non - doit pouvoir accéder vite à ce que le "bourgeois" indigène a construit sur plusieurs générations. Ce que les Français ne sont d'ailleurs pas tous parvenus à réaliser]

Aujourd’hui, quiconque quitte son domicile sans attestation ni raison valable s’expose à une amende de 135 euros [et plus encore, en cas de récidive]. C’est pourquoi bon nombre de citadins fortunés [carrément: la caravane est un signe extérieur de fortune, selon les sociologues de l'EHESS] ont fui les grandes villes et ont pris leurs quartiers dans leur maison de vacances ou de campagne où l’assignation à résidence est moins pesante [on n'y circule pas mieux: nombre de villages ont bloqué les accès depuis l'extérieur et notre sociologue de banlieue devra élargir le spectre confiné de ses recherches]. Une option qui ne s’offre à quasiment personne en Seine-Saint-Denis [exception faite donc des dealers et des familles de footballeurs].

Plus d’un demi-million de gens vivent entassés dans cette banlieue du nord de Paris. Les cités qui se dressent jusqu’à l’horizon derrière le stade de France [qui a été localisé en sorte d'animer cette banlieue qu'on continue de qualifier de déshéritée, malgré son désenclavement par le métro et deux aéroports internationaux, ainsi que  Le Parc International des Expositions de Paris Nord Villepinte qui accueille sur plus de 240 000 m² de surface au sein de 8 halls congrès et salons professionnels de dimension internationale (le SIAL) et Le Parc des Expositions Paris Le Bourget qui accueille le Salon International de l'Aéronautique et de l'Espace, le plus grand événement au monde consacré à l'industrie aéronautique et spatiale, et la foire musulmane annuelle] - entre autres structures visant à dynamiser et éduquer ces zones de non-droit [la Seine-Saint-Denis représente le deuxième pôle universitaire d'Ile-de-France avec plus de 45.000 étudiants (dont nombre de boursiers), répartis notamment dans les Universités Paris VIII Saint-Denis [Hamza Esmili y diffuse la sociologie marxiste] et Paris XIII Villetaneuse mais également du CNAM, de SUPMECA et du PRES 'Université Paris Ile-de-France". Présence universitaire renforcée à partir de 2017 par l'ouverture du Campus Nicolas de Condorcet, nouveau campus de recherche et de formation en sciences humaines et sociales qui peut accueillir environ 15.500 étudiants.] - sont les coulisses de ce que de nombreux Allemands n’aperçoivent que dans des vidéos de rappeurs et des films chocs : une mosaïque d’ethnies et de nationalités entourée de béton [et cernée par l'islam radical]. Ces quartiers sont des milieux complexes, mais dans les médias ils sont surtout associés à deux fléaux : le chômage et la pauvreté [auxquels il faudrait aussi ajouter objectivement l'économie souterraine fondée sur tous les trafics, dont les stupéfiants, et la délinquance].

Des immeubles sales et saccagés

C’est aussi probablement à cause de cela que les mesures contre l’épidémie semblent si mal comprises ici. Sur les réseaux sociaux, de nombreux habitants se plaignent du fait que les espaces publics soient encore bondés. Vendredi 20 mars, on apprenait que 10 % de toutes les infractions aux mesures de confinement [recensées la veille] avaient été commises en Seine-Saint-Denis.

Hamza Esmili habite dans un bel appartement agréable à vivre, dit-il. Mais l’immeuble est extrêmement sale et délabré. Bon nombre de ses voisins travaillent comme journaliers sur des chantiers et vivent dans des appartements où il n’est pas possible de rester confiné. Il n’est pas rare que les gens partagent des lits. Pendant que les uns travaillent le jour et dorment la nuit, les autres font l’inverse : “Les gens ne dorment pas nécessairement dans leur logement.” Ils sont par ailleurs nombreux à ne pas posséder de logement. Alors comment pourraient-ils respecter les consignes du gouvernement et rester chez eux ?

Des mesures particulièrement difficiles

Le sociologue exprime également sa colère face au racisme à travers lequel l’opinion publique tend à analyser ces problèmes. Les habitants des banlieues – dont la plupart ont des parents d’origine immigrée – sont présentés comme des gens indisciplinés. Comme s’ils ne comprenaient pas qu’il fallait faire un effort au niveau national pour lutter contre le virus. Les médias en parlent déjà comme de loubards et autres fortes têtes squattant les entrées d’immeuble en dépit des règles, fumant des joints et insultant les policiers. En même temps, reconnaît le sociologue qui étudie les dynamiques des banlieues parisiennes depuis plusieurs années, il est vrai que “les gens ont un rapport différent à l’État. Il n’est pas étonnant qu’ils n’acceptent pas les consignes”.

Les mesures de confinement sont particulièrement dures pour les jeunes des banlieues, explique Esmili : Toutes les structures qui leur rendent la vie possible ici ont été fermées du jour au lendemain.” [Comme ailleurs...]

Ici, les écoles [le taux de déscolarisation est l'un des plus élévé d'Europé], les aires de jeu [jonchées de seringues], les terrains de basket, les skateparks et les équipements sportifs sont plus que des accessoires de loisir. Ce sont des sources d’équilibre pour des jeunes qui mènent souvent une vie peu structurée. Ce sont des échappatoires qui permettent de sortir des logements où vivent souvent trop de gens, dans trop peu d’espace. [Et à Marseille, notre sociologue élevé au biberon du marxisme l'oublie], ils ont l'hydroxychloroquine]

Tensions sociales [pré-existantes et entretenues par l'école, les centres sociaux, les MJC et les mosquées]

Aujourd’hui, de plus en plus de gens redoutent ce qui pourrait se passer si les jeunes des banlieues perdaient leur sang-froid. Le Parisien, journal racoleur mais bien informé sur les banlieues, a rapporté quelques échauffourées durant la première semaine de confinement : mardi 17 [mars], un groupe de jeunes d’Aulnay-sous-Bois a mis le feu à des poubelles et attiré des policiers dans un guet-apens. Dans la commune voisine de Boissy-Saint-Léger, un jeune homme de 22 ans aurait résisté aux policiers qui voulaient le contrôler pour infraction au confinement. À Clichy-sous-Bois, banlieue internationalement connue depuis les émeutes de 2005, deux camions ont été incendiés et des policiers caillassés à coups de boules de pétanque dans la nuit.

La mairie de Clichy-sous-Bois ne confirme pas [!] ces jets de boules de pétanque. Dans l’entourage du maire, on affirme que l’altercation avec la police est restée mineure, même si plusieurs véhicules ont été incendiés. Mais les tensions sociales affleurent tout particulièrement en ce moment, reconnaît un porte-parole de la mairie, car la situation est difficile quand des familles de six passent leurs journées ensemble dans cinquante mètres carrés et que les jeunes sont privés de toute activité. Une équipe de neuf travailleurs sociaux, dix policiers de proximité et autant de médiateurs municipaux est mobilisée pour expliquer personnellement aux habitants l’importance de respecter les mesures de confinement. On compte sur les parents – quand ils sont présents – pour s’occuper de leur famille.

Un exemple pour le pays

Même ici, personne ne peut se prononcer sur le risque d’émeutes dans les prochaines semaines. Du côté de la mairie, on assure que la situation a beaucoup changé par rapport à 2005. On a beaucoup fait pour les habitants, les immeubles ont été rénovés, des lignes de tram ont été créées et l’hostilité envers les pouvoirs publics est moins forte. Reste que l’atmosphère peut très rapidement changer et sans avertissement. Début 2017, l’arrestation brutale d’un jeune homme à Aulnay-sous-Bois [“l’affaire Théo” pour Théodore Luhaka] a donné lieu à plusieurs jours de manifestations. Un tel scénario alors que les hôpitaux sont surchargés par les patients du Covid-19 et que les forces de sécurité sont particulièrement tendues serait catastrophique.

Hamza Esmili lui-même [que l'école de la République et l'échelle sociale ont porté jusqu'à Normale Sup : la France offre cette possibilité qui le veulent. L'auteur est doctorant contractuel en sociologie au Centre MauriceHalbwachs (ENS-EHESS-CNRS), Chargé de cours à l’Université de Lille 2, à l’Université Paris 1 (Panthéon-Sorbonne), à l’Université d’Evry, à Aix-Marseille Université et à l’Ecole des hautes études en sciences sociales. Visiting Researcher à l’Université de Californie à Berkeley en 2019], qui a étudié les cités les plus pauvres de Clichy-sous-Bois, ne se risque à aucun pronostic sur la situation sécuritaire. “La question se pose naturellement, mais c’est vraiment difficile à prévoir”, explique-t-il, soulignant que, dans cette lutte contre l’épidémie, c’est tout le pays qui pourrait peut-être prendre exemple sur les banlieues. Dans bon nombre d’immeubles délabrés, cela fait déjà des années que les ascenseurs ne fonctionnent plus [sont-ils cassés, malgré un usage respectueux du bien collectif?] et que les personnes âgées sont de fait confinées chez elles. Un réseau de jeunes est déjà [!]en place pour leur faire leurs courses [le chercheur universitaire  ne les cite pas, ni le moyen de les contacter].

Ce sociologue énonce ailleurs les excuses marxistes au constat qu'il dresse  du non-respect des consignes de confinementcontre l'avis de Lagarde. 

Sous le titre à l'idéologie transparente, "Le confinement, ce luxe dont les plus pauvres sont privés", l'ancien boursier accuse:
"Les rues sont remplies parce que personne n’a dit aux maçons et aux mécaniciens qui habitent ici [légalement ou illégalement ?] de s’arrêter [leur dire en quelles langues ?]. Un mot de ces hommes invisibles à la construction nationale : ils sont seuls, souvent originaires du sous-continent indien, plus rarement d’Egypte ou d’Afrique de l’Ouest. Sans horaires ni contrats, ils vont d’un chantier à l’autre, une journée ici, une journée là, rémunération quotidienne fixée à trente euros. Ils vivent dans des "foyers" [qui ont aussi un coût pour la collectivité], terme flatteur [la rhétorique s'y met] qui désigne les appartements que leur louent des marchands de sommeil [tous pourris, les Français]: plusieurs centaines d’euros pour un lit dans un chambre qui en compte quatre ou cinq. S’arrêter étant la promesse d’un retour à l’indigence la plus complète, ils n’ont pas d’autre choix que de travailler."

Ces descriptions tendancieuses - volontairement sans contre-exemples - sont le terreau de l'islam révolutionnaire et conquérant. Hamza Esmili serait un contre-exemple, mais il n'est visiblement pas engagé dans une démarche bienveillante. Son militantisme pourrait finir être récompensé par un doctorat, mais alors ne serait-il pas un peu entaché ?

3 commentaires:

  1. A l'auteur de cet article.
    Vous vous êtes bien renseigné sur Hamza Esmili. Mais quand vous écrivez que l'échelle sociale l'a porté jusqu'à Normale Sup, vous faites preuve d'une forme d'a-priori raciste. Simplement parcequ'il s'appelle Hamza et non Jean ou Luc. Qu'en savez-vous ?
    N'est-il pas possible, par exemple, que Hamza Esmili soit le fils d'intellectuels marocains bien connus, professeurs à l'Université au Maroc et qu'il ait quitté ce pays bac en poche pour venir chez nous. Peut être même qu'il avait plusieurs options comme aller directement aux USA à Berkeley que vous avez cité ? Je vous signale aussi pour avoir souvent visité ce pays, que vit au Maroc et y travaille une communauté française relativement importante. Elle ne parle pas l'arabe, ni ne s'habille en djellaba. Ça ne viendrait d'ailleurs à l'esprit de personne de le lui demander.

    RépondreSupprimer
  2. Anne Batayavril 19, 2020

    Au contestataire anonyme.
    Nul besoin d'être l'auteure pour comprendre que vous en savez encore moins qu'elle sur le sujet. Votre accusation de "racisme" est classique mais éculée. Pire, elle est elle-même raciste : que savez-vous en effet de la couleur de peau de cette auteure?
    Vous indiquez que votre protégé est un privilégié de naissance: grand bien lui fasse mais je ne suggérerai pas comme vous semblez le faire qu'en étant issu d'un milieu favorisé, il a moins de mérite!
    Quant à Berkeley ou la tenue vestimentaire de l'élite marocaine (qui n'est pas la djellaba !), épargnez-nous vos délires...
    Salutations (ça se fait, ici)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ah mais on peut très bien être raciste et de couleur foncée. C'est vrai qu'il est difficile d'assumer ça et je ne vous en voudrais pas de vous défiler. Lorsque vous écrivez que " l'école de la République et l'échelle sociale ont porté M. Esmili jusqu'à Normale Sup", vous êtes en effet raciste. Car vous n'avez que son prénom pour affirmer cela. Que ça vous plaise ou nom !
      Et en effet, je ne vous salue pas.

      Supprimer

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):