Les villes communistes de plus en plus mal famées
L'insécurité dépasse le 'sentiment' qu'on en a
La gauche fait le lit du FN autour de l'Etang de Berre avec la recrudescence des cambriolages, braquages, vols avec violences, agressions...
L'insécurité dépasse le 'sentiment' qu'on en a
La gauche fait le lit du FN autour de l'Etang de Berre avec la recrudescence des cambriolages, braquages, vols avec violences, agressions...
Martigues (PCF), sa circonscription (Châteauneuf, Port-de-Bouc, Fos) et son district (Istres, Vitrolles, Marignane et Port-Saint-Louis) ne sont pas épargnés par la délinquance. Mais, outre les crimes et autres affaires de grand banditisme, ce sont bien les faits de délinquance qui empoisonnent le quotidien.
Si le taux de résolution des affaires est en augmentation de 8,37% à 12,95%, le nombre de méfaits enregistrés (sans compter ceux qui ne sont pas déclarés) a augmenté sur la circonscription de Martigues.
La délinquance dite 'astucieuse' est en augmentation sur Martigues
Elle est en augmentation de 27,5%. Et 35% de ces faits concernent des escroqueries à la carte bancaire ou sur internet. Le nombre des affaires de drogue est également en hausse de 9% : 721 affaires de stupéfiants en 2010.
Mais cet accroissement témoigne aussi d'un renforcement des contrôles: ils seraient donc en baisse, si on fermait les yeux, explique ainsi le commissaire central Bernard Griseti...
Pour être plus complet, rappelons qu'à Martigues en septembre 2008, un homme d'environ 35 ans, a été tué de cinq balles de gros calibre à la tête: il ne fait guère de doute que la ville a été le théâtre de l'exécution d'un contrat. Evoquons aussi deux homicides avec fusillade en septembre 2010 à Port-de-Bouc, ville communiste voisine, et à Martigues à la mi-avril 2010 un honnête garçon, Mohamed Niri, 25 ans, s'est trouvé pris sous le feu de tueurs à moto particulièrement chevronnés, sans savoir pourquoi. Autrement dit, il serait excessif de dénoncer une quelconque recrudescence de la criminalité dans les communes communistes.
Les bijouteries font briller les yeux des défavorisés
Aubagne, à l'Est de Marseille
Le stratagème a parfaitement fonctionné pour les malfaiteurs, le mercredi 3 février dernier, vers 21 heures, à Aubagne. Ils ont réussi à s'emparer d'un butin estimé à 15 000 € en menaçant leurs victimes dans leur villa, avec des armes à feu.
Quelques minutes plus tôt, l'un des braqueurs s'était présenté comme un automobiliste en panne. Le commerçant avait ouvert la porte de son domicile sans se méfier et s'était retrouvé face à quatre individus encagoulés, le menaçant de leurs armes.
Le commerçant avait été séquestré quelques minutes avec son épouse, pendant que les malfaiteurs se saisissaient d'une somme en espèces et de bijoux.
L'enquête a été confiée à la brigade de répression du banditisme de la PJ.
Martigues, au Nord de Marseille
Trois semaines plus tard, le mode opératoire avait été perfectionné.
Un bijoutier de Martigues et son épouse ont été ligotés et baillonnés par trois individus cagoulés, à leur domicile également, le vendredi 25 février 2011 au soir après 23h00.
Une agression particulièrement traumatisante, d'autant que le domicile a été mise sens dessus dessous, avant que le magasin ne soit cette fois dévalisé aussi.
La femme a été prise en otage par un malfaiteur pendant que deux complices forçaient l'homme à retourner dans son commerce au centre ville de la ville communiste. Ils y ont dérobé un lot important de bijoux.
La brigade de répression du bandistime a été saisie.
A la prud'homerie, on fait fortune en dormant
A Martigues encore, une affaire d'abus de confiance, cette fois.
La trésorière de la prud'homie de pêche a été placée en garde à vue après une enquête ouverte pour "abus de confiance". Les malversations de l'ex-responsable du festival des Musiques du monde de la ville aura fait des émules.
Cette unique salariée de la structure gérait la caisse des intempéries, mais consacrait la carte bancaire et le chéquier de la prud'homie à son usage personnel, entre 2005 et 2009. Le montant du préjudice s'élève à 258 000 €.
Sachant que toutes les juridictions de France crient famine, le laisser-aller et l'absence de contrôle des finances ne laissent d'interpeler.
Les 650 pêcheurs se sont réveillés furieux.
Les cotisants, de Sausset-les-Pins aux Saintes Maries et à Arles (PCF), en passant par Martigues (PCF) se disent "lésés" par celle en qui ils avaient toute confiance ! Le café des capsules que la comptable achetait sans compter a fini par leur monter à la tête. D'autant que la modeste employée enchaîna repas au restaurant, voyages à l'étranger et virées à Paris pendant que les gagne-petits remaillaient leurs filets. Pour combattre l'odeur du poisson, la dame avait investi l'argent des camarades travailleurs dans un commerce de fleurs dont elle se gardait bien d'ailleurs de redistribuer les revenus.
Sachant encore que, dans cette ville communiste et dominée par la CGT, on ne recrute pas une comptable de prud'homerie sans qu'elle ait montré patte rouge, les citoyens sont en droit d'exiger des comptes, ceux que les organisations syndicales n'ont pas demandés à leur militante, mais qu'ils savent à tout propos réclamer au gouvernement.
Le réseau social et la politique de prévention de ces villes auraient-ils des mailles si lâches que le gros fretin s'y égaillerait plus sûrement qu'ailleurs ?
Il est vrai que l'idéologie commune à ces municipalités sur les caméras de surveillance ne permet pas la sécurisation de la population et que l'éthique de la magistrature s'est terriblement dégradée en France sous l'action des syndicats de magistrats. Resterait à incriminer les effectifs, bien sûr, mais ils sont en augmentation. Quant aux locaux de la police municipale de Martigues, ils sont neufs et opérationnels. Alors quoi ?
Notre aimable lectrice nous rapporte pourtant que les fonctionnaires de police ne sont pas particulièrement aimables sur la ville pour autant et qu'ils auraient une fâcheuse tendance à prendre les honnêtes gens d'un peu trop haut, que le nouveau maire, Gaby Charroux (ci-contre, PCF) soit ou non occupé à sa partie de tennis. Les malfrats, en revanche, ont visiblement les coudées franches...
Miramas une bijouterie pour la cinquième fois cambriolée maire socialiste
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