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vendredi 17 juin 2016

Un fonctionnaire de police refuse de serrer les mains de Hollande et Valls, lors de l'hommage aux policiers assassinés

Au ministère de l'Intérieur, un policier refuse de serrer la main de Hollande et Valls 

La presse aux ordres rapporte les faits à sa manière militante  

Zèle intempestif de Hollande
dans la compassion démonstrative 
Un "homme" (sic), présent à l'hommage des deux policiers "tués"   assassinés dans un attentat visant un couple de fonctionnaires de police, a refusé de serrer la main du président et de son premier ministre, écrit L'Obs, en flagrant délit de désinformation. 
La cérémonie d’hommage aux deux policiers assassinés - sous les yeux de leur jeune fils - dans un attentat revendiqué par l'Etat islamique à Magnanville (Yvelines) a eu lieu ce vendredi 17 juin dans la cour d’honneur de la préfecture de Versailles.


Jessica Schneider, 36 ans, agent administratif au commissariat de Mantes-la-Jolie, et Jean-Baptiste Salvaing, 42 ans, commandant de police au commissariat des Mureaux, étaient "deux fonctionnaires qui ne cherchaient ni gloire ni honneurs, mais qui faisaient leur devoir avec discrétion et rigueur, deux héros du quotidien", a raconté François Hollande, accompagné du premier ministre, Manuel Valls, et des ministres de l'Intérieur et de la Défense, le beau parleur inactif, Bernard Cazeneuve, et le cumulard Jean-Yves Le Drian qui fait la guerre en Afrique et au Proche Orient depuis Rennes. 

Peu après le discours d'hommage national, François Hollande et Manuel Valls sont allés saluer "la foule". Une ''foule constituée de plusieurs centaines de collègues des deux victimes, en uniforme et en civil, des gendarmes, des pompiers et de nombreuses personnalités politiques. 

Le fonctionnaire réfractaire protestait contre "le manque de moyens" dans la police. 

Sur le passage des deux "hommes" (banalisation: ils sont juste un peu au sommet de la hiérarchie républicaine !), 
l’un des policiers [l' "homme" était donc un fonctionnaire de police, apprend-on au fond de l'article], en costume gris [détail important qu'il faudrait "décrypter": il n'était pas en uniforme], est resté "stoïque" [si, à L'Obs, "stoïque" voulait dire "indigné" ou "révolté"], les bras appuyés sur des béquilles mais debout, regard droit devant et visage fermé
Si le président ignore et passe son chemin, Manuel Valls, lui, se fige sur ses pattes arrières  et se dresse, les oreilles pointées, face au commandant:
 sollicitude ou tentative d'intimidation de l'officier en colère. On constate en effet que le fonctionnaire "stoïque" oppose un "non" de la tête et prononce quelques mots sans que cela soit audible, comme le montrent ces images de France 2, pour qui, selon l'organisation du site francetv.info, ce double assassinat islamiste est un "fait divers".

1 commentaire:

  1. Mais quel pourri quel opportuniste ce hollande................quelle mise en scéne............au prochain acte terroriste islamiste parce qu'il y en aura, je pense qu'il va se coucher sur les cercueils!.........que ne ferait il pas pour monter dans les sondages!

    Quand à la valls, quel petit roquet!........celui là non plus n'a pas la stature d'un homme d'état,
    Mis a part inadmissible, intolérable, je pers mes nerfs, je deviens tout rouge et je transpire et preparez-vous les gars, les attentats arrivent!
    Quant au nabot de service........la nullité dans toute sa spendeur et en plus il la ramène!........faut rien leur dire à ces petits trouducs.

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