La RATP annonce une reprise progressive
Suite à l'agression en début de service à 6h25 d'un des leurs collègues en Gare du Nord, des conducteurs ont décidé un arrêt de travail dans les deux heures qui ont suivi.
Cet arrêt de travail sans préavis, après l'incident survenu samedi matin, a entraîné une interruption totale du trafic entre 8h45 et 10h.
Cet arrêt de travail sans préavis, après l'incident survenu samedi matin, a entraîné une interruption totale du trafic entre 8h45 et 10h.
Le RER B relie l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle et Mitry-Claye, au nord de Paris, à Robinson et Saint-Rémy-les-Chevreuses, au sud.
Usagers sanctionnés
La situation était particulièrement problématique pour les milliers de vacanciers et touristes tentant de rallier l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle par le RER.
Pour faire face à ce blocage, la RATP a renforcé dès 8h trois lignes de bus (350 au départ de la gare de l'Est, ainsi que RoissyBus, Orlybus desservant l'aéroport).
Parallèlement, la SNCF, qui gère la partie nord du RER B, a mis en place un train toutes les demi-heures au départ de la Gare du Nord en direction de Roissy.
La RATP comptait sur un retour à la normale vers midi, signalant une "reprise progressive" depuis 10h30.
L’absence, à cette heure, de précisions sur la nature de l’agression et la gravité des blessures autorise à s’interroger sur l’authenticité des violences. L’incident présumé aurait-il été le prétexte à des perturbations particulièrement malveillantes un jour de grands départs ? La section nord et l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, gérée par la SNCF, est donc particulièrement tributaire des pressions du syndicat SUD, proche du Che-Besancenot.
Usagers sanctionnés
La situation était particulièrement problématique pour les milliers de vacanciers et touristes tentant de rallier l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle par le RER.
La RATP comptait sur un retour à la normale vers midi, signalant une "reprise progressive" depuis 10h30.
L’absence, à cette heure, de précisions sur la nature de l’agression et la gravité des blessures autorise à s’interroger sur l’authenticité des violences. L’incident présumé aurait-il été le prétexte à des perturbations particulièrement malveillantes un jour de grands départs ? La section nord et l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, gérée par la SNCF, est donc particulièrement tributaire des pressions du syndicat SUD, proche du Che-Besancenot.
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